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La résistance au changement, ou pourquoi est-ce si difficile de changer



Vous le savez :

Les résultats que vous obtenez dans votre vie professionnelle et personnelle sont le reflet de vos habitudes.

Des habitudes gagnantes vous propulsent vers le succès. Des habitudes néfastes vous enferment dans les problèmes. Ou pire…

En théorie, pour atteindre le succès, il nous suffit donc de remplacer nos habitudes néfastes par des habitudes gagnantes.

Pourtant, vous l’avez remarqué : ce n’est pas si facile.

En réalité, nous peinons tous à modifier nos habitudes. Même les pires. Même les plus néfastes.

Et ce, à cause d’un phénomène psychologique que l’on nomme résistance au changement.

Voici de quoi il s’agit, et comment l’anéantir…

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La résistance au changement

Habitudes et résistance au changement

Pour comprendre pourquoi il est si difficile de changer, il faut avant tout comprendre à quoi servent nos habitudes.

La psychothérapeute Dominique Chapot en dit : « Nos habitudes sont là pour nous sécuriser. Les mêmes événements provoquent toujours les mêmes résultats, s’ils se répètent de la même façon. »

Conclusion : même nos mauvaises habitudes sont là pour nous sécuriser. D’une façon ou d’une autre.

Pourquoi ? Parce qu’elles nous permettent un bénéfice secondaire. Un gain inconscient lié à cette mauvaise habitude.

Soyez attentif à ce qui suit :

Si vous n’arrivez pas à vous défaire d’une mauvaise habitude, même si elle est nocive ou autodestructrice, c’est certainement parce qu’elle vous permet un bénéfice secondaire. Bénéfice auquel vous n’êtes pas prêt de renoncer. Même inconsciemment.

Quelques exemples de bénéfices secondaires

Voici quelques exemples :

André est un gros fumeur et est parfaitement conscient des risques pour sa santé. Malgré tous ses efforts, il ne parvient pas à arrêter de fumer… parce qu’en griller une lui permet de passer le temps quand il s’ennuie.

  • mauvaise habitude : fumer
  • bénéfice secondaire : combler l’ennuie

Bob roule systématiquement trop vite en voiture. Il sait qu’il risque sa vie et celle des autres, mais c’est plus fort que lui. Dès qu’il est en ligne droite, il appuie sur le champignon… parce que cela lui permet une montée d’adrénaline et il adore ça.

  • mauvaise habitude : rouler dangereusement
  • bénéfice secondaire : une bonne montée d’adrénaline

À l’usine, Bill est un peu le souffre-douleur de tout le monde. Il est timide et se laisse marcher sur les pieds. Il s’est promis de changer de travail, mais repousse toujours au lendemain le moment de sa démission… parce qu’au plus profond de lui, il a peur d’être au chômage trop longtemps.

  • mauvaise habitude : repousser sans cesse sa démission
  • bénéfice secondaire : éviter le chômage

Lucette va de dépression en dépression. Pourtant, elle ne fait rien pour se soigner… parce que tout le monde s’occupe d’elle quand elle est malade.

  • mauvaise habitude : délaisser sa santé
  • bénéfice secondaire : son entourage est au petit soin

Bref, vous avez compris…

Si vous n’arrivez pas à vous défaire d’une mauvaise habitude, c’est certainement que celle-ci vous permet un bénéfice secondaire auquel vous n’êtes pas prêt de renoncer.

Voici comment le découvrir, le remplacer, et réussir enfin à modifier vos mauvaises habitudes.

Le plan d’action en 5 étapes pour modifier une mauvaise habitude

Voici le plan d’action :

1. Faites la liste de vos mauvaises habitudes

Listez vos mauvaises habitudes. Les situations que vous aimeriez changer dans votre vie. Ce que vous aimeriez faire…

Exemples :

  • J’aimerais arrêter de fumer
  • J’aimerais rédiger plus d’articles sur mon blog
  • J’aimerais gagner plus d’argent
  • etc.

Prenez le temps qu’il faut, mais listez vraiment tout ce que vous aimeriez changer.

2. Listez les « Oui, mais… »

Pour chaque point de votre liste, ajoutez ce qui vous fait hésiter. C’est-à-dire tout ce qui vient après les « Oui, mais… »

Exemples :

  • J’aimerais arrêter de fumer… oui, mais la clope me permet de décompresser après le boulot.
  • J’aimerais rédiger plus d’articles… oui, mais j’ai peur d’y passer trop de temps et de délaisser ma famille.
  • J’aimerais gagner plus d’argent… oui, mais je ne veux pas que mes amis me considèrent comme un « sale riche ».
  • etc.

Ce qui suit les « oui, mais… » sont vos bénéfices secondaires. Les raisons pour lesquelles vous n’arrivez pas à changer.

3. Trouvez le besoin que comble votre bénéfice secondaire

Trouvez le besoin comblé par chaque bénéfice secondaire.

Pour cela, aidez-vous de la Pyramide de Maslow :

pyramide de maslow, changer ses habitudes, résistance au changement

La Pyramide de Maslow

Par exemple, ne pas rédiger plus d’articles pour passer plus de temps avec ceux qu’on aime correspondant au besoin d’appartenance, d’amour.

Bref, trouvez le besoin que chaque bénéfice secondaire vous permet de combler.

4. Remplacez

Cherchez maintenant ce que vous pouvez mettre en place pour combler différemment chaque besoin. Pour remplacer chaque bénéfice secondaire par un autre.

5. Programmez le changement

Une fois que vous aurez remplacé votre bénéfice secondaire par un autre, plus rien ne vous attachera à votre mauvaise habitude.

Vous n’aurez alors aucun mal à changer ;)

Photo © fotovika – Fotolia.com

36 Comments to “La résistance au changement, ou pourquoi est-ce si difficile de changer”

  • Alexandre 21 janvier 2013 à 14 h 33 min

    Cet article me parle complètement Cédric.

    C’est dingue comme j’ai du mal à me défaire de ces mauvaises habitudes. Les exemples de bénéfices secondaires que tu cites sont tous simplement parlants.

    Finalement, tout est lié à la loi de l’attraction ou au moins à l’un de ses dérivés.

    Je fonce lister mes mauvaises habitudes…

    Merci encore,
    Alexandre

  • Clotilde 21 janvier 2013 à 14 h 55 min

    Oui mais, je vais être lue par tout le monde, mais j’adore çà !!

    Pas facile à comprendre pas vrai ?

    Alors comment fait-on dans ces cas là ?

    Bien cordialement.
    Clotilde Garcia

    L’expérience…!!
    N’est que le résultat des erreurs dont on a su
    Tirer les leçons …!!!

  • Caroline 21 janvier 2013 à 15 h 09 min

    Bonjour Fabrice,
    belle démonstration ! et la mise en lien avec les besoins est très pédagogique.Ex vécu par nombreux d’entre nous « Je mange trop… de chocolat, oui mais, ça fait du bien aux papilles et au cœur ; ) » C’est vrai qu’apprendre à manger autrement permet de se détacher du chocolat en douceur… et en parvenant à remplir son cœur avec autre chose de plus nourrissant, l’appel du chocolat se fait moi sentir ; )

    • Cédric Vimeux 30 janvier 2013 à 19 h 07 min

      Oo c’est quoi Fabrice ? ;)

      Sinon, bien vu l’exemple du chocolat.

      Cédric

  • claudia 21 janvier 2013 à 15 h 16 min

    Si vous saviez le nombre de personnes qui n’ont pas confiance en elles même avec un diplôme de folie, je le vois dans mes coachings et qui pour se rassurer prennent des mauvaises habitudes, ces mauvaises habitudes sont des doudous dont il faut se debarrasser pour grandir. Il faut recevoir de l’amour et en donner c’est le secret pour se nourrir et remplacer ses mauvaises habitudes par des bonnes
    Bonne journee

    • Cédric Vimeux 30 janvier 2013 à 19 h 08 min

      Salut Claudia,

      > ces mauvaises habitudes sont des doudous dont il faut se debarrasser pour grandir.

      J’adore cette phrase !

      Direct dans mon Evernote.

      Merci à toi

      Cédric

  • Dominique@pouvoir achat 21 janvier 2013 à 15 h 17 min

    Bonjour Cédric

    Excellent résumé expliquant la paralysie dont souffre la plupart de nos concitoyens. Si chacun se mettait à changer une seule de ses mauvaises habitudes, chacun irai beaucoup mieux et par répercussion, tout le monde irai mieux. En effet, il est plus facile d’être heureux quand ton voisin va mieux.
    Mais chacun n’est pas prêt à changer. D’ailleurs, est -ce que nos dirigeants seraient près à accepter que nous changions?

  • france@vouloiretreussir 21 janvier 2013 à 15 h 40 min

    merci cedric pour cet article interessant et pragmatique. les benefices secondaires peuvent etre lies aussi a des satisfactions subconscientes qui sont a reperer. Cela fait partie de l’etude de la psycho0dynamique d’une personne et entraine une prise de conscience reellement fructueuse. Pour les personne s qui ne parviennent pas a modifier leur facons de vivre dependante de resistances c’est ce que je preconise et pratique depuis des annees., et ca marche….La demarche peut etre individuelle ou en groupe et d’une duree realivement breve.
    j’utilise cela dans mes coaching aux US. Oui. l’habitude c;est comme un cocon, mais un cocon-prison…..
    encore merci pour ce shema pragmatique reellement interessant

  • Christian de Destresse Marketing 21 janvier 2013 à 15 h 49 min

    Salut Cédric,

    Donc, par exemple,

    mauvaise habitude: aller 14 fois à la toilette par jour.
    bénéfice secondaire: arriver à lire tous les bouquins que Cédric propose.

    mauvaise habitude: manger du maroilles avant une interview avec Adriana Karembeu
    bénéfice secondaire: c’est bon le maroilles

    mauvaise habitude: ne pas lire tous les articles de Cédric
    bénéfice secondaire: aucun, c’est juste pour dire quelque chose.

    Et puis, mise en place de la ligne de défense:

    1) faire la liste des mauvaises habitudes:
    – ex.:je procrastine (alors, c’est mal barré pour arriver au point 2).

    2) je liste les « oui mais »
    – ex.: je regarde un concert de Céline Dion à la T.V.,…oui mais la télécommande est trop loin du divan et je n’aime pas m’en éloigner.

    3) je trouve le besoin que comble mon bénéfice secondaire
    – ex.: si je lis à la toilette, …je crois que le besoin secondaire est clair (quoique) pour une bonne part en tout cas, et comme ça coule de source, je ne m’étends pas.

    4) je remplace:
    – ex.: je fume beaucoup parce qu’au moins, quand je fume je ne bois pas; et je remplace par je fume beaucoup parce que quand je fume je mange moins de choucroute.

    5) et je mets en place.
    – pour reprendre l’ex. précédent, comme j’aime la choucroute, j’arrête de fumer pour pouvoir en manger plus…non? Heuuu, je m’emmêle?

    Quoiqu’il en soit, si vous fumez trop, que vous buvez trop trop que saiber trop ce sera long et difficile (si vous aimez la choucroute aussi).

    Donc, si vous trouvez des bénéfices secondaires, tertiaires, quaternaires….continuez et faite vous plaisir.

    @+
    Christian.

    • Alexandre 21 janvier 2013 à 16 h 08 min

      J’ai LA solution ultime à tous vos problèmes (ou presque!). Et c’est offert par la maison ;-)

      Au lieu d’essayer de remplacer nos habitudes néfastes par des habitudes gagnantes, pourquoi ne pas directement créer de nouvelles habitudes gagnantes???

      Le plan d’action en 3 étapes pour créer une nouvelle habitude gagnante :

      1. Faites la liste des habitudes gagnantes que vous souhaitez mettre en place
      2. Faites-vous un bon café
      3. Programmez les changements

      Enjoy!

      • Christian de Destresse Marketing 21 janvier 2013 à 16 h 17 min

        By jove! Damned! Bon sang mais c’est bien sûr!

        Ca c’est parce qu’on a la mauvaise habitude de faire compliqué quand on peut faire simple parce qu’on a comme ça la satisfaction de passer du temps au travail!

      • [email protected] 21 janvier 2013 à 17 h 09 min

        Ah ! et si arrêter de boire du café fait parti des résolutions ? :)

        • Alexandre 21 janvier 2013 à 17 h 31 min

          Là Vince, ça pose comme un problème effectivement ;-)

    • jacky@Dream Creator 21 janvier 2013 à 20 h 30 min

      Bon finalement reste au lit, comme çà toutes les mauvaises habitudes qui font néanmoins le sel du lit, heu… de la vie, seront insatisfaites ;-)

    • Olivier@Radio tribecore 22 janvier 2013 à 4 h 04 min

      « je fume beaucoup parce qu’au moins, quand je fume je ne bois pas ». Donc si j’ai bien compris, pour arrêter de fumer tu fais : « je bois beaucoup parce qu’au moins quand je bois je ne fume pas » :D

      • Christian de Destresse Marketing 22 janvier 2013 à 13 h 25 min

        J’ai arrêté de fumer il y a 5 mois, hips…repéré

        • Cédric Vimeux 30 janvier 2013 à 19 h 11 min

          > « je bois beaucoup parce qu’au moins quand je bois je ne fume pas »

          En fait, quand on boit, on a tendance à fumer plus.

          Cédric

  • Guillaume@comment faire des économies 21 janvier 2013 à 17 h 02 min

    Effectivement les mauvaises habitudes sont tenaces et maintenant on sait vraiment pourquoi. Merci Cédric.

  • Chantal 21 janvier 2013 à 17 h 41 min

    Bonjour à tous,

    Cela s’apparente aussi à la sortie de sa zone de confort !!!

    Et sincèrement ce n’est pas facile, on a vite tendance à reprendre nos vieilles habitudes quelque soit le domaine concerné.

    • Cédric Vimeux 30 janvier 2013 à 19 h 13 min

      Effectivement, c’est difficile de sortir de sa zone de confort.

      En fait, il faut le faire étape par étape. Prendre l’habitude de mettre un pied en dehors. Puis prendre l’habitude d’y faire un ou deux pas. Etc.

      Cédric

  • Guillaume@maladie crohn 21 janvier 2013 à 18 h 31 min

    Bonjour,
    Je viens de faire un petit essai et c’est vrai que c’est dur de se motiver à faire un changement.
    Mais si on arrive à compenser c’est tout bon.
    Je vais essayer de penser à ce que tu as écris à chaque fois que je ne fais pas quelque chose et que je me dis « Oui mais »…

  • LaBlogueuse 21 janvier 2013 à 19 h 19 min

    Le mieux la dedans, c’est de savoir se rendre compte après (parfois longtemps après) de tout ce qu’on a gagné à virer définitivement une mauvaise habitude.
    Souvent on ne s’en rends pas compte tout de suite .. et on l’oublie … ça passe sans fait d’effet, même si on a bien un changement dans notre vie et les bénéfices qui vont avec.

    Mais si on ne revient pas dessus pour en faite le bilan, à quoi bon ?!

  • jacky@Dream Creator 21 janvier 2013 à 20 h 26 min

    Du grand Cédric qui je le sais adore la philo et l’associe aux techniques de vente chaque fois que l’occasion de présente.

    Je pense qu’il y a également une autre raison pour laquelle nous n’aimons pas changer nos habitudes:

    Notre cerveau primaire, celui qui gère l’inconscient à horreur de changer ses habi-tudes. Lorsqu’il a constaté que son analyse comportementale face à un événement a bien fonctionné, sa conclusion est classée, clas-sifiée, et n’est pas à remettre sans cesse en question. Sans doute parce qu’il n’a pas que çà à faire.

    En clair à un moment donné de notre existence dans un certain contexte notre mental a fait une loi universelle à partir d’un événement limité. Depuis il s’attache à filtrer toutes les informations pour écarter celles qui pourraient remettre en cause ses conclusions.

    (Extrait de mon dernier bouquin « Dernières nouvelles du monde réel * » et inspiré par une lecture de Gérard Szymanski que Cédric m’a offert ;-)
    * http://jadidalocations.com/blog-maroc/nouvelles

  • Arvel@Blog Immobilier 21 janvier 2013 à 22 h 39 min

    Pas mal la stratégie de la pyramide de Maslow. C’est une bonne utilisation de ce modèle psychologique. il est clair que se débarrasser de ses mauvaises habitudes et difficile. Mais bon… lorsqu’il le faut…

  • Mickaël@hypnosecret 21 janvier 2013 à 22 h 46 min

    Très bonne article cependant le changement n’est pas toujours aussi simple pour tout le monde.
    La détermination d’objectif et parfois compliqué et cache parfois beaucoup plus qu’un bénéfice secondaire.
    Une aide externe et très souvent nécessaire dans une optique de changement.

  • Mo 22 janvier 2013 à 0 h 06 min

    Bonjour Cédric,

    On peut dire qu.on est encore en période de la prise de nouvelles résolutions. Par conséquent on peut partir de la et prendre des résolutions ayant pour but de chasser au fur et à mesure les mauvaises habitudes.
    Mais ce n’est si simple!
    Il faut de la volonté et de la determination et la patience pour y arriver:
    Des chercheurs en psycho positive nous font savoir qu’il faudrait tout un mois pour se détacher d’une habitude et de la remplacer par une nouvelle.
    Il faut procéder par étapes:
    – décider de changer
    -se préparer à changer
    -choisir une bonne (nouvelle) habitude
    -changer votre environnement
    -faites de l’exercice physique
    -faites de la spiritualité, de la méditation sinon pour les autres de la détente
    -se conditionner d l’un état d’esprit positif
    -réduire vos mauvaises habitude
    -faites vous aider
    -offrez des récompenses à chaque fois que vous substituez une bonne habitude à une mauvaise
    Bon courage

  • Dr. Yousfi de sos-veto 22 janvier 2013 à 1 h 00 min

    Salut Cédric, un très bon article Je te remercie.

  • Jérémy@contacter les journalistes 22 janvier 2013 à 2 h 11 min

    Intéressant, même si je trouve que y’a pas mal d’habitudes pour lesquelles on ne trouvera pas grand chose de négatif. J’ai la mauvaise habitude de travailler de nuit (enfin, en décalé), j’aimerais me remettre dans le « bon sens », mais j’arrive pas à trouver le truc qui me fait hésiter. Je suis plus efficace et plus créatif le soir, j’ai aucune raison de vouloir me recaler.

    En tout cas j’aime bien les articles dans ce genre, plus axés développement personnel. Très intéressant !

  • [email protected] 22 janvier 2013 à 4 h 22 min

    Et les habitudes doivent se changer progressivement pour éviter que cette résistance au changement ne soit trop violente.

    Franck

  • Francis 22 janvier 2013 à 13 h 17 min

    Très bonne analyse,
    mais doit-on changer toutes les mauvaises habitudes à la fois ou une par une ?
    Grand ménage ou dépoussiérage progressif ?

    Merci en tout cas pour ces articles qui aident à progresser.

    Francis

  • Laurent@Optinskin 22 janvier 2013 à 14 h 00 min

    Excellent article !! Je n’avais pas du tout conscience que nos mauvaises habitudes persistaient pour assouvir un bénéfice secondaire. Je vais m’empresser de suivre tes conseils et faire les petits « exercices » que tu présentes.

  • Eric@How do you convert videos 22 janvier 2013 à 17 h 22 min

    Merci Cédric pour ces astuces qui devraient nous permettre d’évoluer et de ne pas être réfractaire au changement.

    Il est vrai qu’avec l’age, cela ne s’arrange pas et notre capacité d’adaptation est souvent mise à rude épreuve.

    J’aime beaucoup la notion de « bénéfice secondaire » que tu mets en avant. C’est très interessant car cela explique finalement pas mal de choses…

    Merci encore pour ces pistes de réflexion !

  • Adam@grossir 22 janvier 2013 à 18 h 53 min

    Les bénéfices secondaires seraient ils une forme de lâcheté parfois ? Après tout on se contente de ce qu’on a un peu misérablement pour protéger ses petits avantages…

  • Mikie@comparatif poker 24 janvier 2013 à 22 h 33 min

    C’est un article intéressant, plus concret que ce que l’on peut voir habituellement sur certains sites de développement personnel =) Puis c’est la première fois que je vois une mise en application d’une théorie qui peut m’être, je pense, utile. Comme le dit Adam, ces bénéfices secondaires sont un peu de mauvaise foi, les reconnaître c’est déjà faire un pas en avant.

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