Le poids des histoires, le choc du réel – ou pourquoi Cédric a (peut-être) tort
Article invité rédigé par Florence CERFEUILLE du blog À mots déliés dans le cadre de l’événement La Valse des Invités.
La plupart d’entre vous le savent : pour vendre, pour faire réagir les gens de façon générale, il faut raconter une histoire.
Quelque chose d’inspirant, d’éclairant, pas forcément marrant (là, c’était pour la rime !) mais suffisamment marquant pour qu’on ne l’oublie pas.
Vous le savez forcément si vous lisez ce blog : Cédric le dit souvent. D’ailleurs, il a toujours de bonnes histoires sous le coude pour vous en convaincre.
Et s’il avait tort ?
Vous me direz que c’est gonflé de s’inviter sur son blog pour le contredire… et vous aurez raison !
Mais vous savez aussi (Cédric le répète encore plus souvent !) qu’il faut oser prendre des risques. Sortir de sa zone de confort. Demander pour obtenir quelque chose.
Et s’il avait raison ?
Après tout, tout ce qu’on risque, c’est un refus.
Tout ce que je risque, avec mon article invité, c’est de me faire claquer la porte au nez. Virtuellement, en plus. Je devrais pouvoir m’en remettre.
« Ne me racontez pas d’histoires ! »
Vous avez certainement déjà entendu ça quelque part… Est-ce à dire que les histoires ne fonctionnent pas toujours ? Qu’il y a des allergiques aux histoires ?
Sans doute.
À certaines histoires, en tout cas. Mais lesquelles ?
- Celles qui sonnent faux, qui sentent le fabriqué
Une bonne histoire (entendez par là une histoire utilisable) doit avoir l’air vrai. Même si elle ne l’est pas. Surtout si elle ne l’est pas !
L’histoire qui vous fait aussitôt penser « ça ne tient pas debout » est contreproductive. Car si elle marque le lecteur, elle le marque en négatif. Il la retient comme l’histoire du gars (ou de la fille) qui raconte n’importe quoi.
Il y a meilleur comme image.
- Celles qui sont invraisemblables
C’est le niveau au-dessus. Non seulement vous n’y croyez pas parce que « ça ne tient pas debout », mais en plus vous vous dites « c’est vraiment trop gros ». Et là, vous avez l’impression d’être pris pour un imbécile.
Personne n’a jamais aimé ça.
Cette histoire-là, le lecteur la retient comme celle du gars (ou de la fille) qui méprise ses lecteurs. C’est le jackpot assuré. Celui qui vous fait tout perdre.
Parlons vrai
Les histoires, c’est bien beau ; ça fait sourire ou réfléchir selon l’humeur et le sujet, mais finalement, ça touche assez peu. Largement moins que du vécu. Du réel.
Une baffe réelle, je ne sais pas vous, mais moi, ça me marque bien plus qu’une mort virtuelle, voire même plusieurs. Et des baffes (positives ou négatives), on en a tous pris, pas vrai ?
Alors, au lieu de chercher des histoires à raconter, pourquoi ne pas fouiller dans sa propre expérience, dans son propre vécu ?
Préférer le choc du réel au poids des histoires.
C’est tout bénéfice pour tout le monde.
- Pour vous
Parce que le temps d’introspection nécessaire vous permet de (vous oblige à ?) faire un retour en arrière pour voir ce qui vous a marqué, ce qui a marché pour vous ou ce qui a raté.
Bref, de faire un bilan d’étape. De mieux vous connaître aussi.
Petit à petit, vous verrez de grandes lignes se dessiner. Des forces apparaître. Des pierres précieuses émerger au fond du tamis. Vous serez plus vous-même.
- Pour vos lecteurs
Parce que le goût du réel est inimitable et qu’il se reconnaît entre mille. Ce goût, il vous reste au fond de la gorge. Il se dépose sur la langue et y reste. On ne l’oublie pas.
Il va être plus sucré ou plus amer, plus acide ou plus fort. En tout cas, il va être « plus ». « Plus », mais pas « trop ». Et vous allez sortir du lot. Comme celui (ou celle) qui s’implique vraiment. Celui ou celle à qui on peut faire confiance.
Celui ou celle « qui ne raconte pas d’histoires » !
C’est le jackpot assuré. Celui qui vous fait tout gagner.
Une petite histoire, pour finir ? Et puis quoi, encore !
PS: Florence vous recommande d’écouter Smokers Song de Imelda May :
Article invité rédigé par Florence CERFEUILLE. Visitez son blog À Mots Déliés
38 Comments to “Le poids des histoires, le choc du réel – ou pourquoi Cédric a (peut-être) tort”
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Salut Florence,
Toute une histoire ton article…
C’est vrai qu’on a tendance à aller chercher à l’extérieur des choses qu’on pourrait peut-être trouver à l’intérieur.
En plus, il y a la tendance à la surenchère dans les histoires « incroyables ».
Le truc qui me gêne le plus parfois, c’est d’entendre plusieurs versions d’une même histoire (une fois ça s’est passé dans un camion, une autre fois c’était sous un arbre, parfois ils sont 3, d’autres fois c’est 12…)
Du coup, on peut alors bien sûr creuser en nous pour trouver des choses qui sortent du commun : c’est un bon réflexe que tu nous invites à prendre là, je vais essayer !
Par contre, attention à ne pas non plus transformer peu à peu notre propre histoire… A force de raconter des trucs qui nous sont arrivés, si on y met une touche marseillaise, on finit par y croire nous-même ;-)
Bonjour Greg,
Dis-donc, tu es un vrai Lucky Luke des commentaires ;-)
En plus (comme toujours :-)) tu as tout à fait raison : il y a un équilibre à trouver. Ne pas en faire trop, ne pas prendre la grosse tête non plus, surtout ne pas se « fabriquer » une histoire…
En bref, rester sincère.
Florence
J’en avais une d’histoire pour ce blog et la valse…
Pas de bol, je suis arrivé trop tard. Cédric avait déjà les 15 articles… Snif.
Et pourtant elle est extraordinaire mon histoire.
Alors comme il est dit dans l’article, j’ose. Je vous met le lien ici:
http://des-trucs-pour-changer-de-vie.blogspot.fr/2012/06/lhistoire-extraordinaire-de-joel-allen.html
Parce que franchement, l’histoire de Joel Allen, elle vaut le coup. Elle est même certainement unique ! ;)
Sam
Bonjour Florence
Rien de tel que des histoires vraies. Pierre Bellemare a en raconté des centaines et a tenu ses auditeurs en haleine, sur Europe 1, pendant des années.
Effectivement, en fouillant dans sa propre vie, on trouvera toujours des faits importants, qui nous ont marqués et qui vont, sans aucun doute, marqués ses lecteurs.
Mais comme le dit Gregory, attention de ne pas s’inventer une vie…toute vie est passionnante, regardez bien la votre et vous trouverez surement de histoires à partager.
Ceux qui ne me connaissent pas encore peuvent voir mon parcours de vie sur mon blog
Amicalement
Christian
Bonjour Christian,
Ah, les histoires vraies de Pierre Bellemare… Je me souviens qu’adolescente, à cette époque lointaine où Internet n’existait pas et où mes parents n’avaient pas encore investi dans une télévision, j’ai passé des heures à m’en délecter.
D’ailleurs, à y réfléchir, elles ont sans doute contribué à me donner l’envie d’écouter les gens se raconter !
Florence
Salut Florence, bel article pour ouvrir cette valse, bravo et merci !
En effet la réalité nous marque toujours plus, même si nous aimons parfois nous bercer d’illusions… ;-) Mais comment expliquer que des histoires totalement délirantes semblent parfois plus vraies que certaines bien réelles ?
Peut-être que la différence entre vraisemblance et invraisemblance ne tient pas tant à la réalité ou au « contenu » de l’histoire, qu’à notre façon de la raconter. Comme tu le dis, « même un histoire fausse, surtout une histoire fausse, doit AVOIR L’AIR vrai ».
D’ailleurs, même en s’inspirant de son vécu, on peut encore romancer et exagérer complètement la réalité : tout dépend du point de vue de chacun, et il n’y a pas plus subjectif qu’une histoire personnelle ! Il n’y aurait donc pas une ‘réalité’ qui s’opposerait à l’imaginaire ou aux artifices narratifs, mais seulement du ‘réalisme’ à propos de cette réalité, qui constitue en lui-même un procédé rhétorique parmi d’autres…
La question devient donc : comment rendre réaliste une histoire qui est peut-être bien réelle, mais qui semblerait complètement folle si on la racontait telle quelle ? Qu’en penses-tu et quelles pistes proposes-tu dans ce sens ?
A l’inverse, comment démêler à tout prix la réalité du rêve et de l’imaginaire, et est-ce vraiment nécessaire ?
Enfin, suggères-tu de puiser seulement dans son propre vécu ? Doit-on toujours parler de soi, et uniquement de soi en tant que seul sujet bien réel, ou peut-on par exemple parler du ‘pote du pote qui connait un pote qui lui a raconté qu’un pote…’ ?
Au plaisir de te lire, sur VM ou sur ton excellent blog,
Valentin
Bonjour Valentin,
Eh bien, dis-moi, quand tu commentes un article, tu ne fais pas les choses à moitié :-)
Je ne suis d’ailleurs pas sûre d’avoir une réponse à apporter à toutes tes questions… Je suis même sûre qu’elles vont me faire réfléchir un bon moment !
Il arrive bien sûr qu’on romance son histoire. Il arrive beaucoup plus souvent qu’on la transforme sans en avoir vraiment conscience, surtout quand on s’attaque à son passé. Le filtre de la mémoire ne laisse pas tout passer. Notre point de vue évolue aussi avec le temps.
Alors, la réalité, c’est un peu comme la vérité : une sorte de Graal inaccessible. Ou une utopie. Surtout si on considère qu’il est bien difficile d’être objectif envers soi-même ! Inconsciemment, j’avais d’ailleurs écrit subjectif à la place d’objectif, c’est dire…
Il me semble que ce qui donne du poids au réel, aux histoires vraies, ce qui fait qu’elles nous touchent, c’est l’expression des émotions qui vont avec. Parce qu’on s’y reconnait. Dans ce cas, si certaines paraissent fausses, c’est peut-être parce que les émotions présentes ne nous parlent pas. Sont trop éloignées de notre univers.
Je ne suis sûre de rien : je réfléchis au fur et à mesure que j’écris. Toutes les réactions seront les bienvenues :-)
En tout état de cause, c’est en effet le réalisme qui est important, plus que la réalité. Alors, démêler à tout prix la réalité du rêve et de l’imaginaire ne me parait pas forcément indispensable.
Quant à décréter qu’il ne faut parler que de soi, non, ce n’est pas mon propos. Ne serait-ce que pour élargir son horizon, il est quand même important de regarder autre chose que son nombril. Mais partir de son vécu (et les interactions avec les autres, y compris par le biais de leurs propres « aventures », en fait partie) me parait plus intéressant que de chercher forcément des histoires à raconter.
Florence
Salut Florence, merci pour ta réponse très complète.
Je retiens :
1 – Qu’il faut des émotions ;
2 – Que ces émotions soient « vraies » ;
3 – Pour qu’elles soient vraies, autant chercher dans notre vécu, ou en tout cas parler de quelque chose qui nous a vraiment touché.
Après, savoir si l’on peut faire croire à des émotions que l’on n’éprouve pas vraiment, c’est une autre histoire…
A l’oral, cela permet clairement de faire la distinction entre un orateur, sincère et spontané, et… un comédien !
Bof!… Beaucoup de battage pour ne pas dire grand-chose, désolée…
Et en matière musicale, nos goûts différents… Mais c’est bien de découvrir…
Bonsoir Clo,
Cela a le mérite de la franchise.
Rassure-toi (ou pas ;-)) : je ne suis pas vexée. On ne peut pas plaire à tout le monde.
Idem pour la musique : moi, c’est avec le metal ou le rap que je n’accroche pas ; ça ne m’empêche pas de laisser mon fils en écouter à la maison :-)
Florence
Bonjour Florence
C’est une piste très intéressante que te raconter publiquement ses propres expériences.
Peuvent-elles vraiment servir ou simplement avoir du contenu pour son blog?C’est un choix .Une autre possibilité. En tout cas très bon article.
Bonne journée.
Jean-Marie
Bonsoir Jean-Marie,
En fait, tout dépend des expériences que tu racontes, de la façon dont tu les racontes et des enseignements que tu en tires ou pas.
Il ne s’agit pas non plus de raconter ses dernières vacances, juste pour faire du contenu. Ce qui ne veut pas dire qu’il ne faut pas parler de ses vacances : je suis sûre qu’à son retour, Cédric aura des choses à nous raconter qui l’auront fait réfléchir :-)
Florence
Salut Florence, merci d’avoir fait l’ouverture du bal.
Salut Rodrigue,
Avec plaisir, comme on dit dans le Sud-Ouest :-)
Pourtant, la valse, ce n’est pas mon fort :D
Florence
Bonjour Florence,
voilà un bon duel entre deux scénarios de rédaction:
– contenu avec histoires adaptées
ou
– contenu avec expérience réelle
en tout cas ça démontre qu’il soit toujours possible de suivre autre voie que celle que l’on veut nous faire croire être la meilleure pour réussir…
il vaut mieux avoir à choisir entre deux possibilités que de subir le dictat d’une seule solution.
cordialement
Bonjour Mo,
En effet, je le vois plus comme un choix que comme un duel. Une façon de varier les plaisirs, aussi… et éventuellement de surprendre ses lecteurs :-)
Florence
J’aime le style, Florence, merci.
Ce sujet correspond tout à fait à ce que nous faisons sur Comment-Economiser.fr. C’est un blog collectif où nous exposons nos astuces pour économiser au quotidien.
Si nous n’avons pas vécu nos astuces avec la petite histoire, justement, c’est pas crédible du tout !!!
Sur ce, merci à Cédric pour ce blog, et… chouette idée « les invités ».
Bonnes vacances !
Bonjour Sainte Plicité,
En effet, une astuce ne vaut que si elle a été testée et éprouvée… donc vécue :-)
Florence
Bel article invité, belle découverte musicale, je suis sous le charme et ce ne sont pas des histoires !! :)
J’essaye toujours de tiré de mon vécu des petites histoires, des situations pour mettre en contexte. Je serais ravis d’avoir votre avis Florence sur ce que je raconte, je ne suis pas un expert en histoire mais je ne demande qu’a m’améliorer :D !!
Amicalement
Bonjour David,
Merci pour ce commentaire, pour le coup très élogieux. Comme quoi, il faut de tout pour faire un monde… et il y a de tout, aussi parmi les lecteurs de Cédric :-)
Je ne connaissais pas ton blog, mais je viens d’y jeter un oeil… et je crois que je vais approfondir. Avec des titres d’article comme « les femmes qui ont des couilles », forcément, ça attire la curiosité ^^
Florence
Pas mal cet artcile Florence vraiment :)
J’aime beaucoup l’approche contradictoire et le contenu !
Amicalement,
Nassim
Bonjour Nassim,
Merci pour ton commentaire.
L’approche contradictoire m’a semblé être une bonne idée… pour marquer le changement de rédacteur et réveiller les lecteurs !
Tout cela sans trop se prendre au sérieux quand même :-)
Florence
Intéressant ta façon d’aborder les choses. Après tout le monde n’a pas la possibilité de s’ouvrir au point de partager son expérience, de toute façon le web est truffé de choses qui sont toutes plus fausses les unes que les autres.
Je pense que l’idée générale de s’appuyer sur du vécu est intéressant, le meilleure conteur reste ceci dit celui qui saura écouter les autres et transformer leurs histoires pour les rendre plus intéressante, tout en se les appropriant.
Mais au moins cet article invité à le mérite de nous pousser à vouloir en savoir plus sur toi et sur tes expériences.
Bonjour Yannick,
L’idée n’était pas non plus de me mettre en avant.
Le point de départ de cet article, c’est un constat : les histoires (pour ne pas dire les « petites » histoires ou les « belles » histoires) restent moins gravées dans ma mémoire que les « vraies » histoires (je ne sais pas si je suis très claire…)
Après, je suis de toute façon très intéressée par le vécu. Ce n’est pas pour rien que je suis devenue biographe ;-)
Florence
Bonjour. Moi je suis de l’avis qu’il faut alterner entre histoire et expériences véridiques. Pourquoi ne pas commencer par illustrer par une histoire, pour mettre dans le bain le lecteur ou le client. Ensuite enchaîner par sa propre expérience, cela permettra de finaliser l’explication et de bien faire comprendre. Les deux sont pour moi indispensable. On peut toujours en utiliser qu’un seul, mais les 2 c’est mieux.
Bonjour Jacques,
« Les deux, c’est mieux » : je ne suis pas tout à fait d’accord. C’est plus riche et plus varié, mais je le vois plus en alternance qu’en simultané. Sans compter que cela double la difficulté d’écriture : il faut trouver l’histoire qui va bien + le lien avec son vécu. Quand on manque d’inspiration (ce qui nous arrive à tous un jour ou l’autre) cela complique encore les choses.
Florence
Bonjour Florence et merci pour cet article ! Je trouve effectivement qu’en parlant de soi, de sa vérité, les mots touchent plus !
Bonjour Cédric,
Ravie de voir que je ne suis pas la seule à avoir cette sensation :-)
Nous sommes sans doute plus touchés parce que nous pouvons mieux nous identifier.
Florence
Article très intéressant !
Savoir qu’une histoire est réelle, lui ajoute une nouvelle dimension. Il aurait quand même fallu aller dans une optique plus pratique et détaillée ; bref, on en redemande.
Niveau musique, j’avoue ne pas connaître Imelda May. Le morceau est sympa, sans plus.
Cordialement,
Paul
Bonjour Florence !
Je privilégie moi aussi le réel aux histoires que l’on peut conter car il n’y a rien de plus crédible que les faits tangibles !
Enfin, je trouve le raisonnement quand même contradictoire, en effet, on pourrait dire qu’on raconte un fait réel, qui demeure quand même une histoire, enfin, dans son sens premier.
Merci pour l’article en tout cas :p Je vais faire un tour sur ton blog !
Marie
(Et Bonne journée à toi aussi Cédric ! :) )
Bonjour Marie,
Tu mets le doigt sur un point intéressant, à savoir : qu’entend-on finalement par « histoire » ? Un petit détour par le dictionnaire montre que les interprétations possibles sont nombreuses :-)
Florence
Bonjour Paul,
Imelda May n’est pas extrêmement connue en France. Je ne l’ai d’ailleurs découverte que l’an dernier. Je n’écoute pas qu’elle non plus, mais puisque l’idée était de faire découvrir des artistes, je n’allais pas proposer un morceau déjà mondialement connu :-)
Pour le reste, il y aurait beaucoup plus à dire, c’est sûr, mais je ne suis que de passage ici ;-)
Florence
Salut Florence,
Merci pour cet article qui démarre cette valse sur les chapeaux de roue ;)
Cédric
Bonjour Cédric,
Merci à toi de m’avoir ouvert ta porte et accueillie sur ton blog :-)
J’espère que tu profites bien de tes vacances en famille !
Florence
Bonjour Florence
Une discipline pas très simple à mettre en oeuvre.
Un peu d’entrainement et de pratique et tout rentre dans l’ordre.
Je ne raconte que des histoires vécues. C’est plus simple, et ça évite de s’embourber dans une fausse histoire qui se sent. :)
Bonjour Thierry,
C’est vrai que c’est beaucoup une question de pratique. Et de regard porté sur soi. Quand on a pris le pli, on trouve facilement des tas de choses à raconter.
Après, on peut aussi s’inspirer du vécu des autres ;-)
Florence
« Une petite histoire, pour finir ? Et puis quoi, encore ! »
Bin si , pourquoi pas, en voici une* qui n’est pas du vécu mais qui a pris naissance à cause d’un événement vécu sur ce blog.
Les histoires étant faites pour leur donner vie et répandues, la revoic pour ceux qui ne l’auraient pas encore lue.
Bien amicalement
Jacky
* http://jadidalocations.com/blog-maroc/un-petit-conte-oriental/
Comme on dit « des Histoire incroyable… Mais vrai » marquent plus les gens …