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Mettez-vous en danger volontairement – la Stratégie du Lieu de Mort


La stratégie que vous allez découvrir dans cet article est difficile à pratiquer. D’ailleurs, 99 p. cent d’entre vous n’en auront pas le cran !

Mais c’est pourtant cette stratégie qui m’a mené où je suis. Je vous explique comment dans un instant.

Cette stratégie consiste à vous mettre volontairement en danger, dans des situations où vous n’avez plus aucune issue de secours

C’est soit vous réussissez, soit vous êtes mort.

Elle se nomme La Stratégie du Lieu de Mort. Et voici en quoi elle consiste :

(Si vous êtes trouillard, ne lisez pas plus loin…)

stratégie du lieu de mort, dépasser ses limites, plein potentiel

Trouillard, s’abstenir…

L’exemple de la cage au tigre

Lisez ces 2 cas de figure :

Premier cas :

Imaginez une grande cage de 12 mètres de circonférence. On vous donne tous les détails la concernant (matière, espace entre les barreaux, hauteur, résistance, etc.)

À l’intérieur de cette cage ? Un tigre affamé. Énorme. Féroce.

On vous pose ensuite cette question : « Si on met un homme dans cette cage, comment pourrait-il s’y prendre pour en sortir au plus vite ? »

On vous donne le temps que vous voulez pour y réfléchir…

Deuxième cas :

Considérons maintenant la même cage. Et le même tigre. Toujours aussi affamé.

Mais cette fois-ci, c’est VOUS qu’on met dans la cage. En vrai. Vous devez trouver une solution pour en sortir le plus vite possible, avant de vous faire dévorer…

Vous avez encore une fois tout le temps que vous voulez pour y réfléchir… :)

À votre avis, laquelle de ces 2 situations vous permettra de trouver comment sortir au plus vite ?

La seconde est un cas de lieu de mort. Soit vous trouvez une solution pour vous échapper MAINTENANT, soit vous servez de repas à un tigre.

Voyez-vous où je veux en venir ?

Une question de choix

Vous avez un objectif à atteindre mais vous manquez souvent de motivation. Pourquoi ?

La réponse est simple : vous avez des issues de secours. Votre objectif n’est pas une obligation, mais un simple choix parmi d’autres. Vous n’êtes pas dans la cage avec le tigre.

Pour pallier à ce problème, mettez-vous dans une situation où vous n’aurez plus aucun choix. Soit vous atteignez votre objectif, soit vous êtes mort.

Vous devez entrer dans la cage.

Parce que lorsque toutes les issues de secours sont fermées, on est obligé de faire face, et d’avancer. On n’a plus le choix.

Ce n’est plus une question de motivation, mais une question de survie. Ce n’est plus une question de volonté, mais d’instinct.

La fin de Technotitlan

En 1519, Hernan Cortes devait attaquer un demi-million d’aztèques avec seulement 500 hommes. Un soir, il entendit que ces hommes voulaient fuir en bateaux. Et éviter ainsi un combat qu’ils disaient perdu d’avance.

Quelle fut la réaction de Cortes ? Il ordonna de bruler tous les navires. Détruisant ainsi leur seule issue de secours.

Ne pouvant plus fuir, ces 500 hommes n’avaient plus le choix. Soit ils remportaient la victoire, soit ils mourraient tous.

Ce fut la fin de Technotitlan. Puis de l’empire aztèque, tout entier.

S’ils n’avaient pas été en situation de Lieu de Mort, les hommes de Cortes auraient fui. Tout simplement.

Gagner sa vie sur Internet en 3 mois

J’ai pris la décision de me lancer à 100% dans le marketing internet en début 2008. J’ai mis mon premier site en ligne le 11 avril 2008 exactement.

Trois mois plus tard, je gagnais en ligne assez d’argent pour au moins payer mes factures et remplir le frigo. Comment ai-je fait pour aller aussi vite ?

C’est simple. Je me suis retrouvé en situation de Lieu de Mort. Je vous explique :

À l’époque, je touchais les Assedic. Moins de 600 euros par mois. Ce n’était pas grand-chose, mais c’était déjà ça.

Puis au mois de mai 2008, j’ai reçu une convocation de l’ANPE. Et je ne m’y suis pas présenté. Volontairement.

S’il vous est déjà arrivé d’être convoqué à l’ANPE et de ne pas vous présenter, vous savez alors que la sanction est sévère et immédiate : la RADIATION.

Bref, je me suis fait radier de l’ANPE et donc… des Assedic :)

Résultat ? Je ne touchais plus un centime pour vivre !

J’étais donc dans une situation où soit je réussissais à monter un business rentable sur Internet, soit… et bien… soit je ne sais pas du tout ce qui nous serait arrivé, à ma famille et moi.

Plus aucun choix possible

Lorsqu’on se trouve sur un Lieu de Mort, on n’a plus aucun choix. Et c’est libérateur. Pourquoi ? Parce que le choix pousse à l’immobilisme.

Lorsqu’on a le choix, on a souvent tendance à ne pas savoir choisir. À réfléchir. Encore et encore. À peser les pour et les contre de chaque choix. Et on prend alors trop de temps à agir. Ou on n’agit pas du tout

Se mettre en situation de lieu de mort, c’est éliminer tous les choix possibles. On n’a plus d’issues de secours. On est obligé d’agir. On ne peut plus faire autrement. Mais ce n’est pas tout…

Saviez-vous qu’une situation de lieu de mort permet de libérer votre plein potentiel ?

Explications :

Libérez votre plein potentiel

Lorsque vous êtes sous pression, face à un danger, vous vous mettez à exploiter toutes vos ressources. Physiques et mentales.

Tous vos sens se mettent en éveil. Vous devenez plus créatif, plus agile, plus résistant, plus perspicace. Vous pensez et réagissez en une fraction de seconde. Les solutions vous apparaissent plus rapidement.

Vous trouvez bien plus vite comment sortir de la cage si vous êtes à l’intérieur et que vous y risquez votre vie, plutôt que dehors, en sécurité.

Les enjeux ne sont pas les mêmes. Et vos réactions non plus.

Alors suis-je en train de dire que vous devez vous mettre volontairement en danger ? Absolument !

C’est la meilleure façon de sortir du statu quo. De dépasser vos limites. De libérer votre plein potentiel. Et surtout d’apprendre à réfléchir et à agir vite.

Tout au moins… si vous en avez le cran ;-)

Photo © Ludmila – Fotolia.com

43 Comments to “Mettez-vous en danger volontairement – la Stratégie du Lieu de Mort”

  • Gonzague 5 octobre à 13 h 13 min

    Bravo Cédric
    J’admire ton courage et ta foi .Il est vrai que se mettre en danger donne plus d’énergie mais c’est quand même du style ça passe ou ça casse.Heureusement pour toi cela a bien fonctionné et cela nous permet maintenant de profiter de tes conseils via ce blog
    cordialement

  • Johann 5 octobre à 13 h 16 min

    Bonjour Cédric,

    Je comprends parfaitement ton point de vue, d’ailleurs je ne sais pas si tu connais le livre « The toilet paper entrepreneur » de Mike Michalowicz. Ce livre est vraiment génial et montre comment arriver au succès en partant de rien. Le titre est d’ailleurs très évocateur, car l’approche de l’auteur du livre est de montrer que tout est possible même lorsqu’on est au bout du rouleau.

    Je suis d’accord que se mettre des contraintes pousse à la créativité et à l’action. J’ai moi même toujours été plus performant dans des situations difficiles où je n’avais pas d’autre choix que de réussir.

    C’est aussi une bonne technique de créativité: fixer des contraintes (même inexistantes) pour trouver des idées ou des solutions auxquelles on aurait pas pensé en temps normal.

    Se mettre en danger est peut etre extrème, mais la réalité fait que c’est souvent au pied du mur qu’on trouve les ressources et la motivation. Comme les étudiants qui travaillent au dernier moment ou qui remontent leur note au 3ème trimestre après un 2ème trimestre catastrophique pour ne pas redoubler. Mais attention à ne pas se retrouver enfermer dans la cage…

    Amicalement,

    Johann

    • Cédric Vimeux 7 octobre à 13 h 15 min

      « The toilet paper entrepreneur »

      Je viens de l’ajouter à ma liste :)

  • ludovic 5 octobre à 13 h 17 min

    Je vois ce que tu veux dire Cédric.

    De mon côté, je me présentais au rdv assédic mais je savais que quelques
    mois plus tard, je ne toucherais plus le chômage. Il fallait également trouver
    vite une solution.

    Et je ne voulais plus être salarié !

    Cordialement,
    Ludovic

  • Fabrice 5 octobre à 13 h 20 min

    Salut Cédric,

    C’est ce qui s’appelle « Marche ou Crève ». Je te suis totalement, même si c’est un peu radical… Mais quand on est pied du mur, on est obligé de réagir. Cela nous fait focaliser sur les priorités et mobiliser nos ressources pour repousser nos limites. On n’a en effet pas le temps de réfléchir et on élimine alors par intuition tout ce qui ne nous servira pas.

    Cela revient à sortir de sa zone de confort, cette zone qui est exactement l’inverse de celle que tu décris : le lieu de confort. D’ailleurs, je pourrais écrire un article sur le lieu de confort, par analogie au tiens. Les deux extrêmes et leurs effets.

    Tu es un exemple vivant, mais il faut quand-même avoir beaucoup d’audace et de cran. Ce n’est pas donné à tout le monde.

    • Des Trucs Pour Changer De Vie 5 octobre à 13 h 38 min

      Je préfère « au pied du mir » que « marche ou crève » ;-). Ceci dit, c’est absolument vrai. J’ai également été licencié par un grand groupe de Radio. Et quand tu as une famille à nourir avec un enfant qui vient de naître, tu n’as pas le choix. Tu dois réussir. J’ai passé 2 concours. Je les ai réussi tous les deux. J’ai pris le premier qui a été finalisé…

      C’est peut-être pas le top, mais ça m’a permis de manger. Maintenant, il est temps de quitter le fonctionnariat. Les évènements vont certainement m’y pousser. Je dirais presque que j’attends ça. Je serai de nouveau au pied du mur ! Et il va bien falloir passer par dessus.

      C’est fou ce que le cerveau fonctionne plus vite quand on est en situation d’urgence. On trouve d’un coup des solutions. C’est comme ça que j’ai prêté attention aux hauts rendements.

      Sam

  • Yvon@copywriting 5 octobre à 13 h 49 min

    Salut Cédric

    Hé bien voici un bel article comme je les aime.

    Recherché, complet, documenté, innovant, et mettant en scène des trucs qui changent un peu de l’ordinaire. Qui donnent à réfléchir. A réagir.

    Merci pour ce bon moment.
    Tu devrais en faire des comme ça un peu plus souvent…

    Yvon

    • Cédric Vimeux 7 octobre à 13 h 22 min

      Merci Yvon :)

      Tu devrais en faire des comme ça un peu plus souvent…
      Ils sont tous comme cela mes articles, non ?

      Cédric

  • Jean-Philippe 5 octobre à 14 h 20 min

    Bonjour Cédric,

    Se mettre en action est un fonctionnement psychologique parmi d’autres. Bien des gens se trouveraient paralysés face au danger. Il est vrai que les situations confrontantes mobilisent de l’énergie, mais elles peuvent également inhiber jusqu’à la paralysie des personnes habitées par leurs peurs.
    Cela étant, je salue la qualité de cette décision qui t’a rendu en quelque sorte « inarrêtable ».
    Bien amicalement

    Jean-Philippe

  • Sié Issa@Business-Efficace 5 octobre à 14 h 39 min

    Bonjour Cédric,

    Je suis tout à fait d’accord avec vous. Comme vous avez su le dire 99% ne le feront pas.
    Effectivement, il faut avoir de l’audace pour le faire.

    Mais « qui ne risque rien n’a rien » dit on. Risquer de se mettre volontairement en danger et relever le défi en triomphant d’une situation critique.

    Cordialement,
    Sié Issa

  • Christophe@BlogEfficartes 5 octobre à 14 h 41 min

    Bonjour Cédric,

    Pas de plan B ! C’est radical, mais c’est un bon moyen de ne pas fuir vers une solution de repli qui n’est finalement pas aussi satisfaisante que la réussite du projet initial. David Neagle nous dit sur http://www.davidneagle.com/neaglecode55 :

    « Third, you must be persistent, and you must be persistent in a way that you REFUSE to accept failure as an option. I call this “burning the ships”. For some of you this may mean giving up a weekend to make sales calls or doing something you’ve been resisting for quite some time. It’s about doing whatever it takes regardless of the fear that you are confronted with. »

    Traduction rapide : « Troisièmement, vous devez être persistant (NDT : persévérant, mais j’aime bien le mot persistant), et vous devez être persistant d’une manière telle que vous REFUSEZ d’accepter l’échec comme option. J’appelle ça « brûler les navires ». Pour certains d’entre-vous cela peut vouloir dire sacrifier un week-end pour faire du phoning, ou faire quelque chose à laquelle vous avez résisté pendant un certain temps. Ca parle de ce qu’on doit faire, indépendamment de la peur à laquelle vous êtes confronté. »

    Merci encore pour ton article !

    Christophe

    • Cédric Vimeux 7 octobre à 13 h 24 min

      Merci Christophe pour cette citation de Neagle :)

      Cédric

      PS: FAN-TAS-TI-QUE ton blog !

  • laurent 5 octobre à 15 h 01 min

    Bonjour Cédric , je trouve que cet article est l’un des meilleurs que tu as publié.
    Merci à bientôt

    • Cédric Vimeux 7 octobre à 13 h 25 min

      Merci beaucoup Laurent :)

      Surtout que j’ai vraiment hésité à le publier.

      Il a failli partir à la corbeille…

      Cédric

  • Charles@procrastiner 5 octobre à 15 h 17 min

    Très dangereux, mais à la fois sensé :). Se mettre le pied au mur des fois ça aide énormément comme tu dis on a plus d’autre choix que de s’y mettre !

  • Gina 5 octobre à 16 h 02 min

    Belle stratégie radicale et efficace que vous présentez là puisque en effet quand on se retrouve
    en situation d’urgence on trouve mille et une façons de s’en sortir. Enfin peut-être pas autant
    mais on en trouve. Mais est ce que c’est pas à préconiser seulement quand on a un grand manque de motivation.
    Personnellement, je pense que quand on est déterminé et qu’on veut vraiment avancer on n’a pas besoin d’arriver à ces extrêmes. Ce n’est que mon point de vue mais c’est un peu plus soft que de s’infliger encore plus de risques. Si l’urgence est présente tant mieux ça aide beaucoup mais pas besoin de créer l’urgence pour avancer si la motivation, la persévérance sont déjà là, à mon avis.

    Gina

  • [email protected] 5 octobre à 19 h 00 min

    Je suis en plein dans la cage.
    Les impots fonciers viennent d’arriver, la taxe d’Habitation ne va pas tarder… et je bosse sur mon blog depuis le mois d’avril sans développer de CA à côté.
    Je sais pas trop comment je vais faire car mon même si mon livre commence à se vendre et les affiliés à s’inscrire, ce n’est pas encore gagné.
    Et le percepteur, même s’il peut être conciliant et accommodant, ne peut être totalement généreux.
    Je suis donc condamné au succés… comme beaucoup certainement.
    Bon courage à tous car je suppose que cet article en aura « remué » plus d’un.

  • fred 5 octobre à 19 h 33 min

    En fait, il faut avoir des raisons pour obtenir de la motivation.C’est vrai que la meilleure des motivations, c’est de manger et surtout si on a une famille.L’expression « avoir faim » est bien évocatrice de la situation qui est évoqué.
    Dans ces circonstances où on a pas le choix, le mental se met en mode survie en permanence et trouve des solutions.Mais il faut tout de même avoir du caractère et aller de l’avant sans douter.
    Plus facile à écrire qu’à faire!

  • Rachel@Reine de l'Organisation 5 octobre à 19 h 53 min

    Bon, je suis une trouillarde. Mais c’est peut-être parce que je ne cherche qu’un revenu supplémentaire et la « célébrité » plutôt que l’indépendance financière. Mais mes objectifs peuvent encore changer. Nan, décidément, je l’aime trop mon treizième mois ! mdr

  • amel 5 octobre à 20 h 13 min

    vous etes tous simplement un genie je vous trouve royalement un monstre qui devore tout parce que tout simplement vous ne voulais pas finir comme les gent qui sont a la rue parce il ne savent pas quoi faire quand toute les porte se ferme et ils trouvent que la rue comme refuge et le desespoire , chapeau a ta personne et ton courage face a ce monstre que la nature a choisie qu il soit imbattable

  • [email protected] 5 octobre à 20 h 16 min

    Bonjour Cédric,

    Je ne connais pas le terme de « Lieu de Mort », pourtant malgré mon jeune âge et dans une certaine mesure (Disons que je ne risque pas, jusqu’à ma, vie) les plus grande décision que j’ai prise étaient lorsque je me trouver en « danger ». Avec le recul, je ne regrette aucun choix décidé dans cette situation.
    Ainsi, pour trouver une idée géniale, il est toujours bon de rayer toutes celles qui nous viennent à l’esprit en première, puisqu’elles existeront déjà. Et c’est à partir de ce moment là que l’on peut se retrouver en situation pour trouver l’idée qui changera notre vie.

    Bonne soirée,

    Adrien

  • Christian 5 octobre à 22 h 26 min

    Salut Cédric,

    Ahaha, je voulais une bonne raison pour le faire et ton article m’a donné raison.
    Voici mon idée:
    réduire mes 12 mois de mois de marge de manœuvre à 6 .
    Ainsi, je prends les ressources de 6 premiers mois pour m’offrir une formation qui me permettra d’atteindre mon objectif 6 mois plutôt!

    N’est-ce pas une bonne façon de me mettre volontairement en danger pour réussir ou réussir?
    Ton article est la clé secrète qui m’a permis de prendre ma décision.

    Un grand MERCI Cédric.

  • Thierry Valker 5 octobre à 23 h 56 min

    Salut Cédric

    Et oui, comme le dit l’expression de Coluche, « c’est au pied du mur qu’on voit le mieux le mur ».

    Ton dernier défi (des50 blogs), m’a fait réagir, et je suis sur la création de plusieurs projets. J’espère arriver à 20 blogs en fin d’année. J’ai bien étudié, cherché et analyser avec keyword tool, et je suis pas mal (j’espère).

    Je ne suis pas encore enfermé dans la cage, mais je cherche déjà à en sortir.

  • Martin Turcotte@Gagner de l'argent sur internet 6 octobre à 2 h 54 min

    Plein de bon sens ton article et très d’accord avec toi Cédric.

    Moi aussi j’ai à l’époque choisi de ne pas chercher de job lorsque je me suis fais congédié en revenant des vacances du temps des fêtes.

    Je me suis mis en danger en me promettant, de ne plus jamais être dépendant d’un patron ou d’une compagnie.

    Quelques mois plus tard, après m’avoir mis en danger… Gagner de l’argent sur internet est devenu pour moi depuis 2007 une passion et ma source de revenu.

    Donc se mettre en danger volontairement est logiquement une stratégie risqué mais qui apporte en général de bons résultat :)

    Amicalement,

    Martin Turcotte

  • Marion La Dukanette 6 octobre à 2 h 56 min

    Et encore un coup de pied au c.l !
    Merci Cédric.

    Bon, cette fois, je me sort cette idée de vouloir l’embauche et la stabilité.
    Un mini-site de niche ultra-ciblé par semaine, et je m’y tiendrai.

    Ya pas de raison qu’un ancien chomeur y arrive, et qu’une ancienne chomeuse n’y arrive pas.

    On a que 6 ans et 50 km d’écart, les probabilités pour que je n’arrive pas (au moins) a faire vive ma famille aussi bien que toi sont faible.

    Allez Yonyon, on se bouge le cul, et même si on a peu de temps dispo, on le consacre à sortir de ce lieu de mort : l’usine !

    • Thierry Valker 6 octobre à 12 h 54 min

      Alors ça, c’est une réponse !!!

      Bon courage pour ta création. Mais un par semaine, il va falloir tenir la cadence pour renouveller le contenu.

      Beau défi. ;)

    • Ludovic 6 octobre à 13 h 42 min

      Ha oui Marion,

      Un « site » par semaine ? Tu comptes faire un blog ?
      Comment comptes tu monétiser ?

      Ludo

  • Catherine 6 octobre à 16 h 30 min

    … sacrée Marion….

    Y a rien de tel que de se retrouver dos au mur, avec un automatique pointé sur la tête ou un tigre affamé qui vous veut pour repas, pour que votre cerveau vous déniche une solution rapidement

    J’ai déjà vécu ça y a pas si longtemps d’ailleurs. Mais je n’en suis pas à vouloir créer un site par semaine soit 52 sites/an ! Enfin, connaissant le courage de Marion, elle en serait bien capable.

    Attendons la suite, qui sait….

  • kategriss@formation AWeber 6 octobre à 16 h 47 min

    Raaah, petit problème : COMMENT se retrouver au pied du mur ? Si on n’y est pas (encore :P) on ne va pas faire exprès quand même ? Et tant qu’on ne l’a pas fait on risque de céder à la facilité non ?

    • Romain 6 octobre à 18 h 20 min

      Je suis d’accord :)

    • ludovic 7 octobre à 8 h 21 min

      Kate,

      Bah pour te retrouver au pied du mur, tu le provoques
      volontairement.

      « Tu ne te présentes pas au rdv suivi ANPE » comme
      le dis Cédric… pour te retrouver au chômage.

      Tenté ? :)

      Ludo

  • Fabien@blog geek 6 octobre à 18 h 39 min

    Mouais … J’ai envie de dire que tout est question de volonté

    Il y a les gens qui sont capables de se prendre en main tous seuls comme des grands
    Et il y a les pro de la procrastination qui ont besoin d’un bon coup de pied au cul

    Apprendre à nager en se jetant dans la mer avec une pierre est loin d’être la méthode la plus maline : il demeure un risque non négligeable de noyade …

    Faire un planning et se fixer des objectifs et des deadlines est à mon sens nettement plus productif

  • Davy@WebMarketing 6 octobre à 20 h 56 min

    Je suis plutôt d’accord avec ta vision des choses, par contre j’ai tendance à dire, que ça dépend du caractère de chacun. J’ai fais cette même expérience il y a quelques années pour un tout autre sujet, et c’est pour ça que je suis plutôt d’accord avec toi.
    Cependant, j’ai pu voir observer certaines choses, sur des amis ou sur moi même :

    – Une personne qui a choisie d’abandonner et de laisser le sort s’occuper d’elle, face à la situation de mort
    – Une personne qui préfère avoir quelque chose, même minable, afin de respecter l’engagement.
    – Une personne pour qui cette situation de mort, a entrainer des contraintes matérielles qui l’ont empêcher d’atteindre l’objectif.

    Et dans ces situations, l’action devient indispensable oui, mais pas forcément « le résultat ». Rien ne garantie que le tigre ne va pas te bouffer tout cru.
    Ce qui est vrai, c’est que la situation d’immobilité, dans ta théorie, n’est plus acceptable …

    Je pense que ta théorie est sans aucun doute excellente pour « se bouger », mais elle ne garantie pas un résultat à coup sur. Dans ce cas, je pense que c’est quelque chose à utiliser, en dernier recours! (Cf : Les espagnols et mexico ;) )

  • Xavier@t-shirts originaux 7 octobre à 1 h 44 min

    C’est motivant de se mettre en danger, mais il peut être dangereux de se lancer du jour au lendemain sur internet avec une obligation de résultats. Certaines activités demandent un certain temps à se mettre en place.

  • etienne 7 octobre à 13 h 34 min

    Je te suis et j’ai connu cela aussi. J’ai vendu ensuite ma société. Je suis libre et repars maintenant à 0.

    Quant à Cortez, c’est une crapule et il aurait du être liquidé avec ses troupes. La civilisation aztèque n’aurait pas disparu ainsi.

  • C3M 7 octobre à 21 h 16 min

    Avec un certain caractère et motivation on peut aussi le faire en plus de son activité professionnelle. Enfin pas aussi vite car on à pas autant de temps, mais avec beaucoup de détermination ça passe ;)

  • Roger@Taïwan 27 mars à 6 h 10 min

    waoh waoh! Cédric, en refusant les Assedic, ta femme n’a rien dit?! vous avez pris la décision à 2? Elle aurait pu devenir la lionne pour te dévorer… tu étais dans quel état mental? c’est vraiment suicidaire… ok parce qu’ensuite tu as réussi, mais si d’autres personnes suivent cet exemple, se plantent, tombent en dépression et qu’il ne leur reste plus que le suicide…?
    En tout cas, tes articles sont excellents et amènent toujours à réfléchir, c’est pas donné à tout le monde d’écrire comme ça!

  • Eddy BRAUMANN 6 octobre à 17 h 18 min

    Bonjour Cédric.
    Fort de constaté que vous avez 100% raison.
    Il n’y a qu’au pied du mûr, que l’on doit trouver le courage de se retourner pour avancer.
    Comme le disent certains, avoir le courage de « licencier » son patron, est permis, mais pas donné à tous, car notre subconscient, et même d’ailleurs notre conscient nous freinent sous prétexte de la raison.
    Le libre arbitre, n’est-ce pas là la volonté de l’être humain ?
    Bravo pour cet article qui fait réfléchir.

  • Alain 7 octobre à 16 h 24 min

    Bonjour Cedric

    D’accord pour le fait de bruler les vaisseaux. Mais de là a dire que 99% des lecteurs ne le feront pas, ce n’est pas une belle opinion de vos lecteurs. Comment faites-vous pour les supporter…;-)

  • Blog qui rapporte 9 octobre à 23 h 42 min

    Oui mais l’anpe ne convoque plus désormais, pas assez d’effectif ^^

    Ce qui veut dire que cumuler les ASSEDIC et lancer son business est possible aujourd’hui.

    Plus sérieusement il t’a fallut beaucoup de courage ! Bravo

  • Danièle 10 octobre à 16 h 49 min

    Bonjour,
    Il faut beaucoup de courage pour avoir pris un tel risque, en plus vous avez une famille, mais vous en êtes quand même bien sortis bravo!
    Je trouve que vous avez bien fait de partager cette expérience, cela fait réfléchir.
    Danièle

  • Martin 11 octobre à 8 h 58 min

    Sans doute mon emprunt étudiant, lourd à rembourser, m’a permis de réussir, car je n’avais pas d’autre choix que de réussir pour pouvoir le rembourser :)

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