Côtoyez-vous des amarres ou des hors-bords ? Vérifions :
Cédric Vimeux 
C’est une phrase de Wyland, un artiste de paysages marins, qui m’a inspiré le titre et le contenu de cet article.
Cette phrase, la voici :
« Il y a deux types d’individus. Les « amarres » et les « hors-bords ». Vous avez intérêt à larguer les amarres, et à vous accrocher aux hors-bords, parce que ces derniers vont quelque part, et ils ont plus de plaisir dans la vie. Les amarres vous retiennent sur place. »
Voici pourquoi je vous cite cette phrase, et ce que vous pouvez en tirer :
Vos pires ennemis ne sont pas ceux que vous pensez
Vos pires ennemis – ceux qui vous empêchent de réaliser vos rêves et d’être heureux – ne sont ni vos concurrents, ni la conjoncture, ni Sarko, et encore moins la crise.
Vos pires ennemis sont bien proches de vous. Et vous les côtoyez souvent…
C’est votre pote Will qui passe son temps à vous pleurer ses malheurs. Qui se plaint d’être malchanceux. Et de vivre dans un monde pourri…
C’est votre cousine Isabelle qui a des problèmes de santé, et qui vous implore en larmes de consulter d’urgence dès que vous avez le nez qui coule. Parce que, vous aussi, vous êtes peut-être gravement malade…
C’est votre oncle Jean-Paul qui vous rabâche, à chaque occasion, que l’argent est sale. Et que si la majorité des gens sont pauvres, c’est à cause de « ces enculés de riches !!! ».
C’est votre beau frère Luc qui cherche toujours à vous diminuer, et à remettre en doute vos capacités. Histoire de vous rabaisser à son niveau…
Ou c’est peut-être simplement votre mère… Parce qu’elle tient tant à vous protéger qu’elle vous empêche de prendre le moindre risque. Et qu’elle vous supplie d’abandonner vos idées d’être à votre compte, parce que c’est dangereux. Et que vous feriez mieux de trouver un CDI, même au SMIC…
Le problème, c’est la contagion
Les gens négatifs ont souvent une influence sur nous, lorsqu’on les côtoie trop souvent. Ils finissent par infiltrer notre esprit, et nous transforment.
Qu’on en soit conscient ou pas. Qu’ils le fassent volontairement ou pas.
Ils nous attachent aux mêmes amarres qui les empêchent d’avancer, et nous obligent à dépenser une énergie et un temps précieux pour nous en libérer. En supposant qu’on y arrive…
Ne sous-estimez pas le pouvoir de la contagion.
L’exercice difficile, mais utile de Clement Stone
Voici l’exercice que proposait W. Clement Stone à ses élèves.
1. Faites la liste de toutes les personnes que vous côtoyez le plus souvent (amis, famille, collègues, etc.)
2. Mettez un signe ( – ) à côté des noms des personnes négatives ou toxiques – les amarres. Et mettez un signe ( + ) à côté des noms de celles qui sont positives, et qui avancent – les hors-bords.
3. Évitez les personnes qui ont un signe ( – ) à côté de leur nom !
Ouch… Là, je sais ce que vous pensez !
Vous dites : « Ok, ce crétin de Claude, je peux bien le virer de ma vie. J’ai jamais pu le sentir, cet imbécile… Mais, je vais quand même pas virer mon meilleur pote d’enfance ! »
Bien sûr que non… Mais fréquentez-le moins souvent. De moins en moins souvent…
Trois citations qui font réfléchir…
Voici 3 citations sur lesquels méditer :
« Vous représentez la moyenne des cinq personnes que vous fréquentez le plus souvent. » – Jim Rohn
« Je ne fréquente pas les gens dont je ne désire pas m’entourer, point à la ligne, et je n’ai qu’à m’en féliciter. De cette manière, je suis toujours positif. Je cherche la compagnie des gens qui sont heureux, qui grandissent, qui veulent apprendre, qui savent dire « excusez-moi » ou « merci » et qui savent aussi comment avoir du plaisir. » – John Assaraf
« On peut mourir du malheur d’autrui : les états d’âme sont contagieux. En voulant aider celui qui se noie, vous courez seulement à votre perte. Les malchanceux attirent l’adversité, sur eux-mêmes et aussi, peut-être, sur vous. Préférez la compagnie de ceux à qui tout réussit. » – Robert Greene
Alors ? Côtoyez-vous des amarres ou des hors-bords ?
46 Comments to “Côtoyez-vous des amarres ou des hors-bords ? Vérifions :”
Post comment
Bonjour Cédric,
wwhhaaoowww quel article superbe qui nous mets face à la réalité !
Il est vrai que souvent on ne prends pas garde à nos ‘mauvaises fréquentations !’
Il est vrai aussi, que les personnes qui sont le plus proche de nous, sont les personnes qui ont le plus d’influence sur nous et pourtant ce ne sont pas toutes des ‘hors-bords !’
Alors je pense en effet, qu’il nous appartient de faire le tri, quitte à utiliser l’exercice de Stone pour y voir un peu plus clair.
Et somme toute, ne nous pourrons jamais aidé efficacement une personne, si celle-ci n’a pas décidé elle-même de voir les choses différemment.
On pourrait leur rappeler aussi une citation à ceux-là:
AIDE TOI ET LE CIEL T’AIDERA.
Excellente journée à tous.
Albin
Bonjour,
C’est bien de nous remettre ce genre de choses en tête c’est vrai que les états d’âme sont contagieux.
Le véritable challenge c’est d’instaurer un changement dans nos relations et que ce soit durable. Comme avec l’exemple du pauvre Claude qu’il faudrait lâcher petit à petit.
Nous savons que l’environnement nous influe beaucoup et si celui-ci est rempli de personnes positives, heureuses alors nous recevront toute cette énergie également.
A bientôt et merci pour cet article qui fait réfléchir!
J’aime bien le titre !
C’est vrai que l’environnement est capital …
La citation de Jim Rhon me rappelle ça :
Faites la liste des 5 personnes que vous fréquentez le plus, notez leurs salaires en face et faites la moyenne de tous ces salaires.
La moyenne correspond au votre ;)
J’aime bien le titre !
Oui, moi aussi, mais merci surtout à Wyland ;)
Salut Cédric
Ton article est sympa. L’idée qu’il défend aussi.
Mais je me pose une question : Qui va aider les amarres alors, si tous les hors-bords se barrent et s’attachent entre eux ?
On pourrait y penser un peu aussi. On a tous été, un jour ou l’autre, l’amarre de quelqu’un. Et on était bien content de s’y accrocher un peu à ce quelqu’un.
Bonne journée
Yvon
Salut Yvon,
Il y a des gens qui sont malchanceux, ou qui vivent un coup de déprime, suite à un concours de circonstances. Et bien évidemment, ces gens là méritent notre aide et notre sympathie.
On a tous connu le jour où l’un de nos meilleurs potes pleurait le Nil sur notre épaule, parce que sa nana s’était tirée avec un autre. On l’a soutenu, et on fait tout ce qu’on a pu pour l’aider.
Mais ce ne sont pas de ces gens-là dont je parle dans mon article.
Je parle ici de ceux qui sont incurablement malheureux. Ceux qui ont choisis de se positionner en victimes, et qu’il est impossible d’aider. Quoi que nous fassions, c’est peine perdue.
Ce sont ces gens qu’il est préférable d’éviter, ou de fréquenter le moins possible.
Cédric et Yvon bonjour,
Je ne serai jamais d’accord avec ça. Et ce pour trois raisons :
1/ Chaque individu a de bons et de mauvais cotés (et encore : c’est relatif). L’attitude « amarre » est un mauvais coté, certes. Mais personne ne saurait être résumé à ce fonctionnement négatif. Il peut y avoir beaucoup d’autres qualités humaines chez une « amarre ».
2/ Les mauvais cotés des gens qui nous entourent sont des mines de renseignements. Ce sont des boussoles inversées. Il y a, derrière chaque névrose, une intelligence inconsciente absolument gigantesque. Infiniment supérieure à la plupart des intelligence conscientes. Plutôt qu’amarre, je préfère donc appeler ces gens des boussoles inversées. Je m’en sers depuis l’âge de douze ans, et ils ne m’ont jamais déçu. En cas d’hésitation, il vaut infiniment mieux faire appel à une boussole inversée qu’à n’importe qui d’autre. C’est magique ! Il suffit de faire le contraire de ce qu’ils indiquent… et c’est le succès assuré ! Sans compter que je trouve ça comique !
3/ On gagne toujours à se demander : « qu’est-ce qu’il y a, en moi, que j’ignore et qui m’a amené à croiser la route de cet individu ? ». Il y a là un mystère à résoudre ! Fuir l’individu en question avant d’avoir résolu l’énigme est, au plan de la connaissance de soi, un véritable gâchis. Fuir plutôt que comprendre n’a d’ailleurs jamais entraîné que la répétition du problème… jusqu’à sa résolution.
Comme on le voit, je ne défends absolument pas le comportement « bon Samaritain » qui fout sa vie en l’air pour essayer d’aider des gens irrécupérables. Non, il ne s’agit pas du tout de foutre sa vie en l’air. Au contraire !
Bernard
Salut BK,
on est vraiment, mais là vraiment sur la même longueur d’ondes!
Jung dit (ou à peu près): Tout ce qui est inconscient tend à devenir évènement .
Alors, si tu te tapes tous les pleurnichards de ton environnement, réfléchis à ce qui se manifeste là sous tes yeux. Si tu travailles correctement là dessus, par magie, ils disparaissent.
Et je vais rajouter un truc: ça marche même pour son conjoint. Pas besoin de le virer: il suffit d’augmenter ta propre énergie positive, nettoyer tes vieilles casseroles, lui dire stop de temps en temps ; je vis depuis 28 ans avec le même gars et je sais de quoi je parle!
Et si vous voulez un peu d’énergie positive, en voici: http://youtu.be/HM9EgZuX1Fk
Ils disent tous de faire de la vidéo: Voilà ce que ça donne quand les amateurs (ma fille et moi) y mettent tout leur coeur! Enjoy!
Marie-Noël
Eh bien, Marie-Noël, à en croire le compteur YouTube, j’étais le premier à visionner ta vidéo. Tu te rends compte : le premier dans le monde entier !
En tout cas, félicitation pour le sérieux de l’entreprise : on comprend bien le message.
Bonne soirée
Bernard
Tout à fait d’accord avec toi Yvon
mais le tout est de ne pas couler avec celui qui nous plombe l’existence parce qu’il serait souhaitable de faire (et que je fais avec amis et clients) c’est de leur faire comprendre que dans tout ce qui nous arrive nous avons 1) une part de responsabilité et 2) que la situation difficile est une erreur tant que nous ne l’avons pas transformée en expérience.
Je suis déjà dans cette phase de « thérapie » consistant à fréquenter de moins en moins les personnes qui « infiltrent » notre esprit négativement.
Ce sont surtout des collègues, qui, j’espère bientôt, ne seront plus que des EX-collègues. Ce sont de véritables pôles négatifs ambulant se focalisant sur leurs petites manies de fonctionnaires.
Vraiment, c’est vrai que ça prend la tête. Depuis que j’ai réussi à me dégager de ce milieu pourri (j’ai la chance de pouvoir continuer à percevoir un salaire tout en travaillant à partir de mon domicile), c’est fou ce que j’ai progressé.
Cela n’est pas venu tout seul. J’ai fait des efforts afin d’obtenir ce privilège de pouvoir les éviter. Je suis presque parvenu à tout couper. Encore un effort vers mon autonomie financière et je pourrai dire au revoir définitivement à ces pots de négativité.
Excellent article comme toujours. :)
Sam
Hello Sam & Cédric ,
Comme toi Sam, j’étais aussi entourrer de personne qui attirer à eux tout les problèmes du monde à cause d’une pensée négative. Attention, je ne suis pas un fervent adepte de la pensée positive mais comme le dit Jim Rohn : « Vous représentez la moyenne des cinq personnes que vous fréquentez le plus souvent. »
@++
Mik
Salut Cédric,
La 1ère chose qu’on apprend en secourisme, c’est de ne pas se mettre soi-même en danger pour sauver l’autre, pour éviter de créer un sur-accident.
Ton article me fait un peu penser à ça : ne pas se laisser contaminer par le défaitisme ambiant et ajouter 2 personnes négatives à ce monde, au lieu d’une seule.
Maintenant, c’est vrai que quand ce sont des proches, ça n’est pas évident.
Pour répondre à Yvon, peut-être faut-il d’abord passer, au départ, par une phase où l’on s’isole un peu des personnes négatives, afin de se construire pleinement.
Une fois les fondations bien posées (c’est-à-dire lorsqu’on sait qu’on ne se laisse pas démoralisé ou contaminé par le 1er venu), alors, on peut aller vers les autres.
Pour justement leur servir d’amarre dans un premier temps, et leur expliquer qu’ils peuvent eux-aussi se transformer en hors-bord.
Bonjour Cedric, je te suis à 95%. Je mettrais un petit bémol cependant. Si l’on croise la route de ceux qui peuvent sembler faire partie du groupe des « amarres », gardons à l’esprit que leur potentiel est de toutes façons toujours bien supérieur à ce qui apparaît et qu’il suffit parfois de peu de choses pour provoquer une prise de conscience salutaire et ramener la personne dans le clan des « hors-bords », de ceux qui poursuivent des buts. Mais tu as raison, il y a les « amarres » qui ne changeront pas de bord (ou que très difficilement) et dont il vaut mieux savoir s’écarter…..c’est une question de survie .
Bravo Yvon, enfin un qui ne lèche pas le c…dans ses commentaires pour obtenir du traffic, il en a déjà par sa propre valeur. Sinon on plû qu’à rentrer tous dans le nouvel ordre mondial…et pourquoi pas aussi prendre conscience qu’en fait on est trop nombreux qu’on est pas tous intelligent et en tuer quelques milliards, çà laisserai de la place pour ceux qui restent et ils pourraient se gaver un peu plus.
Ni gourou, Ni dieux, Ni maîtres.
Fais attention à toi Cédric, que le succès ne te monte pas trop à la tête, nous sommes des êtres humains, faudrait pas l’oublier……On n’est pas sur cette terre pour ce programmer comme des robots pour atteindre un certain succès ! » voir, l’adoration du veau d’or ou çà nous a amené, c’est écrit depuis longtemps……………..
J’aimais bien tes articles quand tu parlais de connaissance à propos du marketing sur internet, mais là tu pars en c……!
Richard
Bonjour Richard,
Je ne suis pas sûr que les propos de Cédric soient aussi radicaux que ce que tu en dis.
L’idée c’est simplement de savoir s’entourer de gens qui nous aident à obtenir le meilleur de nous-même, et pas à nous lamenter et nous enfoncer.
Personnellement, j’ai fait des belles études, et je devais avoir un bon job, tout bien comme il faut pour tout le monde.
Seulement, j’ai changé de voie, pour m’épanouir ailleurs.
Aujourd’hui je développe mon projet, et mes mentors et mes potes qui croient en moi et me soutiennent me tirent plus vers le haut que certaines personnes de ma famille qui me répètent qu’il faut absolument un petit boulot pour être en sécurité, que j’aurais jamais du lâcher mon poste et que ça va être galère.
Cédric dit juste qu’il faut savoir bien s’entourer à certains moments de sa vie.
C’est comme utiliser le bon outil : tu veux manger ?
Tu ne vas pas te servir d’un tournevis.
Tu veux cultiver le positif et croire en toi ? Tu ne vas pas t’entourer de gens qui te répètent que la vie est dure et que ce que tu veux faire ça n’est pas possible.
@ Greg
« il faut savoir bien s’entourer à certains moments de sa vie »
As-tu idée de l’intelligence de la vie ? Du réseau des interactions au sein de l’infini ? La vie, ce projet systémique très, très global, « combine » à chaque instant exactement l’environnement qu’il te faut, et cela en collaboration étroite avec ton conscient et ton inconscient.
Alors, la « recette » est simple : plus ton intelligence se syntonise avec l’intelligence de la vie, et moins tu as besoin de « savoir bien t’entourer ».
Car tu es déjà parfaitement entouré. A toi d’employer au mieux ce que la vie met à ta disposition, et cela précisément avec toute l’intelligence que la vie met à ta disposition.
Et, comme tu es intelligent tu dois bien te douter qu’il y a ici des astuces à mettre en oeuvre, des ruses un peu plus finaudes que d’expulser ce que tu crois mauvais et de courir après ce que tu crois bon. Surtout lorsque ce que l’on croit mauvais… c’est d’autres êtres humains.
Bernard
Coucou Bernard,
Oui, je réalise chaque jour un peu mieux combien la Vie et l’Univers sont merveilleusement bien « huilés » et je n’essaie même pas d’imaginer le prodigieux mécanisme qu’il y a à l’oeuvre derrière.
J’ai aussi pleinement conscience que rien arrive par hasard et que, bien sûr, nous attirons toujours les gens que nous rencontrons. Et qu’il y a une raison, un message caché dans les rencontres que nous faisons, qui nous invite à l’introspection.
Seulement parfois, je préfère faire jouer mon rationnel : si les rencontres à un moment donné me sont trop « pénibles », dans le sens dérangeantes, et ne semblent pas pour l’instant m’apporter quelque chose qui m’apparait constructif (sans doute parce que je ne suis pas prêt à recevoir le message), je préfère alors provoquer un peu (pour ne pas être non plus dans le déterminisme absolu) et prendre le large par rapport à ces personnes (ce qui n’est sans doute pas un hasard non plus.. mais où commence donc le libre arbitre bordel ! ;-)).
Petite précision qui me tient à coeur, je n’ai jamais parlé (et ne parlerais jamais) de gens ‘mauvais’. Simplement de personnes dont j’ai l’impression qu’à un moment donné, elles ne me nourrissent pas de façon constructive (bien qu’elles doivent me nourrir quelque part pourtant)
– Le « rationnel » divorcé de l’intuitionnel… ça s’appelle « rationalisme ». Et ça, c’est pas bon pour ce qu’on a !
– Le maître en arts martiaux échappe à tout déterminisme en se servant de la force de son adversaire. Il ne se contente pas de laisser les choses arriver, il accompagne activement le mouvement des choses. C’est une action d’une puissance infiniment supérieure à celle que l’on déploie dans la confrontation.
– Le libre arbitre se situe exclusivement dans le choix d’être ou non conscient de la nature 100% conditionnée de notre individu et de sa chienne d’existence.
– C’est dire que tous les arguments que tu avances ne sont valables que si tu as pleinement conscience de leurs tenants et aboutissants.
Mais, si c’est le cas… alors, ça va !
That’s all, folks !
Bernard
Richard, je te trouve un peu dur dans tes propos. Cédric n’a rien inventé comme toi non plus avec le veau d’or. Il est un fait indéniable, c’est que l’on est influencable selon l’environnement dans lequel on évolue. Tu as de multiples métaphores pour illustrer mes propos.
Mettre un moins et un plus peut s’avérer un exercice salutaire dans certains cas, et parfois critiquable pour la méthode
mais franchement y a pas le feu au point de faire taintamarre :)
Bonjour Cédric,
Il y a quelques années j’aurais adhérer à cent pour cent à cet article.
Aujourd’hui je suis plus mesuré.
Même si tu as raison de mettre en garde contre les influences négatives.
Les amarres d’un côté, les hors-bords d’un autre.
D’accord, mais qu’est-ce qui les relie ?
Il y a de fortes chances que nous soyons les hors-bords de quelques-uns
et les amarres de quelques autres.
Je crois que nous pouvons sortir quelques amarres de leur torpeur, tout en
privilégiant la compagnie de gens plus dynamiques et positifs.
D’une part, il n’est pas si difficile, avec de l’entrainement et une vraie motivation,
d’apprendre à se fermer aux influences négatives.
D’autre part, la sélection naturelle se fait vite, au nom de l’adage
« qui s’assemble se ressemble. »
Auquel j’ajouterai ma devise personnelle :
cours après tes propres rêves et crée tes propres vérités.
En tous cas, voilà un sujet de discussion fort intéressant.
Bonne journée
Jean Paul
Bonjour, je crois que le mot le plus important est équilibre. Personne n’est parfait, on peut être amarre un jour et hors-bord un autre jour et ainsi va la vie.
Chacun est à même de juger qui il doit écouter ou non.
zenie
Super pour cette nouvelle Année…
Un jour quelqu’un m’a dit
« Il faut créer de l’espace pour que quelque chose de nouveaux arrivent…»
Faire des choix n’est pas toujours facile, mais c’est ce qui nous fait avancer…
Aujourd’hui je suis heureuse de tous les choix que j’ai fait dans ma vie. Au début famille et amis ne comprennaient pas, aujourd’hui ils sont ravis.
Notre vie et notre futur se cronstruit sur une multitude de petits choix…
Il ne faut pas avoir peur de l’inconnu, c’est notre plus grand ennemi pour avancer…
Bonne Année à tous… pour cette Nouvelle Année du Dragon…
Surtout il ne faut pas avoir peur de Rêver, il faut imaginer notre Futur pour y arriver et le vivre un jour…
Hello,
D’accord sur la théorie, mais comme certains ici, je pense qu’il faut quand même modérer tout ça. Peut-être que le côté radical est dû au format court de l’article, je ne sais pas…
D’une part, la posture d’exclusion me chiffonne. Dire qu’il faut tourner le dos aux malchanceux et à ceux qui se noient, me semble dangereusement proche de dire la même chose des pauvres, des malades, des toxicos, des handicapés, des sans-papiers, et de tous ces rebuts de la société qui viennent manger le pain des français.
Par ailleurs, dans la pratique, j’ai effectivement quelques amis toxiques, que j’évite de fréquenter. Mais j’ai moi-même été une sacrée grosse amarre pendant pas mal d’année, dépressif en colère, prêchant le malheur comme une philosophie, et s’il n’y avait pas eu des gens (notamment ma femme) pour croire en moi, je ne serai peut-être pas là aujourd’hui.
Elle a peut-être été « retenue » pendant un moment, mais aujourd’hui on avance ensemble…
Simon
Qui t’a aidé?
Et pourquoi?
Est-ce toi qui a demandé de l’aide et qui a voulu s’en sortir?
Un an de thérapie avec deux thérapeutes différents, à raison de 2 visites par semaine pendant les premiers mois.
Ma femme m’incitait à voir un thérapeute depuis des années, et je trouvais toujours des excuses… finalement un heureux concours de circonstances m’a permis de me jeter à l’eau….
Enfin bon, on va pas faire mon analyse ici hein ;-)
Non on fera pas ton analyse mais toi, tu l’as fais!
Tu as décidé à un moment donné de changer ta vie, ce n’est pas quelqu’un qui l’a fait à ta place.
Pour cela je te dis Bravo!
Continues sur le beau chemin que tu as décidé de suivre.
Gino
Merci Gino !
Bonjour Cédric,
J’ai assisté à une conférence ce weekend à Montréal, il y avait 5 conférenciers et un animateur lors de cette journée.
4 conférenciers sur 5 et l’animateur de la journée ont tous parlés de l’importance de s’entourer des personnes positives et de réduire le contact avec les personnes positives.
Je parlerai de mon expérience sur cette journée sur un article à paraitre sur mon blog.
Incroyable les bienfaits d’une journée en compagnie de 200 personnes positives. Quel boost!
Couper complètement les ponts avec les négatifs, c’est radical, mais réduire les visites, pourquoi pas?
Si la personne vous demande pourquoi vous les fréquentez moins, répondez-leur franchement , vous avez des projets à réaliser ou vous n’aimez pas leur attitude!
C’est une belle façon de les aider en leur disant la vérité, vous pouvez aussi leur prêter un livre sur le développement personnel etc..
S’il ne comprennent pas le livre et qu’ils vous disent, je ne me reconnais pas la-dedans alors que le livre leur convient parfaitement. Larguez les amarres!
Pour Richard, je crois que tu déformes un peu trop les propos de Cédric.
Les mots de Yvon ne sont pas vraiment dur, il voulait mettre un petit bémol sympa.
Tu aurais pu toi aussi ajouter un bémol sympa mais j’imagine que tu voulais avoir de la visite sur ton blogue.
Ça faillit fonctionner mais quand j’essaie de visualiser ton blog, je tombe sur le message suivant : Warning: Unknown: failed to open stream: Permission denied in Unknown on line 0
Ce sera pour une prochaine fois!
Salut Gino,
Je peux comprendre ce que tu ressens lorsque tu es allés à ce séminaire où il
y avait 200 personnes positives, enthousiasmante et énergique. Étant allée
à un de ces séminaires en Septembre ( A. Robbins ); on était 6000 personnes dans
la salle et l’énergie qui s’en dégageait était vraiment fantastique.
Amicalement,
Mik
Salut Mik,
6000 personnes, ça doit être l’enfer total!
Quel boost
Mon article devrait paraitre aujourd’hui ou demain au sujet de mon expérience.
Salutations
C’est malheureusement une constatation que j’ai eue récemment. Nos meilleurs amis peuvent devenir nos pires ennemis parce qu’ils ne veulent pas nous voir changer. Quelqu’un qui nous a vu pendant 10 ans agir d’une certaine manière ne tolérera absolument aucun changement, même si c’est pour du mieux.
Quant aux personnes tout simplement négatives qui nous tirent vers le bas, je ne ferai pas de commentaire ^^
Bonjour à tous,
Whaou, une jolie petite histoire de hors-bord, tout à fait anodine (?), et voilà des commentaires pas anodins du tout, et de l’action. Super !
J’ajouterai juste que :
le meilleur hors-bord du monde … doit regagner son amarre à un moment où un autre.
Et même si vous choisissez un bateau à voile qui a plus d’autonomie, il doit rentrer au port faire les provisions et l’entretien.
Doit-on vraiment choisir entre les 2 ? Le peut-on d’ailleurs ?
On peut choisir de passer beaucoup de temps en haute mer.
Si on y reste tout le temps, nous devenons … Robinson Crusoé !
Bonne navigation à tous !
Bonjour Cédric
Que de bons commentaires pour cet article, vraiment l’expression « larguez les amarres et attachez-vous aux hors-bords » a tout son sens.
Je crois qu’il faut se construire une carapace contre les propos négatifs que peuvent nous lancer ceux qui nous côtoient, ces propos doivent nous couler sur le dos comme l’eau sur le dos des canards.
En adoptant cet attitude, vous entendrez de moins en moins de propos négatifs non pas parce qu’ils vous en diront moins, mais parce que vous ne les entendrez plus et mêmes les pensées positives que vous entretiendrez à tous les jour seront celles qui combattront d’elles mêmes ses adversaires.
« Et, ce crétin de Claude, « de mon passé » je peux bien le virer de ma vie. J’ai jamais pu le sentir, cet imbécile… Mais, je vais quand même pas virer le meilleur Claude d’aujourd’hui ! »
Amicalement
CLAUDE
Arf… Toutes mes excuses mon cher Claude ;)
Habituellement, lorsque je dis des choses pas gentilles, j’utilise le prénom de ADOLPH. Parce que je me dis que (presque) plus personne ne doit porter ce prénom, et ainsi je ne risque pas de blesser quelqu’un…
Je ferai plus attention, la prochaine fois.
Mea culpa, cher ami.
@ Cédric
Pas de souci, j’ai même trouvé ça comique, le négatif ne me concerne pas!
Tu peux même parler de moi dans tes articles… j’aime bien !
Amicalement
Claude
Merci pour ce nouvel article qui va permettre, si mis en application, de nous tirer vers le haut et d’être nous aussi des hors-bords plutôt que des amarres ! Il n’est pas toujours évident de passer d’un état à l’autre si les habitudes sont ancrées depuis plusieurs années alors soyez patients avec vous-même ! Redirigez tranquillement, sereinement vos habitudes de vie vers ces gens toujours souriants, qui ont des projets plutôt que des problèmes et, une fois dans leur sillage, le but n’est pas de devenir une bouée ballotée par les flots mais d’être a minima à leur hauteur … Ensuite, pourquoi pas ne pas allez parfois devant tels ces coureurs du Tour de France qui font des relais pour « protéger » leur leader ?
En fait c’est surtout de fréquenter les gens qui peuvent nous tirer vers le haut, et s’entourer. Se créer un réseau, et naturellement on aura moins de temps pour les plus négatifs. Mais il faut savoir je pense aider tout le monde et ne pas renier ses amis.
C’est un bon article. Et je ne le dis pas pour placer un lien.
C’est pas l du tout ceci : « Vous représentez la moyenne des cinq personnes que vous fréquentez le plus souvent. »
C’est clair qu’il faut s’en éloigner sa apporte jamais rien de bon de toute façon…
Excellent Cédric,
J’en ai marre d’entendre, » c’est la crise en ce moment », c »‘est à cause de Sarko tout ça ».
On s’adapte aux évènements au lieu de les subir. On fait en sorte de s’en sortir, car les seuls responsable c’est nous.
Devenons la personne positif qui va influencer tout les négatifs:)
A bientôt;)
Oufti !!! comme on dit à Liège
Que de réactions à ce bel article !!
Il y a à boire et à manger.
Personnellement, plutôt que de rejeter systématiquement les « amarres », je préfère une position d’équilibre.
Je crois qu’il y a des amarres plus ou moins lâches, prêtes à rompre et des hors-bords plus ou moins rapides, sans oublier les bateaux de sauvetage.
Instinctivement, j’évite les personnes trop négatives.
J’ai plutôt tendance à venir en aide à ceux qui le veulent bien, mais je ne peux bien sûr, forcer personne à aller bien.
Dans la vie, il y a aussi des locomotives qui vont de l’avant et des wagons, qui suivent : à chacun sa place, le principal étant de ne pas décrocher.
Et, comme dans les vols en « V » des oies migratrices, les leaders se font régulièrement remplacer par les oiseaux de la queue du « V », bien reposés.
Juste un petit avis.
Jacques (Bruxelles)
je suis d’avis après lecture de tous les commentaires ci-dessus qu’il faut rester équilibré entre le négatif et le positif; tout en privilégiant le positif.
généralement, lorsqu’on commence à travailler on a des amis qui sont comme nos amarres. si on commence à les fréquenter de moins en moins, ils diront que le fait d’avoir de l’argent nous change complètement.
ma méthode pour gérer cette situation, c’est de continuer à être avec eux; mais quant aux projets que j’ai envie de faire, ils ne sont pas tenu de le savoir si je vois qu’ils n’apporteront que des remarques négatives. :)
Tres génial cet article. Je vois que les idées viennent en cascade chez vous. Je ne sais pas comment je pourai vs remercier pour tout ce que j’ai déja lis de vous. Je deviens un webmarketteur sans trop d’effort. Merci pour tout Cedric.
Tres génial cet article. Je vois que les idées viennent en cascade chez vous. Je ne sais pas comment je pourai vs remercier pour tout ce que j’ai déja appris de vous. Je deviens un webmarketteur sans trop d’effort. Merci pour tout Cedric.
Bonjour,
Je suis d’accord avec toi, certaines personnes sont toxiques toujours négative, jamais contente etc….
D ailleurs certaines personnes me reprochent parfois d’être trop négative alors j’essaie de faire des efforts.
Mais je me rend compte que les personnes négatives sont souvent celle qui n’ont pas le courage de faire les choses et qui veulent vous décourager vous aussi.
Bonne journée à tous.