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Et si utiliser le mot VOUS était parfois une grave erreur de copywriting… (et comment la corriger)

Author Cédric Vimeux    Category Copywriting     Tags , ,

On vous a appris qu’en copywriting, vous deviez utiliser au maximum le mot « Vous ».

On vous a cité John Caples, quand il disait :

« Je savais par expérience que le mot VOUS est le mot le plus utilisé en publicité, mais je ne savais pas qu’il serait vainqueur avec une telle avance. »

Et comme tout bon élève, vous avez suivi ce conseil. Vous mettez maintenant un maximum de « Vous » dans vos pages de vente, vos articles, et vos communications.

Pourtant, utiliser le mot « Vous » s’avère dans bien des cas une grave erreur. Si grave qu’elle peut littéralement monter votre interlocuteur contre vous…

Voici pourquoi :

vous, copywriting, john caples
VOUUUUUUS !!!

Quand le « Vous » blesse…

On ne s’en rend pas toujours compte, mais l’utilisation du mot « Vous » est parfois blessante, culpabilisante, ou écrasante.

Vous voulez une preuve ?

Rappelez-vous la dernière fois qu’on vous a fait cette remarque : « Vous n’avez rien compris à ce que j’ai dit. »

Comment l’avez-vous pris ?

Si vous êtes comme la majorité des gens, vous l’avez plutôt mal pris. Cela vous a peut-être même énervé…

C’est un peu comme si on vous avez dit « Vous n’êtes pas assez intelligent pour comprendre mes propos ». Ou même « Je suis plus intelligent que vous, c’est pour cela que vous ne comprenez pas ce que je dis. »

J’abuse un peu, mais pas tant que ça.

Où je veux en venir ? C’est simple :

Le seul moment où vous pouvez utiliser le mot VOUS, c’est…

… pour mettre en valeur votre interlocuteur.

C’est-à-dire uniquement pour lui montrer à quel point il est plus beau, plus intelligent, plus fort, plus compétent, etc., que le reste du monde. Ou qu’il le sera bientôt.

Exemples :

  • Vous avez tout compris
  • Vous savez que vous pouvez réussir plus que quiconque
  • Vous êtes assez fort/intelligent/compétent pour …
  • Votre voisin va pleurer en voyant votre réussite

Vous comprenez le principe ? Vous utilisez le mot VOUS seulement pour les choses positives. Pour mettre en valeur votre interlocuteur.

Et pour les choses négatives, me demandez-vous ?

C’est simple :

Changez l’orientation de la phrase

Il y a plusieurs façons de changer l’orientation d’une phrase.

Voici deux techniques :

1. Utilisez le JE

Reprenons cette phrase : « Vous n’avez pas compris ce que j’ai dit ».

Comment la reformuleriez-vous pour qu’elle ne soit plus culpabilisante ?

Facile. Dites « JE me suis mal exprimé » ;)

Ici, vous utilisez le mot JE au lieu de VOUS. Et vous endossez l’erreur à la place de votre interlocuteur.

Dire « Je me suis mal exprimé » sous-entend « Si je m’étais mieux exprimé, vous m’auriez compris ».

Vous pointez le doigt sur vous. Non plus sur votre interlocuteur.

Voici une autre astuce :

2. Utilisez le NOUS

Le mot NOUS est un mot extrêmement puissant, car il renvoie à l’idée d’appartenance à un groupe.

On déculpabilise quand on sait ne pas être le seul à avoir tel ou tel problème.

Au lieu de dire à quelqu’un « Vous avez des problèmes d’argent », dites plutôt « NOUS avons tous, un jour où l’autre, des problèmes d’argent dans notre vie. »

Dans le cas d’une page de vente ou d’un article de blog, vous pouvez continuer par : « C’est probablement votre cas si vous lisez ces lignes… »

En commençant par NOUS, vous déculpabilisez votre lecteur. Son problème d’argent n’est plus vu comme une tare qui n’afflige que lui, mais comme un problème normal qui affecte chaque être humain. Un jour ou l’autre.

Pour résumer :

Utilisez le mot VOUS pour mettre en valeur votre interlocuteur : « Vous valez mieux que les autres. Vous faites partie d’une élite. Vous êtes supérieur au reste du monde. »

Et utilisez le mot NOUS pour citer les choses négatives : « Nous avons TOUS ce problème. C’est normal. C’est dans la nature humaine. Personne n’y échappe. »

Citez les qualités en disant VOUS. Citez les défauts en disant NOUS.

D’ailleurs, j’ai utilisé une variante du NOUS quelque part dans cet article…

Arriveriez-vous à la trouver ?

Photo © laurent hamels – Fotolia.com

48 Comments to “Et si utiliser le mot VOUS était parfois une grave erreur de copywriting… (et comment la corriger)”

  • elmokhtar de entreprenarea.com 20 juillet à 17 h 11 min

    Merci Cédric pour cet artilcle.

    Parfois on rend pas compte de ces détails, mais en réalité cela a beaucoup d’influence sur la vente.

    • Raphael@duel-marketing.com 20 juillet à 22 h 08 min

      Ce que j’aime dans cet article c’est quand on a fini de le lire pour une première fois et on remonte pour le lire à nouveau afin de trouver les  »NOUS  »
      Cédric, Félicitations pour ton talent
      Amicalement
      Raphael

      • Cédric Vimeux 23 juillet à 16 h 46 min

        Merci Raphael

  • elmokhtar de entreprenarea.com 20 juillet à 17 h 13 min

    J’aurai aimé s’il y’avait un petit bouton « edit » sous les commentaires. juste une remarque :).

  • Thierry@blog marketing 20 juillet à 17 h 22 min

    Salut Cédric

    Excellente analyse.J’utilise les 3. nous, vous, je.

    Cela dépend de la situation. Mais c’est vrai que le « vous » à tendance à sortir plus souvent, par habitude de s’adresser à un interlocuteur.
    Je regarderais à l’avenir s’il est bien employé.

    Thierry

  • Gino de Vers la Réussite 20 juillet à 17 h 32 min

    Super belle stratégie, c’est rempli de bon sens.

    Merci

  • FlorianL@Business Xperience 20 juillet à 17 h 38 min

    Salut Cédric,

    Je n’Ai pas vu la variante du NOUS donc j’Attends la réponse :)

    Autrement, judicieux conseils auquel on ne pense pas forcément !
    Je vais essayer d’employer plus souvent le NOUS à l’Avenir

    • Des Trucs Pour Changer De Vie 20 juillet à 18 h 10 min

      Pas remarqué non plus. Probablement bien inséré dans le texte.

      Tellement bien inséré qu’on ne le remarque pas…

      Sam

      • Marie-Noel@des e-ditionsLABELVIE 20 juillet à 19 h 07 min

        Ce ne serait pas le « on » du début : « on vous a appris – on vous a cité »?

        • Cédric Vimeux 23 juillet à 16 h 50 min

          Salut Marie-Noel,

          > Ce ne serait pas le « on » du début : « on vous a appris – on vous a cité »?

          Oui… et non…

          En fait, oui, tu as raison. Utilisez « on » est une excellente stratégie, et c’est effectivement une variante du « nous ».

          Et non, parce que… ce n’est pas du « on » que je parlais (même si tu as raison).

          J’ai utilisé le « on » sans m’en rendre vraiment compte. Ce n’est pas de lui que je parlais (même si tu as raison).

          Celui dont je parlais, c’est : « Si vous êtes comme la majorité des gens »

          Cédric

  • bons plans 20 juillet à 17 h 57 min

    merci pour le partage c’est bon à savoir

  • karine du blog reussir-en-famille.com 20 juillet à 18 h 19 min

    et oui le fameux tu qui tue !

    Et le fameux  »message je  » que Thomas Gordon préconise pour la gestion de conflit … Bien vu !

    La variante, n’est ce pas  » on » ce pronom indéfini ?

    Merci pour cet article court, simple et très utile

    Karine

    • Cédric Vimeux 23 juillet à 16 h 51 min

      Bonjour Karine,

      Oui, c’est le « on » (même si ce n’est pas celui auquel je pensais…)

      Il y avait aussi « Si vous êtes comme la majorité des gens »

      Cédric

  • Judicaël@top affiliation 20 juillet à 18 h 20 min

    Bonjour,

    Je suis tout à fait d’accord avec toi. D’ailleurs j’utilise très souvent le NOUS dans mes textes. Nous ou on permettent de généraliser de montrer à l’interlocuteur que tout le monde fait de cette manière. L’utilisation de vous focalise sur le lecteur qui est ciblé et peut mal le prendre comme tu le dis très bien.

    Salutations

  • Janette@de guerisonkarmique.com 20 juillet à 18 h 39 min

    Bonjour Cédric

    En fait, je suis peut être aussi excellente que toi en copywriting ;)
    J’y travaille du moins.

    Mais au début de ton article,  » je me disais  » excellent, je vais lui dire que j’utilise le « nous » ou « je » en donnant des exemples de mes erreurs  »
    Donc voilà, tu dis comme moi..
    Ah non, pardon , je dis comme toi : )

    Il y a des fois ou je le laisse après des explications et des nous, j’appuie un peu avec un « vous » culpabilisant…mais ils sont préparés.

    De toute façon, dans mon domaine, s’ ils me lisent, c’est qu’ils savent qu’ils font ces erreurs, donc c’est moins pire.

    Et perso le « vous » sur moi, il a un effet de fuite maintenant.
    Si je vois « votre magasin, votre salon de coiffure » et bien j’y vais pas.

    Bien amicalement
    Janette

  • Mikael 20 juillet à 18 h 44 min

    le on de «On ne s’en rend pas toujours compte» est un nous déguisé.

    Sinon très bons conseils que j’appliquais déjà, sans m’en rendre compte, avec plus ou moins de réussite.

    • Cédric Vimeux 23 juillet à 16 h 52 min

      Oui, exact ;)

  • jacky@vendeur de rêves 20 juillet à 18 h 46 min

    Sans oublier le « Tu » qui est considéré comme une marque de sympathie mais plus difficile à placer dans une lettre de vente j’imagine.
    Ici au Maroc nous n’avons pas ce probléme. Comme tout le monde se tutoie et s’appelle par son prénom cela rompt la glace, déclenche la sympathie et facilite indéniablement les rapports humains.
    @micalement vôtre
    Jacky

    • Cédric Vimeux 23 juillet à 16 h 57 min

      Oui, le « tu » est souvent très mal perçu (surtout en France).

      Je tutoie mes lecteurs dans ma newsletter. Au moins une fois par mois, quelqu’un m’écrit pour me dire qu’il est outré de mon comportement…

      Dernier en date, message d’hier (le mec venait juste de s’inscrire sur VM) :

      Bonjour .
      J’ai satisfait ma curiosité en venant sur votre site . Le tutoiement que vous utilisez ne me parait pas approprié . Je vous remercie d’avoir apporté divers éléments qui pourront , le cas échéant m’être utiles . Cependant sans vouloir pour autant vous interdire l’accès à ma boite email , je vous remercie à l’avance de changer la nature de votre engagement commercial à mon endroit . Autrement et plus simplement dit : « Votre technique de marketing est envahissante et intrusive ! » Veuillez y réfléchir ! Cordialement .

      ;)

      Cédric

  • Janette@de guerisonkarmique.com 20 juillet à 18 h 56 min

    Pour atténuer la culpabilité du « vous », utiliser le style
    « on vous a appris »
    ça donne la connotation : vous faites…mais, ce n’est pas votre faute, vous vous êtes fait avoir
     » tout le monde vous a dit, etc »

    Serais-ce ça l’astuce que tu as utilisé ?
    ça c’est très fort en ressenti, car ça nous pose en expert, qui en connait plus, qui est bien plus honnête, crédible etc
    grosse valeur ajoutée

    • Cédric Vimeux 23 juillet à 16 h 59 min

      Bonjour Janette,

      Non, ce n’est pas celle-ci (mais ça pourrait).

      L’astuce, c’est d’utiliser le « si vous êtes comme la plupart des gens ».

      Cédric

  • DOISY 20 juillet à 20 h 05 min

    Bonjour,
    Excellent article, chacun de nous l’a fait au moins une fois dans nos annonces publicitaire ou dans nos pages de vente, parce que les grand du copywriting nous ont dit de mettre le VOUS en avant et du coup a tout bout de champ on met le VOUS sans se soucier quant ça peut faire mal ou pas. Je pense qu’après avoir lu cet article on va faire attention de ne pas rabaisser nos lecteurs nos prospects.
    Merci Ludo.
    DOISY

  • Christian 20 juillet à 22 h 46 min

    Bonjour à tout le monde,

    Bien vu Cédric !

    Il est vrai que parfois nous suivons les conseils sans réfléchir et ce n’est pas bien bon. Tu viens encore une fois de le démontrer pour notre plus grand bien.

    On nous a souvent répété qu’il fallait mettre des « vous » de partout dans nos textes de vente. Il faut en mettre, oui, mais à bon escient.

    A bientôt,

    Christian

    • Cédric Vimeux 23 juillet à 17 h 00 min

      Salut Christian,

      Exact. Quand on met un « vous », il faut regarder si ce vous n’est ni culpabilisant, ni accusateur. Si c’est le cas, il faut changer l’orientation de la phrase.

      Cédric

  • bernadette 20 juillet à 23 h 21 min

    Bonjour a tous

    merci Cédric très bonne leçon

  • Cathy Caroff 21 juillet à 7 h 53 min

    Bonjour,

    Je dirais le « on » au début de l’article.
    Je n’aurais pas imaginée, mais je suis une totale débutante. A l’aise avec le vous, parfois même plus qu’avec le tutoiement…
    Mais je l’appliquerais car cela tombe sous le sens.
    Merci à TOI
    Cathy

  • didier 21 juillet à 11 h 01 min

    Bonjour Cédric, Oui le fameux Tu qui tu. Souvent je l’emploie et je me demande « est-ce qu’ils vont se sentir collés au mur ? » Fait que je ne veux pas, alors je tourne. Par contre, dans ta stratégie, qui est une stratégie coaching ou de vente, la manipulation qui va avec me dérange. Ensuite, l’orientation dépend de l’objectif et de la thématique. Bien sûr, si mon vis à vis ne comprend pas, nous pouvons nous trouver face à un « je me suis mal fait comprendre », juste. Quand je parle de « juste », je parle de vrai d’effectif, et il est alors judicieux que je m’en rende compte. Il peut aussi y avoir aussi la non compréhension de l’autre. N’est-il pas juste aussi qu’il s’en rende compte. Je n’ai jamais été d’accord avec les thérapeutes qui avancent à leurs clients un « si vous n’y arrivez pas, c’est de votre faute » – je ne suis pas d’accord non plus avec ce que nous pouvons trouver en EFT par exemple, si vous n’y arrivez pas, c’est que je n’ai pas pris le bon chemin. Je vise la responsabilisation et la remise en question des deux, car pour moi, c’est ce facteur qui fait avancer les choses dans une clarté d’ouverture.
    Ce n’est que mon avis, encore une fois, si je dois vendre j’aurai ta stratégie. Pour une responsabilisation mutuelle, j’en ai une autre. Bien à toi Cédric.

    • Cédric Vimeux 23 juillet à 17 h 03 min

      Bonjour Didier,

      Où est la manipulation ?

      Je n’arrive pas à comprendre pourquoi tout le monde parle de manipulation dès qu’il s’agit de séduire, ou de ne pas frustrer les gens.

      Tourner sa phrase dans un autre sens afin de ne pas blesser notre interlocuteur est une règle de bienséance, et non de la manipulation…

      > Il peut aussi y avoir aussi la non compréhension de l’autre. N’est-il pas juste aussi qu’il s’en rende compte.

      Lorsque tu dis « je me suis mal exprimé », ton interlocuteur fera aussi davantage d’efforts pour te comprendre. C’est de la suggestion.

      Quand tu dis « je me suis mal exprimé », tu sous-entends que tu vas faire un effort pour mieux t’exprimer. En réponse, ton interlocuteur fera un effort pour mieux te comprendre. C’est systématique.

      Cédric

  • Julien Arcin@revenu sur internet 21 juillet à 18 h 06 min

    Par contre, utiliser le « tu » c’est vraiment à proscrire. J’ai déjà lu quelques blogs qui me tutoyaient, et j’ai pas du tout aimé. On a l’impression que le blogueur essaie de « gratter l’amitié » et ne respect pas la distance de mise avec un inconnu normalement.

    Enfin, j’utilise le « tu » dans les newsletter, mais sur un article ça passe pas, mais alors pas du tout. Après, peut être que ça dépend des thématiques.

    • Cédric Vimeux 23 juillet à 17 h 08 min

      Salut Julien,

      Oui, je partage ton idée.

      J’utilise le « vous » dans mes articles, et le « tu » dans la newsletter et les commentaires (même si, parfois, certains en sont choqués).

      Cédric

  • Hélène@Réussir 21 juillet à 19 h 21 min

    Bonjour Cédric,

    Article clair et concis!
    Merci pour ce rappel des règles de l’écriture, le respect des relations à l’autre est important.
    Restons cependant spontané et sincère dans l’écriture.

    J’avoue que quand je lis un article je fais davantage attention aux idées, aux émotions et action demandée qu’il engendre. Peut-être que l’article a-t-il été est bien écrit? C’est vrai qu’il m’est arrivé de fuir quand je ressentais un émotion désagréable à la lecture, sans doute que les règles citées plus haut n’ont-elles pas été respectées.

    J’y ferais davantage attention, excellent exercice pour améliorer l’écriture.

    Au plaisir de lire votre prochain article!

  • Léa 21 juillet à 22 h 00 min

    Salut Cédric,

    Merci pour ces précisions décisives car je pense qu’on doit être encore un très grand nombre à ne pas se rendre compte de l’impact qu’elles peuvent avoir sur les lecteurs.

    Ca permet de comprendre qu’une bonne utilisation des pronoms, lorsqu’on s’adresse à son public et qu’on cherche à le mettre en avant, jouera un rôle capital dans la mise en condition (ou situation) de ce dernier.

  • Rodrigue@creation site wordpress 22 juillet à 0 h 38 min

    Moi je favorise le tutoiement aussi.

  • Christian 22 juillet à 10 h 09 min

    SalTu Cédric,

    Nous a bien compris l’excellent message Vous faire passer.

    Heuu, Je me suis peut-être mal expliqué.
    Mais Vous aurez compris ce que Nous et On qui se joint à Nous pour dire que Vous donnez excellents conseils.
    @+
    Je, Nous et On.

  • Nathalie 22 juillet à 10 h 45 min

    Bonjour Cédric,

    Un commentaire de plus pour te remercier ! Tes articles sont toujours un plaisir à lire et vont droit au but !

    Merci :)

    • Cédric Vimeux 23 juillet à 17 h 10 min

      Merci Nathalie ;)

  • Claude 22 juillet à 19 h 07 min

    Bonjour à tous

    Comme Janette, les « votre journal », « votre magasin » me hérissent. « C’est MON journal, ou MON magasin SI J’VEUX, d’abord… Non mais !!! »

    Et ce que tu expliques, Cédric, sur l’emploi du « vous » correspond tout à fait à ce que je ressens; après avoir lu ton article, je me sens plus à l’aise pour suivre mon intuition là-dessus.

    Et ton truc de nous faire chercher l’équivalent du « nous » : c’était vraiment fort. J’ai lu ton article normalement une première fois, puis une ou deux autres pour trouver le « on », et encore une pour vérifier !
    Je retiens l’astuce, je m’en servirai aussi. Merci.

    • Cédric Vimeux 23 juillet à 17 h 12 min

      Bonjour Claude,

      Oui, le « on » est une bonne réponse, mais ce n’est pas à celle-ci que je pensais…

      En fait, c’était le « Si vous êtes comme la plupart des gens ».

      Cédric

  • Marie@CESU 23 juillet à 12 h 55 min

    Bonjour Cédric,

    Tout a fait d’accord avec vous, heuuu toi, heuuu on est d’accord, heuu je veux dire nous sommes d’accords, enfin tu m’as compris je pense :p

    Merci pour ce guide !

    Marie

  • jacques@navette roissy 24 juillet à 15 h 46 min

    Bonjour. Personnellement je n’utilise jamais JE, certains le font. Par contre le VOUS et NOUS, tout le temps. Je trouve que le JE instaure une certaine intimité entre le vendeur et le client, chose qui n’est pas toujours très bien vu, en ce qui concerne un site commercial en tout cas. Pour ce qui est des blogs, je comprend qu’on puisse utiliser le JE en abondance.

  • Grégory@Bloguer facile 27 juillet à 18 h 46 min

    J’ai très rapidement ce conseil d’utiliser le vous plus que le je : parler du lecteur plutôt que de soi. Par contre, cette nuance entre le vous et le nous (et les assimilés tels que on :-) ) n’est que présentée. Pourtant, intuitivement, elle semble assez évidente :-)

    De plus, selon le sujet du blog, je pense que mettre une touche de je n’est pas une mauvaise chose. Car on vient sur un blog pour le thème et la qualité des articles, mais aussi pour le blogueur qui se cache derrière. En apprendre un peu sur lui et ses expériences, c’est toujours intéressant.

  • Alexandra@L'univers de l'attraction 31 juillet à 17 h 30 min

    Article génial! Je ne sais pas vous mais à plusieurs reprises j’ai effectué des actions « au feeling » et ensuite je suis tombée sur l’article qui en parle!! Ce qui me permet de savoir si mon feeling était bon. Et il s’avère que oui :)

    Sans connaître l’importance de ces mots en marketing qui font toute la différence, je pensais bien qu’il fallait faire gaffe avec le « vous » qui peut-être blessant. Donc merci pour cet article qui confirme que ce que j’ai fais est bon.

  • Edouard@du coin optimiste 24 janvier à 20 h 44 min

    Salut Cédric,

    Je suis entrain de découvrir le copywriting et je dois dire que ton article est vraiment
    très intéressant !! génial même !!! c’est vraiment une étude sur les réactions humaines !!
    c’est très altruiste comme démarche !! Je vais m’empresser d’améliorer mes connaissances dans ce domaine

    encore merci

  • Séduction par CCA 1 juillet à 13 h 29 min

    D’excellents conseils ! Je n’avais jamais vraiment réfléchi à l’utilité du « nous », « je », « vous », etc. Je les utilisais jusqu’à présent, mais tout naturellement, sans jamais vraiment envisager l’impact qu’ils pouvaient avoir.

    Au plaisir de te lire,
    Hugo.

  • Jérémie@écrire de la science-fiction 21 juillet à 0 h 05 min

    Salut Cédric,
    Très intéressant ces conseils de copywriting, j’ai relu un certain nombre d’articles de conseils sur mes blogs, il y a des améliorations à faire pour mieux accrocher les gens et qu’ils se sentent plus proches de moi dans ce que je décris ;-) Pas question de mettre un fossé entre eux et moi.
    Jérémie

  • Maurel Archange 3 août à 19 h 33 min

    Salut Cédric,

    Le titre de l’article m’a intrigué et j’ai cliquer. Je ne regrette pas du tout mon clic, car l’article est aussi bon que sont titre, très informatif et voici donc de nouvelles techniques que j’ajoute à mon arsenal.

    Merci pour ces conseils,
    Maurel Archange

  • arno@plan de cession 25 octobre à 11 h 39 min

    Je confirme !

  • Serge 7 août à 5 h 10 min

    C’est la première fois que je découvre ce petit secret à appliquer lors de la rédaction. Il va me permettre de relativiser lors de mes prochaines rédactions. Merci à toi pour ce partage🙏

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