Cet article pourrait bien vous SAUVER LA VIE (et vous aider à obtenir plus de témoignages clients)
Cela pourrait vous arriver, vous savez…
Vous regagnez tranquillement votre domicile après une dure journée de labeur.
Comme il n’y a plus de place sur le parking, vous garez votre voiture à une trentaine de mètres de chez vous. Vous sortez. Il fait un peu froid. Vous remontez le col de votre veste.
Vous avancez de quelques mètres quand soudain vous entendez des bruits de pas rapides derrière vous. Vous vous retournez… et vous êtes pris de panique.
Un homme court dans votre direction. Il est à cinq ou six mètres de vous. Il a les yeux injectés de sang et semble avoir le visage déformé par la colère. Ou la folie.
Pire : il brandit un énorme couteau de cuisine dans votre direction.
Vous préférez ne pas savoir ce qu’il vous veut…
… et vous prenez la fuite…
L’homme au couteau vous poursuit…
Visiblement, il a une dent contre vous. Et pas une petite…
Il vous poursuit en hurlant qu’il va vous tuer. Il est plus rapide que vous, et se rapproche. Dangereusement.
Il essaie de vous poignarder. Vous sentez le fil de la lame passer à quelques centimètres de votre nuque.
Vous vous mettez à hurler. Et à appeler de l’aide.
Des portes et des fenêtres s’ouvrent. Des gens regardent. Certains sont vos voisins.
Tout à coup, l’homme vous rattrape, vous claque par terre, et lève son horrible couteau dans votre direction. Puis vous frappe.
Vous sentez la lame s’enfoncer dans vos entrailles. Une fois. Deux fois. La douleur est insupportable. Vous appelez à l’aide.
Des dizaines de personnes regardent la scène, mais personne ne bouge.
Votre agresseur se relève, semble se calmer, et part.
Vous êtes allongé sur le sol froid, au milieu d’une énorme flaque de sang. VOTRE sang.
Vous n’arrivez plus à bouger. Vous n’en avez plus la force. Votre regard se trouble. Dans un dernier effort, vous appelez de nouveau à l’aide…
Des gens sur le trottoir d’en face vous regardent, puis se regardent entre eux. Il y a des gens à leur fenêtre. Des gens à leur porte.
Vous puisez dans le peu d’énergie qu’il vous reste, et vous hurlez AU SECOURS !
Tout à coup, vous voyez l’agresseur revenir vers vous. Rouge de colère. Il brandit de nouveau son couteau. Et vous refrappe de toutes ses forces.
La vie vous quitte :'(
Dans quelques minutes seulement, vous serez déjà en train de vous décomposer. Ce n’était vraiment pas une bonne journée pour vous…
Vous pensez que ce genre de scène ne peut pas arriver ? Vous pensez que c’est impossible de se faire massacrer en pleine rue devant une trentaine de témoins, sans que personne ne vienne vous aider ou appelle la police ?
Détrompez-vous, parce que c’est ÉXACTEMENT ce qui est arrivé à Kitty Genovese le 13 mars 1964.
La UNE du New York Time et une série d’expériences…
Le New York Times consacra sa Une à ce triste fait divers, et mit l’accent sur le fait que 38 « honnêtes citoyens » avaient assisté à la scène sans intervenir. Et sans appeler les secours.
Le magazine conclut que la société américaine partait en couille. Et que les gens étaient de plus en plus indifférents à ce qui pouvait bien arriver aux autres.
Vous êtes d’accord ?
Deux psychologues, Bibb Latanée et John Darley, ne l’étaient pas.
Pour eux, la seule raison pour laquelle les témoins n’étaient pas intervenus, c’est qu’ils étaient tout simplement… trop nombreux.
Et c’est ce qu’ils ont prouvé via une série d’expériences que voici :
Dans la première, il ont demandé à un volontaire de simuler une crise d’épilepsie dans la rue. Comme ils s’y attendaient, plus les témoins étaient nombreux, et moins ils intervenaient.
En effet, lorsqu’il n’y avait qu’un seul témoin, celui-ci portait secours à l’épileptique dans 85 p. cent des cas. Ce chiffre tombait à 30 p. cent lorsqu’il y avait cinq témoins.
Dans la seconde, ils ont fait croire qu’un incendie venait de se déclarer dans un immeuble. Lorsqu’il n’y avait qu’un seul témoin, il tirait la sonnette d’alarme dans 75 p. cent des cas. Ce chiffre tombait à 38 p. cent lorsqu’ils étaient trois.
Dans la troisième, ils ont demandé à un volontaire de laisser tomber une pièce dans un ascenseur. Lorsqu’il n’y avait qu’un seul témoin dans la cabine, la pièce était ramassée et rendue dans 40 p. cent des cas. Ce chiffre tombait à 20 p. cent lorsqu’il y avait au moins six témoins.
De nombreuses autres études ont confirmé ce phénomène : plus les gens sont nombreux et moins ils interviennent. Pourquoi ? Parce que la responsabilité s’éparpille.
Lorsqu’une personne assiste seule à une agression ou à un accident, la responsabilité d’intervenir pèse uniquement sur ses épaules. À l’inverse, s’il y a d’autres témoins, cette personne aura tendance à attendre que quelqu’un d’autre prenne la responsabilité d’intervenir. A sa place.
Quel rapport avec votre business sur Internet et le fait d’obtenir des témoignages ?
Je vais vous le dire dans un instant, mais avant cela, je vais vous expliquer quoi faire si un psychopathe essaie de vous poignarder en pleine rue. Ou si vous êtes victime d’un accident. Quel qu’il soit.
Au lieu de crier au secours et de vous adresser « à la foule », adressez-vous plutôt à UNE SEULE personne. Montrez-la du doigt, citez-la, et dites-lui EXACTEMENT ce que vous voulez qu’elle fasse.
« Vous, le Monsieur avec l’attaché-caisse et la cravate bleue, appelez tout de suite la police s’il vous plait ! »
Vous voyez la différence ?
Ici, vous ne demandez pas à ce que « quelqu’un » vous vienne en aide. Vous demandez à l’homme à l’attaché-caisse et à la cravate bleue de vous aider. La responsabilité est maintenant sur SES épaules. Il le sait. Et vous augmentez ainsi CONSIDÉRABLEMENT les chances pour qu’il vous aide.
C’est valable dans toutes les situations.
Et aussi dans votre business sur Internet…
Prenons le cas des témoignages clients, puisque c’est le sujet de cet article.
Vous pensez qu’il suffit de vendre un produit de qualité pour que les gens en parlent autour d’eux et vous envoient des témoignages de clients satisfaits ?
Rien n’est plus FAUX !
Et ce, pour les mêmes raisons que peu de gens interviendraient si un psychopathe vous agresse en pleine rue avec un couteau de cuisine : à cause de l’éparpillement de la responsabilité.
Je vous explique :
La plupart d’entre nous programmons une demande de témoignage dans notre autorépondeur. Ainsi, quelques jours ou semaines après son achat, le client reçoit l’email « automatique » lui demandant s’il est satisfait, et s’il peut faire un petit témoignage.
Il faut programmer ce genre d’email, c’est vrai !
Mais cela pose quand même un problème : tout le monde connait maintenant le principe de la newsletter et tout le monde sait différencier un email « envoyé en masse » d’un « email personnel ».
Du coup, que va-t-il se passer ? La plupart de vos clients ne répondront pas à votre demande de témoignage, parce qu’ils se diront que « d’autres le feront ». Et ce, même s’ils sont enchantés de leur achat.
Bref, vous avez compris où je veux en venir : si vous voulez vraiment obtenir des témoignages de clients satisfaits, alors demandez-les PERSONNELLEMENT !
Et la meilleure façon de le faire, la voici :
Battre le fer pendant qu’il est encore chaud
Qu’est-ce que j’entends par là ? C’est simple :
Il vous arrive certainement de prendre le temps d’aider un client à bien utiliser vos produits. Ou de rédiger un long email personnel pour répondre en détail aux questions qu’il vous a posées.
La réaction de votre client ? Il est aux anges. Il vous remercie de tout coeur, et vous dit à quel point vous êtes génial…
Vous voyez où je veux en venir ? Vous pouvez saisir cette occasion et lui demander un témoignage. Personnellement.
Vous obtenez ainsi 1000 fois plus de chances qu’il réponde favorablement et rédige un témoignage de client satisfait. Car c’est à LUI que vous l’avez demandé. Personnellement. Et vous évitez ainsi le phénomène d’éparpillement de la responsabilité que l’on retrouve souvent lors des demandes « en masse ».
Pour aller plus loin…
C’est valable pour TOUS les aspects de votre business.
Vous voulez qu’on fasse des liens vers l’exceptionnel article que vous venez de publier ? Faites la liste des 10 blogs sur lesquels vous aimeriez obtenir un lien, et envoyez un email PERSONNEL à chacun des blogueurs pour le leur demander.
Vous voulez que ceux qui ont beaucoup de followers sur Twitter retweet votre article ? Encore une fois, faites la liste des 10 blogueurs qui vous intéressent, et envoyez un email PERSONNEL pour le leur demander.
Vous êtes face à un problème que vous n’arrivez pas à résoudre ? Au lieu d’envoyer un email « de masse » à tous vos contacts, sélectionnez les cinq les plus à même de pouvoir vous aider, et envoyez leur un email personnel pour le leur demander.
Bref, vous avez compris le principe.
En faisait des demandes personnelles, vous évitez l’effet d’éparpillement de la responsabilité. Et vous augmentez CONSIDÉRABLEMENT vos chances d’obtenir ce que vous demandez.
Le savoir peut vous aider à améliorer votre business (en recevant plus de témoignages, de commentaires, de retweet, etc.). Et aussi vous savez la vie ;)
Pensez-y…
Photo © exopixel – Fotolia.com
J’adore la petite histoire au début de cet article. Tu n’étais pas auteur de romans policiers dans une autre vie par hasard ? Tu ne cesses de m’épater Cédric par tes talents d’écriture. C’est tout simplement exceptionnel.
Pour en venir au sujet concret de l’article, je vois tout à fait l’intérêt d’écrire un E-mail personnel plutôt que d’inclure un client dans une campagne d’E-mails de masse. Cependant, cela prend un peu plus de temps, mais lorsqu’on pense aux bénéfices que l’on peut avoir (comme tu le dis très bien d’ailleurs), prendre plus de temps pour de meilleurs résultats, ça vaut vraiment le coup !
Et d’ailleurs, j’ai l’habitude de répondre à tous les E-mails de mes lecteurs, personnellement, dans un temps assez court (dans la mesure du possible bien sûr), et c’est vrai que lorsqu’on reçoit les retours sur les réponses qu’on a envoyé, c’est vraiment très plaisant à lire. Tout simplement parce que les personnes concernées sont vraiment heureuses d’avoir eu une réelle attention, et c’est tout simplement magique.
Lorsqu’on lit un commentaire de remerciements de ce genre, on se dit immédiatement : « It’s a good day ! » :)
Au plaisir de te lire,
Hugo.
Salut Hugo,
Pas étrange que Cédric sache ci-bien inventer des histoires « hypnotiques » comme dirait un Christian Godefroy.
Pour revenir à l’article, cet phénomène est observable dans toutes les situations de la vie.
Prenons un cas simple:
Vous êtes deux ou trois à travailler sur un blog; mais personne ne sait exactement quoi faire ni quand le faire. Chacun se dira de son côté » c’est l’autre dis va l’article aujourd’hui. » Et en fin de compte, vous finirez par ne pas publier l’article du jour. Alors que si vous étiez seul, vous auriez certainement publié l’article.
On rejoint alors le même phénomène de « l’éparpillement de la responsabilité » dont nous parle Cédric ici.
Je suis toujours très heureux de recevoir une réponse des mes lecteurs, et je pends toujours la peine de les répondre personnellement. C’est la moindre des chose lorsqu’on veut vraiment établir une relation solide avec ses abonnés et clients.
Amicalement,
Xavier
Bonjour Cédric,
c’est le même problème au travail lorsqu’on confit une tâche à une équipe sans nommer les personnes. Chacun s’attend à ce que l’autre fasse le boulot et au final, personne ne le fait.
Dans ce cas, bien sûr, il n’est pas question de vie ou de mort, mais on retrouve le même principe de la responsabilité dispersé.
Merci pour le partage.
P.S : Comme Hugo, je me dis que comme auteur de roman, y a certainement quelque chose à faire :-)
Et c’est la même chose quand on demande « Je peux avoir le sel » à une grande tablée! lol
Je commence à me rendre compte qu’il faut presque agir sur internet comme dans la « vraie » vie ». Et à l’avenir, je pense qu’il va falloir passer plus de temps dans le relationnel que dans le copywriting. Façon de parler bien sûr.
Et, merci pour le conseil Cédric, on aura la vie sauve. Et merci pour le petit bout de thriller. Ta reconversion est assurée si Internet explose un jour!
Belle soirée tout le monde!
Bonjour Marie-Noel,
Pardon si je rebondis sur ton commentaire. J’ai vraiment eu envie de répondre sur deux points.
1. Pour dire ceci: Internet n’est pas comme la Vraie Vie, c’est tout simplement LA VRAIE VIE. C’est notre MOI profond que nous transportons ici. C’est chaque jour un peu de nous-même que nous partageons sur le Net. Nos sentiments, nos humeurs, nos talents.
Si on a des qualités, des défauts ça finit toujours par transparaître. Comme pour Cédric ça se voit il peut écrire un thriller à succès, tu l’as dit.
2. Faire du Relationnel sans le Copywriting… Non Marie tu ne vas pas au Relationnel si tu n’as pas dans tes bagages LE COPYWRITING. Ce sera d’une grande utilité. Je dirais même que c’est indissociable, crois-moi!
Allez bien à toi!
Andy
Bonjour Cedric
Histoire tragique. A un moment je croyais que tu étais témoin de l’acte. En fait tu as raison, les gens se sentent plus impliquer quand on s’adresse de maniere plus directe et personnelle à eux. Cela m’est arrivé avec Christian Godefroy. Il m’avait demandé de faire une action précise apres que j’ai acquis un de ses produits. Et effectivement quelque chose disait en moi qu’un autre le fera. Tu sais ce qui est arrivé , au troisiéme email il m’a dit « Je m’adresse à toi Yoro Thiam ». Et j’étais tellement surpris que j’ai du faire sur le champ ce qu’il demandait . Il etait vraiment un génie Christian.
Pour dire qu’il y’a plusieurs maniéres de demander. Et celle que tu proposes , semble tres efficace.
Tres cordialament
Yoro
bonjour,je ne suis pas d’accord avec votre histoire du psychopathe au couteau;j’en veux pour preuve,puisqu’il met arriver ce genre d’histoire à Paris en 1985; Alors que je me trouver dans le métro un matin aux heures de pointe à attendre la prochaine rame qui m’amènerai au travail.Je fus surpris par un homme (clochard,ivrogne)qui tituber dangereusement sur le quai;quelle ne fût pas ma surprise,quand se même bonhomme,tomba sur les rails du métro.
Je regardais autour de moi,et je vis personne bouger le petit doigt pour sauver ce malheureux;mon sang ne fît qu’un tour et je sautais sur les rails pour extirper ce malheureux et le dégager sur le quai,je ne devais pas rester là,car la prochaine rame aller arriver.Bref cette petite histoire pour vous dire que non pas je suis un héros ,ça je m’en fout,mais pour vous dire que malgré la foule et bien j’ai agit.Voila,bonsoir!
Salut Jean-Marie,
Tu es donc ce que l’on appelle un bon samaritain ! Cependant, dans les chiffres que Cédric donne vis à vis des études qui ont été faîtes, il n’est jamais question de 100% des cas.
C’est donc quelque chose qui concerne la majorité des personnes, pas TOUTES.
Mais il n’en est pas moins que cet aspect est à prendre en compte, étant donné que cela concerne la majorité des personne. A moins que tu ne veuilles toucher qu’une minorité de gens ? Ce que je doutes. Et tu as raison ;)
En tout cas, c’est une belle anecdote que tu partages avec nous ! Il faudrait plus de gens comme toi, mais malheureusement, c’est loin d’être le cas.
Au plaisir,
Hugo.
Bonjour Jean-Marie,
Ne dit-on pas qu’à tout principe existe une exception!
Tu l’as sauvé le pauvre quand bien même il n’a pas demandé de l’aide. Ton geste est louable.
Ce que Cédric nous apprend c’est de faire appel à quelqu’un en le désignant LUI et LUI SEUL toutes les fois qu’on ressent le besoin de faire appel. Et si la demande est adressée à plusieurs (ex. témoignages) d’agir pour chacun comme s’il avait été la seule personne à recevoir la demande.
En prenant cela comme PRINCIPE dans notre vie et notre business, nous nous donnons plus de chance d’obtenir les faveurs qu’on attend des autres.
Merci et bon après-midi!
Andy
Salut Cédric,
<>
Marie-Noël, ce serait plutôt une bonne nouvelle ça! Tout au moins c’est mon avis perso.
Bravo Cédric pour tes talents de narrateur et pour nous faire partager cet article sur la dilution de la responsabilité.
Prenons donc l’habitude d’envoyer un peu moins de mails automatiques et prenons un peu de temps pour des mails plus ciblés et personnels. Je vais mettre en oeuvre cette technique de ce pas.
Bonjour Cédric,
Très sincèrement, je me demandais ce que tu allais sortir comme leçon de cette histoire assez tragique. et encore une fois, tu me surprends.
Cette grande leçon que tu partages avec nous est à utiliser dans bien des cas (je me rend compte). Après , il faut savoir demandé;
Savoir demander devrait aussi aider à obtenir ce qu’on demande.
« Savoir demander à qui on choisi de demander et obtenir de lui satisfaction ».
Tu me donnes des idées, … OK! j’y réfléchi.
Amicalement
Hé bien tu nous avais jusqu’ici caché ce talent d’écrivain de Serial Killer. Mais de ta part plus rien ne nous étonne.
La leçon de l’histoire est également très intéressante sociologiquement.
Et la prochaine fois qu’on m’enverra des coups de couteau dans les entrailles je ne manquerais donc pas de héler un homme avec un attaché case portant une cravate bleue. Par contre, comment je fais s’il n’y en n’a pas ?
Hello Cédric,
Waouhhh! Je me suis senti dans un vrai Thriller.
Ça se voit que tu te cultives beaucoup. Hier je lisais dans un de tes commentaires sur un ancien article, que tu investissais entre 200 et 800 euros par an dans les livres et formations…
Cela montre clairement pourquoi tu es si cultivé. Je décide de m’y mettre à fond. D’ailleurs, la culture personnelle est une qualité intrinsèque aux leaders. Donc indispensable !
Revenons au fond de ton article. Ce sont là, de révélations stupéfiantes sur la psychologie humaine. On a presque tous vécu, vu ou entendu des expériences similaires. Mais sans faire attention ou faire un rapprochement avec le business internet.
Encore une fois, je vois l’importance de rapprocher les évènements ou situations d’un domaine à un autre.
Il est vrai que j’ai souvent demandé à d’autres webmasters ou blogueurs de me faire des liens (en dehors des échanges de liens bien sûrs -:) ) Et ça marche dans la plupart des cas.
Par contre, en ce qui concerne les témoignages, pour un de mes services, sur 27 clients, une seule m’a fait un témoignage et une recommandation sans que je ne lui demande. Et 12 m’ont fait un témoignage après un message groupé.
Je vais utiliser la stratégie que tu préconises: « battre le fer quand il est chaud. » Certainement, je vais augmenter mes conversions.
Merci Cédric pour tes articles si riches.
Bien amicalement,
Gimel
Salut Cédric,
Très bon article et aussi, très bonne histoire. Je crois l’avoir déjà lue dans un livre d’influence. En effet, les gens on tendance à fuir les responsabilités plus ils sont nombreux. C’est l’influence sociale. On se dit que quelqu’un d’autre le fera à notre place.
De plus tu as fait une très bonne adaptation pour le témoignage. Merci pour cet article.
Maurel Archange
En entreprise, le phénomène se retrouve lors des « réunionites ». On organise une réunion avec des tas de personnes compétentes qui ont donc du pouvoir de l’influence des responsabilités. Mais après des heures de débat houleux qui aura le dernier mot, qui aura la décision, la responsabilité …… au final on organisera une réunion la semaine suivante.
En petit comité, le tour de table est plus rapide et directe, on perdra ainsi moins de temps et les réponses n’en seront que meilleures.
Super article
Article particulièrement inquiétant… L’effet de meute est très présent dans cette histoire. Par contre on peut effectivement en tirer de très bonnes leçons pour notre référencement et nos stratégies marketing.
En cas d’agression au milieu d’une foule il faut s’adresser à une personne en particulier et la charger d’appeler les secours.
Impressionnant ce suspense, qui m’a scotché, pour capter l’attention!
La démonstration est géniale et l’idée gravée dans la tête est à retenir!
Excellents conseils une fois de plus de Cédric!
compliments
Chapeau bas, Cédric! C’est vraiment génial! Vous deviez utiliser autrement vos talents cachées! Car vous avez un grain d’écrivain en vous! Mais si les gens sont formées pour effectuer un travaille en équipe, ça marche vraiment bien! Ici les taches sont aussi partagé; mentalement ou physiquement, mais dans la bonne direction. C’est une question d’éducation et/ou de formation. Mais en toute cas,bravo!
Scotché!!! Une mise en scène parfaite, qui plus est, sur un fait réel! J’ai bien cru que c’était toi qui avait subi cette agression… Et surtout, le message qui ressort comme la leçon de l’histoire est d’une clarté exceptionnelle! Christian GODEFROY t’aurait décerné une palme d’Or.
Personnellement c’est une attitude que j’ai bien comprise, mais je ne gère que peu de contacts et c’est relativement aisé. Ton message me fait prendre conscience de l’importance de l’appel direct: L’expérience des deux psychologues, Bibb Latanée et John Darley apporte toute la crédibilité à ton expertise: j’oublierai peut-être les noms de Bibb et John, mais pas ta leçon! Merci Cedric.
Jean-Noël
Absolument d’accord sur cet éparpillement de la responsabilité.
Il est superbement amené par cette histoire où effectivement, Cédric a de véritables talents d’écrivain à suspens. ;)
Un paragraphe d’un article que j’ai récemment posté fait référence à cet éparpillement.
http://des-trucs-pour-changer-de-vie.blogspot.fr/2013/07/vous-voulez-obtenir-une-faveur-alors.html
Je l’ai intitulé « l’effet du témoin ». Et l’article globalement est relatif à obtenir une faveur.
Sam
Je viens de lire ton article. Il est plutôt intéressant.
Cependant, j’ai horreur des pop-ups qui s’ouvrent ! ;)
Au plaisir,
Hugo.
Excellent rapprochement. C’est intelligent de dégager la cause du problème et de prendre les mesures pour la dépasser. Vous avez mené une démarche scientifique et à nous d’en profiter.
Salut Cédric,
Bravo pour l’article. C’est ce phénomène étrange qui ratiboisé tous les pays socialistes. En effet les socialistes paient à salaire égal tous les individus pour un travail de groupe. Conséquence : chaque individu se dit que quelqu’un d’autre s’en chargera bien. Et à la fin le groupe donne toujours un résultat plus ou moins médiocre. On a aussi fait une expérience simple avec une corde. On a demandé séparément à des individus de tirer une charrette, qui en réalité était fixée au sol à leur insu. Un appareil mesurait l’intensité de la force exercée sans qu’ils le sachent. Puis on a demandé à des groupes d’individus de tirer ensemble la même charrette. Résultat : les individus fournissaient beaucoup moins d’efforts quand ils tiraient au sein d’un groupe…
Hello Abdelhamid, j’aime bien ton commentaire et te suggère de vous associer avec Cedric pour proposer vos services de « Managers » auprès de François Hollande: la France a besoin de vrais créateurs!
Bonjour Cédric,
Ton article est tout simplement excellent.
L’illustration du début s’harmonise bien avec la leçon. Comme le disait Christian, « il faut savoir demander ». A une personne à la fois, c’est toujours plus efficace qu’à tout un groupe.
Encore Merci Cédric,
J’attends avec impatience le prochain article.
Bonne journée,
Victor
bravo pour ton talent de scénariste. Et pour l’article, on ne peut plus judicieux. Surtout avec la demo et les exemples derrière…
article très impressionnant! merci pour cette très bonne histoire.
Bonjour et merci pour cet article.
On ne peut que s’incliner devant la pédagogie mise en oeuvre : c’est simple, compréhensible et amusant en même temps. Donc il est vrai qu’il vaut mieux s’adresser personnellement à chaque personne qui a un lien avec nous, plutôt qu’à la volée.
C’est d’ailleurs le talent des grands businessman : lorsqu’ils parlent à quelqu’un, il créent une ambiance particulière, qui fait que cette personne se sent « au centre du monde ». Il y a une attention et une présence totale à l’autre, et on croit à une relation privilégiée. Ce qui est le cas… sur l’instant.
Je vais essayer de mieux trouver des témoignages pour mon activité avec cette manière de voir les choses !
cela me rappelle la chanson de monsieur 100000 volts, l’indifference .Dommage que le monde involue au lieu d’évoluer
Toujours aussi rafraichissant tes article, et ce storytelling, hum, tu as peut-être raté ta vocation d’écrivain ;)
un exemple que beaucoup de mamans ont experimente avec leurs enfants…chacun compte sur les autres pour un ervice qu’elle avait demandée sans preciser qui s’en occupera…
cette histoire me rappelle la fois ou 2 individus avec des couteaux nous ont poursuivis ,alors que j’étais avec un pôte,ce jour la,c’est avec une force hors du commun que nous avons couru ,digne de sportif de haut niveau (,alors qu’a l’époque on fumait et on buvait a gogo(ce temps a bien changé pour moi,rire),une autre fois en plein paris,j’étais en plein paris a l’agonie ,et pendant une heure et demi ,pas une personne ne m’a aider ,ne serais ce pour savoir comment j’allais,mais comme j’ai la foi en la vie,un samu m’a secouru après m’avoir repéré une première fois. le rapprochement avec le business markéting a du sens,pour moi même si beaucoup ne bougeront pas s’il vous arrive quelque chose de néfaste,il existe toujours une personne là pour vous aider,si vous y croyez fortement,et que vous pensez que dans la vie ,une personne positive supplante 1000 négative
Salut Cédric,
C’est tout à fait exact.
Il y a encore un autre moyen de peaufiner la stratégie.
Vous sélectionnez tous vos prospects et vous en supprimez des listes jusqu’au moment où il ne vous en reste qu’un et là, à fond les manettes sur lui.
Garanti 100% comme système.
Ne me remerciez pas, c’est par pur altruisme.
@+
Christian.
Salut, à utiliser aussi dans la vie réelle !!!!!!
Prendre le temps pour bien démarcher par mail, c’est bien… Mais prendre le temps pour vivre et aussi faire de chacun des moments passés un moment convivial et unique est encore mieux !
Alors, adoptez cette vision pour votre vie aussi ;)
Bonjour
L’intérêt de cet article (nécessité de désigner un responsable pour une tâche) pourrait aussi être de pointer le fait que, souvent, les gens n’aiment pas les responsabilités… même s’ils en ont les capacités ou le titre, et c’est dommage.
On retrouve cette problématique en management dans une entreprise, quel que soit le niveau.
Salut Cédric,
Trop fort cet article ! J’ai bien aimé le rapprochement entre le tueur et le business. Tu as entièrement dans ce que tu dis par rapport au témoignage à chaud.
Pour ma petite histoire, quand je faisais du dépannage informatique, il m’arrivait souvent d’en faire à distance. Et combien de fois les gens étaient surpris de la rapidité.
C’est à ce moment là que tu leur demandes de laisser un petit témoignage sur le site. Vu qu’ils sont « super » contents, ils le font de suite sans hésiter.
Ça rejoint pile ce que tu dis, tout simplement.
Merci encore pour ce bel article !
Greg
Salut Cédric,
c’est pour annuler cet effet de masse et rendre tous mes articles peronnels que j’ai décidé d’utiliser le « TU » pour dialogueur avec mes lecteurs.
Je pense que le fait de d’employer le « VOUS » met une barrière et impose le dialogue à une multitude de personnes.
Tandis que ‘TU’ es plus personnel.
Tout à fait d’accord avec toi Samuel ;) , il ne faut pas créer de barrière avec son lecteur ! On doit pouvoir discuter comme de bons amis sur les blogs ! :)
ok,cédric est certainement digne du mentor Godefroy,en étant un bon copywriter et hypnotiseur,mais manifestement il est soi en vacances ,occupé avec sa famille,ou il en a rien a faire de nous,lol
Le résultat de cette étude est à peine étonnant ! En tout cas, c’est un très bon conseil que tu donnes quant à l’application à son blog !
Je connaissais cette histoire et j’avoue qu’elle est plutôt flippante.
Ton conseil pour l’appliquer au blog est excellent et j’avoue que l’application en vie réelle l’est encore plus. Surtout en cas de danger.
Plus terre à terre, c’est comme quand on donne un ordre à des enfants (les siens ou une classe). il ne faut pas donner une tâche (comme ramasse cette chaussette sale ou essuyez le tableau) à tous en même temps mais désigner une personne pour la faire. Sinon chacun s’attend à ce que l’autre la face à sa place.