juin
17
24

Si vous ne savez pas le faire… COPIEZ! Comme disent les chinois

Article invité rédigé par Marjorie MOULINEUF du blog Aller Bien, dans le cadre de La Valse des Invités 2013.

C’est un talent de copier dès l’instant qu’on y met de l’attention et de l’intention.

On peut copier comme à l’école, en répétant bêtement les mêmes fautes, et c’est le zéro assuré ou bien ne rien comprendre de ce que l’on écrit.

On peut juste jeter un œil pour s’inspirer et s’acharner à faire le cheminement tout seul avec son expérience et sa mémoire. On galère, on se coupe d’un héritage mais c’est faisable.

Ou bien, on peut copier, prendre le meilleur de l’autre, en ajoutant sa propre plus-value.

D’un seul coup, la copie devient beaucoup plus élégante, car on la nomme…

modélisation, programmation neurolinguistique, marjorie moulineuf

MODELISATION !

La Modélisation

Tout le monde le fait spontanément dans la vie et c’est la source de nos apprentissages et de l’empathie. On imite (autre façon élégante de parler de copie) grâce à nos neurones miroirs.

Fabuleux petits neurones qui nous permettent d’exécuter les mêmes actions, d’appréhender nos relations sociales pour savoir comment se comporter.

C’est naturel d’imiter et c’est un processus d’évolution. Sinon il faudrait tout reprendre à zéro à chaque fois et faire une croix sur l’héritage longuement et chèrement acquis de l’humanité.

On ne réinvente pas chaque pensée, chaque acte, chaque comportement, chaque intention… On copie !

Savez-vous que notre cerveau héberge des mèmes ?

C’est quoi des mèmes ?

Ce sont des petites unités d’infos, des réplicateurs qui n’ont de cesse de se répliquer. À l’instar des gènes.

Ces mèmes favorisent la circulation et la rationalisation du savoir faire et de l’information. Les gènes sont à la Vie ce que les mèmes sont à la Conscience. Un facteur d’évolution.

Si vous souhaitez vous ouvrir à une vision intégrale du monde et à cette nouvelle discipline la mémétique, je vous suggère l’excellent blog : Le Journal Intégral d’Olivier Breteau.

Vu sous un angle évolutionniste, la copie devient un facteur de progrès.

Je vous donne un exemple :

Je viens juste d’exporter mon blog de la plateforme Blogger à WordPress.

Je n’y connais absolument rien et pour tout dire, je n’aime pas du tout la partie technique.Il fallait que je trouve un template parmi des milliers de disponibles, des plugins adéquats, sans y passer trop de temps.

Je n’avais pas envie de me torturer l’esprit et de réinventer l’eau chaude, alors j’ai fait ce qui marche.

Regardez mon blog et celui de Cédric, l’expression « effet miroir » prend tout son sens !

Merci au site What wordpress theme is that qui m’a bien facilité la tâche.

Vous voyez ?

J’ai modélisé Cédric

En modélisant Cédric, je me suis épargné des dizaines d’heures de recherches et de tutoriels, des migraines, des heures de doutes et de tergiversation. J’ai gagné en confiance et en productivité.

D’après vous, est-ce un progrès pour moi, une évolution de mes connaissances ?

Sans aucun doute : oui !

Maintenant, je suis capable de changer pour n’importe quel template et installer n’importe quel plugin sans me prendre la tête.

En modélisant, j’ai appris comment faire en toute simplicité.

Désormais, je suis capable de le répliquer avec des améliorations. À l’infini.

La modélisation en PNL, c’est l’art de reproduire ce qui marche, l’excellence ( c’est rare que l’on perde son temps à imiter des trucs pourris), mais on ne copie pas bêtement.

Comment réussir sa modélisation

Il faut déterminer les condition du succès :

  • Pourquoi et comment cela marche pour l’autre ?
  • Qu’est ce qui fait la différence ?
  • Quelles sont les valeurs à modéliser ?
  • Quels comportements à adopter pour obtenir le même résultat ?
  • Quelles sont les qualités requises ?
  • Quelle est l’intention ?

Je me suis posé toutes ces questions avant de choisir le blog de Cédric. Des blogs de développement personnel, il y en a un paquet et pourtant, aucun ne faisait écho dans mon cerveau.

La modélisation, c’est l’apport de connaissances, de comportements, de convictions plus ou moins en adéquation avec les siennes afin d’obtenir un résultat supérieur à ce chacun aurait pu obtenir individuellement.

Vous voyez, nous sommes loin des intentions de la vulgaire copie ou de la contre-façon.

L’intention de la modélisation

L’intention de la modélisation, c’est d’ajouter. D’apporter de la plus-value technique, émotionnelle et comportementale. D’ajouter mais toujours dans la coopération, c’est à dire toujours en faveur et jamais au détriment.

Contrairement à la copie pure et simple, il n’y pas de concurrence dans la modélisation.

Le but n’est pas de gagner, mais de profiter d’un savoir faire et de le rationaliser. Comme le font les gènes en se mêlant les uns aux autres. Comme le font les mèmes en générant des cultures et des systèmes de pensées.

En quelques mots : faire avancer le « schmilblick »

En résumé

La modélisation sert à améliorer nos acquis et notre sensibilité en se servant des acquis et de la sensibilité des autres, sans passer par l’expérience personnelle, mais par l’imitation, l’analyse et l’étude des réussites.

Une fois les compétences acquises, elles deviennent votre expérience personnelle qui sera répliquer à son tour, toujours en ajoutant de la plus-value. Il y a un supplément d’âme dans la modélisation qui n’existe pas dans la copie pure.

Les gens qui modélisent sont souvent très intelligents ou PNListes (car c’est l’essence de la PNL) ou très judicieusement fainéants.

Alors la prochaine fois que vous serez tentés de copier ou plutôt de modéliser parce que vous ne savez pas le faire, dites-vous que vous êtes évolutionnistes et évolutionnaires.

Vous avez la capacité de synthétiser, de condenser et reproduire l’expérience, la créativité et la sensibilité des autres en apportant votre propre histoire.

Et si vous êtes copiés, estimez-vous heureux ! C’est la rançon du succès et de la reconnaissance.

Si vous êtes modélisés, c’est que vous proposez un facteur d’évolution.

Article invité rédigé par Marjorie MOULINEUF du blog Aller Bien, dans le cadre de La Valse des Invités 2013.

Marjorie vous recommande Le Journal Intégral

juin
16
27

Pourquoi je n’apprécie pas Cédric Vimeux et son blog Virtuose Marketing

AuthorCédric Vimeux    CategoryBlog     Tags, , ,

Article invité rédigé par Yann LEGROS du blog Crée ton Site, dans le cadre de la Valse des Invités 2013.

Cela fait déjà un moment que je suis Cédric sur internet. Plusieurs années déjà.

J’ai commencé avec son site Autonomie-Financiere.com, sur lequel il nous distribuait des informations de bonne qualité.

C’était un genre nouveau pour moi. Comment gagner de l’argent sur internet… Comment être autonome financièrement… Etc.

Passionné par l’informatique, je me suis dit qu’il y avait une place pour moi dans ce domaine. Alors j’ai commencé à suivre les conseils de Cédric.

Commencé à vouloir en savoir plus. A être en demande d’informations.

Et puis, il y a eu le choc Webmarketing Junkie, avec Jean Rivière. Un style nouveau. Et surtout son fameux modèle d’un article par jour.

C’est là que Cédric a commencé à laisser germer une idée. L’idée qu’Yvon Cavelier avait plantée quelque temps plus tôt. Inspiré par Jean, il a décidé de créer Virtuose Marketing. Sur la base d’un article par jour!

Alors, c’est plutôt flatteur pour son ego, mais qu’en pensent vraiment ses lecteurs?

yann legros, cédric vimeux, fan

Nul !

Virtuose Marketing est né et ma vision des choses à changé

Pour ma part, ça a été un deuxième choc pour moi. Le premier étant venu de Jean également.

Et puis maintenant Cédric qui s’y met. Puis Yvon, et bien d’autres… Mais qu’est ce qu’ils ont tous à vouloir publier quotidiennement ? OK leur trafic va augmenter. OK leur e-réputation n’en sera que meilleure. OK ils vont pouvoir partager des idées. OK ils vont aider les gens. OK ils vont gagner de l’argent…

Et les articles ont commencé à être publiés quotidiennement sur le thème du marketing. D’une qualité exceptionnelle. Un virtuose n’aurait pas su mieux faire. Seul problème, il y a de la lecture quotidienne. Mais mieux (ou pire) que de la lecture. Il y a aussi de la mise en pratique.

Ce dont Cédric ne se rend pas compte c‘est que son article nous prend 10 minutes à le lire. Mais il nous prend parfois plusieurs heures à appliquer. Et à tester aussi.

Alors à chaque fois qu’une idée me semble intéressante, je file vérifier ça sur un blog. Je change radicalement dans certains cas. Ou je mets en place des tests. Et au final qu’est ce qui se passe?

Il se trouve que les idées de Cédric ont toujours été bonnes à appliquer. J’ai appris beaucoup de choses grâce à Cédric. Et aujourd’hui, je continue d’en apprendre et de m’améliorer.

Tiens, et si je m’y mettais aussi

Je me suis rendu compte que les raisons évoquées plus haut sont de bonnes raisons. Moi aussi, je voudrais plus de trafic et partager mes idées et connaissances…

Et la je suis tombé dans le piège. Je me suis dit: « Et si je m’y m’étais aussi. Ce serait un sacré challenge. »

Après avoir pesé les multiples POUR et l’unique CONTRE (1 article par jour, c’est énorme), je me suis enfin décidé.

Il fallait choisir un domaine, où je pouvais aider par mon expérience… J’ai créé www.creetonsite.com. Avec un article par jour (de la semaine).

Selon moi, pour une meilleure mise en pratique, la vidéo est essentielle. Je crée donc aussi une vidéo qui accompagne chaque article.

Le problème, c’est que Cédric et Jean ont placé la barre bien haute. Et il faut savoir suivre le rythme. Toujours avoir de nouvelles idées et inspirations.

Ma vie avant, sans Cédric? Je travaillais 1 à 2 heures par jour.

Maintenant? Mon temps de travail à plus que doublé. Merci qui?

Bien entendu, je suis plus que satisfait d’avoir adopté ce nouveau rythme. Il m’a apporté beaucoup. Je n’aurai jamais pensé que ça aurait été une expérience si plaisante et positive. Merci Cédric.

Cédric veut placer la barre encore plus haute ?

Et puis Cédric s’est mis à parler de vouloir publier 2 articles par jour… Non mais il se fiche de qui là ?

Il y en a qui peinent à essayer de faire UN article quotidien. Et lui, comme si je rien n’était se dit: « ah je me demande si je vais passer à 2 articles par jour, j’ai beaucoup trop d’idées… ».

Pense à nous Cédric. Tu veux sincèrement qu’on passe 4 heures par jour à appliquer tous tes conseils? Et que grâce à toi, nos blogs soient encore meilleurs? Oh tiens, en voici une bonne idée. :)

Tu attends quoi pour te lancer ?

Finalement je n’apprécie pas Cédric et son blog

Apprécier n’est pas le mot qui convient. Je suis carrément fan et amoureux de son blog.

Grâce à lui, j’ai pu améliorer mon marketing de différentes manières. Et il a su me mettre le pied à l’étrier. Pour, moi aussi, publier un article quotidien. Pour partager ma passion et aider mes lecteurs.

Aujourd’hui, Cédric fait partie des 2 seules personnes que je suis au quotidien. Jean est la seconde. Et je voulais vraiment le remercier pour tout.

Merci à tous ses conseils et astuces. Merci au défi qu’il m’a lancé sans le vouloir. Merci de m’avoir permis d’en être là aujourd’hui. Merci.

Et à vous ? Qu’est-ce que Cédric vous a apporté ? Avez-vous envie de lui dire Merci ?

Article invité rédigé par Yann LEGROS du blog Crée ton Site, dans le cadre de la Valse des Invités 2013.

Yann vous recommande Webmarketing Junkie 

Photo © Trezvuy – Fotolia.com

juin
15
26

Briser les règles (ou l’obligation du plaisir)

Article invité rédigé par Florence CLERFEUILLE du blog À Mots Déliés, dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Pour cette nouvelle valse, Cédric a demandé à ses invités d’écrire sur des sujets qu’il ne traite pas.

Le sujet principal de son blog étant le marketing (web ou pas web), je m’en vais plutôt vous parler de plaisir et d’intimité.

Entendons-nous bien : cet article n’est pas pour autant interdit aux moins de 18 ans :-)

De même, vous verrez qu’il y a quand même un lien avec le blogging. Vous allez comprendre pourquoi…

Parce que, finalement, tout est lié…

Je vous explique :

florence clerfeuille

Lâche tes comm’ !

Remontons un peu dans le temps…

À la préhistoire du blog (soit il y a une dizaine d’années) le moins que l’on puisse dire est que la chose n’était pas vraiment prise au sérieux… et bien loin d’intéresser les marketeurs !

Skyblog, l’une des premières plateformes françaises d’hébergement, fourmillait alors de journaux intimes d’adolescents (plus ou moins attardés) qui s’exposaient à outrance.

C’était l’époque des concours du plus grand nombre de commentaires, tous plus affligeants ou vides de sens les uns que les autres. Il y en a eu des millions.

Quel intérêt, me direz-vous ?

Celui de se faire plaisir. Et celui de parler de soi.

Moi, mon héros…

Tout le monde aime parler de soi.

Plus ou moins souvent, plus ou moins en profondeur, de façon plus ou moins exhibitionniste, mais tout le monde aime ça.

Pour s’en convaincre, il suffit d’écouter n’importe quelle conversation de la vie courante. Quel que soit le sujet, comment rebondit-on ? En faisant appel à ses souvenirs, ses expériences, ses connaissances. Bref, en se centrant sur soi.

« Ça me rappelle un truc qui m’est arrivé… Moi, ce que je pense… C’est comme moi quand… » : incroyable, le nombre de fois que ces débuts de phrase sont prononcés !

Quand on écrit, si on se laisse aller, c’est un peu la même chose : il est tellement plus facile (et agréable) de parler de ce qu’on connaît le mieux

Mais quand on s’intéresse au marketing, c’est qu’on veut vendre. Et pour vendre, il ne faut pas faire n’importe quoi.

Forcer sa nature ?

Il y a des règles à suivre. Des trucs qu’il « faut » faire parce que ça marche (c’est prouvé) et d’autres qu’il ne « faut surtout pas » faire parce que ça ne marche pas (c’est prouvé aussi)…

Parmi ces trucs, il y en a des tas qui concernent l’écriture (vous le savez, Cédric en parle souvent) alors vous vous concentrez dessus. Pour avoir des résultats. Pour être efficace.

Mais est-ce que ça l’est toujours, efficace ?

Pas sûr, car à trop se concentrer sur ces fameuses règles, à vouloir les suivre scrupuleusement, on en oublie d’être soi. On en oublie de se faire plaisir.

Et ça, le lecteur le sent. Il sent que votre texte est fabriqué.

Vous l’avez écrit vous-même ? Vous avez sué sang et eau pour obtenir un résultat professionnel ? Peut-être, mais si cela a été laborieux, si vous n’avez pas pris un minimum de plaisir à l’écrire, c’est une succession de mots sans émotions que vous mettez en ligne.

Une machine pourrait tout aussi bien faire la même chose.

Qui a envie de s’intéresser à ce que raconte une machine ? Par définition (en tout cas, pour l’instant) elle ne pense pas et n’a pas d’opinion.

Rester soi-même

Et si on était plus efficace quand on ne suit pas ces règles ? Après tout, les règles sont faites pour être transgressées, non ? :-)

Sans compter que pour être remarqué, pour attirer l’attention des gens, les interpeller comme on dit quand on veut se donner l’air intelligent, il faut sortir du lot.

Comment être original si on fait comme tout le monde ? Ce n’est pas possible.

Par contre, en tant qu’être humain, vous êtes forcément original, unique. Alors, c’est cette carte-là qu’il faut jouer.

En renouant (un peu) avec la préhistoire du blog.

Ce qui nous fait réagir en tant que lecteur, ce sont les émotions. La surprise, la colère, le nœud dans les tripes… C’est ça qui fait qu’on se souvient d’un texte (et par extension d’un auteur) parce que ça nous touche dans notre humanité.

Le hic, c’est qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise recette, de truc qui marche tout le temps ou qui ne marche jamais. Nous sommes tous différents, vos lecteurs aussi. Ce qui va toucher les uns au plus profond d’eux-mêmes va royalement emmerder les autres. Question de vécu.

Alors quitte à ne pas plaire à tout le monde, autant se faire plaisir. Et rester soi-même.

C’est ce que j’ai fait dans cet article. C’est aussi ce que fait Cédric. Et ça a plutôt l’air de bien marcher pour lui, non ?

Article invité rédigé par Florence CLERFEUILLE du blog À Mots Déliés, dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Florence vous recommande de lire cet article du blog Le Journal Personnel

Photo © NinaMalyna – Fotolia.com

juin
14
26

Ce que 98% ne font pas… et pourquoi ils ont TORT !

Article invité rédigé par Nicolas Sterlest du blog Les Entrepreneurs du Web, dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Si aujourd’hui publier un article de présentation de produits ou de vos services est à la porté de tout le monde, susciter l’intérêt des médias est devenu bien plus difficile devant le flot toujours grandissant de nouvelles informations diffusées quotidiennement sur internet.

Le communiqué de presse vous permet de démarquer votre information de la masse en la mettant directement sous les yeux des médias et des journalistes concernés.

98% des blogueurs ne le font pas. Moi non plus ! Et nous avons tort…

Nous avons tort car j’ai fait des recherches et me suis bien renseigné sur le sujet… Le communiqué de presse est à ce jour une carte importante à jouer.

Imaginez retenir l’attention d’un seul journaliste qui publierait un article à propos de votre entreprise dans la presse locale ou nationale. Celui-ci assurera votre exposition et engendrera une vague de trafic ciblé démesurée vers votre blog.

Je pense que vous avez pris conscience de la puissance d’un communiqué de presse alors découvrons sans plus tarder comment utiliser cet outil.

Communiqué de presse

Qu’est-ce qu’un communiqué de presse ?

Le communiqué de presse est un moyen très efficace et surtout très puissant pour atteindre un public ciblé et générer un buzz autour de vos produits, vos offres ou vos lancements à venir.

Le communiqué de presse est également peu coûteux (souvent gratuit) et extrêmement facile à distribuer.

C’est également une arme redoutable pour augmenter la crédibilité de votre entreprise en construisant une communication sur le long terme.

Les réseaux sociaux transmettant les flashs infos bien avant tous les médias, l’information circule bien plus rapidement qu’avant.

Conséquence, les journalistes n’ont plus le monopole de l’exclusivité. Il est donc tout à fait normal que les médias prêtent une véritable attention à tout ce qu’il se passe sur le Web.

Les agences de relation de presse et les plateformes de diffusion de communiqués de presse se sont naturellement multipliées afin de tenter de centraliser tout cet échange d’information.

Le communiqué de presse ressemble à un court article, mais avec une énorme différence, l’obligation de réellement susciter un intérêt et ne pas se contenter de diffuser une simple information.

Son rôle est avant tout de séduire les médias et les journalistes.

Sachez tout de même que la publication de votre communiqué de presse peut ne pas porter ses fruits immédiatement. Les journalistes ne travaillant peut-être pas à ce moment-là sur le sujet dans lequel vous œuvrez.

Il ne faut cependant pas perdre espoir et ne pas hésiter pas à réitérer la publication de votre communiqué au moins une fois par mois afin de relancer le sujet. Tâchez seulement à le modifier, voir même à l’optimiser pour le rendre différent et il permettre de susciter à nouveau de l’intérêt.

Il existe de nombreuses plateformes de diffusion gratuites ou payantes et vous devrez donc faire un choix en fonction de la visibilité et de l’impact que vous souhaitez obtenir.

N’en perdrez pas pour autant l’objectif de votre communiqué de presse qui doit finalement retenir l’attention des journalistes et des éventuels clients.

Comment rédiger votre communiqué de presse ?

Créer et optimiser votre communiqué n’est pas très compliqué en soit. Qui mieux que vous connait votre produit ?

Comme tout outil de promotion, il devra avoir un impact maximal. Nous allons donc voir les points importants que doit contenir votre communiqué de presse.

Date de publication et origine : Il est important d’indiquer si vous souhaitez une « diffusion immédiate » ou, le cas échéant, d’indiquer quand votre communiqué pourra être rendu public en précisant une date de diffusion. Vous devrez également ajoutez le logo de votre société afin de facilement pouvoir être identifié.

Titre : le titre de votre communiqué de presse a pour objectif d’attirer l’attention des clients potentiels et des journalistes en quelques secondes ou vous les faire perdre à jamais. Il doit, en une phrase percutante, résumer l’ensemble de votre communiqué.

L’accroche : celle-ci est le complément de votre titre. Composée de deux ou trois lignes, elle donne aux lecteurs un peu plus d’informations sur le contenu de votre communiqué de presse.

Introduction : elle regroupe sur un seul paragraphe les éléments de base que vous aimeriez trouver au début d’un article : où, qui, que, quoi, quand, pourquoi et comment.

Corps : c’est ici que vous allez développer tout ce que vous venez de présenter. L’idéal est de développer une idée par paragraphe tout en ayant un fil conducteur et en exposant les éléments les plus importants en premier.

Démarrez chaque paragraphe avec un titre contenant l’idée principale à retenir. Rédigez dans un langage simple et compréhensible par tous en faisant bien entendu attention à l’orthographe et la grammaire.

Soyez le plus impersonnel possible et n’utilisez pas de propos trop commerciaux. Le témoignage d’une personne extérieur à votre entreprise serez également apprécié pour appuyer vos propos.

Liens : n’en abusez pas ! Certaines plates-formes répugnent le fait de pouvoir cliquer sur des liens. Votre but étant d’annoncer un évènement ou de présenter un produit, un seul lien devrait amplement suffire. N’oubliez pas, pour obtenir l’impact souhaité, il faut cibler vos communiqués de presse.

Images et logos : vous pouvez insérer quelques images dans votre communiqué pour le rendre plus attrayant mais n’en abusez pas et vérifiez bien que vous disposez des droits nécessaires. Des images en haute résolution (300 dpi) sont conseillées si votre communiqué doit être publié pour la presse.

Fin du communiqué : ajoutez ici toutes les informations pratiques, un bref rappel de votre entreprise, ainsi que vos coordonnées, adresse du site Web et toute autre information de contact qui faciliteront les demandes d’informations complémentaires. Proposez un appel à l’action : « pour plus d’informations, visitez … ou appelez le… ».

Quelques astuces

Créer votre fichier de contacts

Vous voudrez surement contacter certains médias directement. Pour les magazines et sites internet, il vous suffit de trouver les coordonnées des membres de l’équipe de rédaction. Mettez-les dans un document pour pouvoir les contacter directement le moment venu.

Le numéro de téléphone général d’une enseigne de presse peut également vous servir à obtenir les coordonnées des rédacteurs. Attention tout de même à ne pas les contactez sans avoir un contenu pertinent et unique à leur proposer. Leurs portes à peine entrouvertes peuvent  très vite se refermer de manière définitive.

Fréquence de publication

N’hésitez pas à publier vos communiqués une fois par mois, car les journalistes travaillent en permanence sur de nouveaux sujets. Ensuite, certains médias travaillent leurs thèmes plusieurs semaines ou plusieurs mois à l’avance, il est donc possible que votre communiqué soit vu, mais que personne ne vous contacte. Soyez patient, tout peut arriver !

Ça me fait d’ailleurs penser à un article que j’ai lu durant mes recherches. L’idée de cet article est la suivante : ce n’est pas parce que vous envoyez un communiqué qui n’est pas repris, que c’est un communiqué inutile. Vous pouvez lire cet article sur le blog « Séduire la Presse » de Jérémy : Stratégie presse : comment un communiqué de presse inutile va faire parler de vous dans les médias

Conclusion

Maintenant que vous savez tout sur les communiqués de presse, il ne vous reste plus qu’à expérimenter cet outil (moi aussi par la même occasion :roll: ). Il nous servira certainement dans le développement de notre entreprise, mais aussi dans son positionnement sur le marché.

Préparez soigneusement vos communiqués et soyez toujours prêts à répondre à une éventuelle interview (oui oui, j’ai vu que parfois les communiqués peuvent déboucher là-dessus). Finalement le but recherché est bien de passer sur le devant de la scène alors pourquoi pas une interview ?

Avouez qu’il serait quand même dommage d’avoir créé un communiqué de presse efficace, qui retient l’attention d’un journaliste, et de tout faire capoter sur une interview manquée.

Rappelez-vous, qui d’autre que vous connait mieux votre produit ?

Le tout réside dans la préparation des arguments principaux et de leur présentation qui devra être suffisamment pertinente et attirante.

Article invité rédigé par Nicolas Sterlest du blog Les Entrepreneurs du Web, dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Nicolas vous recommande cet article sur Séduire la Presse

juin
13
30

Votre site web passe chaque jour des entretiens d’embauche ! Est-il prêt ?

AuthorCédric Vimeux    CategoryBlog     Tags,

Article invité rédigé par Nassim Amisse du blog E-Methodologie, dans le cadre de l’événément La Valse des Invités 2013.

Nous avons probablement tous eu à passer des entretiens d’embauche, et nous savons qu’un entretien ça se prépare. Nous savons également qu’il y a certaines règles à respecter pour que cela se passe bien.

Il en va exactement de même pour un site web !

Certaines règles sont à respecter pour que votre site ne rate pas son entretien … avec ses visiteurs.

C’est ce que nous allons voir aujourd’hui…

nassim amisse

Règle n°1 : Soignez votre apparence

Vous pourrez avoir le meilleur CV au monde et 150 de QI, si vous arrivez en retard, mal rasé ou mal maquillée (ou les deux !), cela n’aura aucune importance.

Pourquoi ?

Tout simplement parce que la première image que vous donnerez à la personne en face de vous sera celle d’une personne négligée et qui ne prend pas les choses au sérieux.

« On ne peut pas avoir la chance deux fois de faire une bonne première impression ».

Il ne faut pas se faire d’illusions : l’impression que vous ferez sera grandement conditionnée par l’apparence que vous donnerez.

Ca serait même un manque de respect pour celui qui vous fait passer un entretien, et ça serait de la même manière un manque de respect pour celui qui vient visiter votre site, si vous ne soignez pas la forme.

Votre site web ou Blog ne devra pas donner l’impression d’être incomplet, inachevé, amateur dans sa conception et plein de fautes d’orthographes.

Vous devez absolument éviter de :

  • Afficher des pages vides, incomplètes ou inachevées
  • Utiliser un design amateur
  • Mettre des couleurs agressives
  • Ne pas mettre à jour votre site régulièrement

La liste peut être encore rallongée.

Plus vous passerez de temps à soigner les détails, plus vous aurez des chances de plaire, dés la première poignée de main.
Et n’oubliez pas : demandez l’avis de votre entourage sur votre « apparence » avant l’entretien.

Règle n°2 : Montrez votre « plus »

Dans un entretien, vous devez montrer vos compétences, mais vous devez montrer ce que vous avez de plus que les autres.

Vous êtes après tout plusieurs à postuler. Pourquoi est ce que l’on devrait vous retenir ?

Il en va de même pour votre site web

Aujourd’hui on remarque qu’il y a de plus en plus de sites qui traitent des mêmes sujets, mêmes thématiques et qui proposent des produits similaires.

Posez vous la question suivante : pourquoi vous et pas les autres ?

Cela doit clairement ressortir sur votre site :

Voici quelques idées pour pouvoir faire la différence :

  • Un message clair dés le départ sur votre site. Il faut que dés le premier coup d’œil on puisse savoir ce que votre site apporte de plus.
  • Une page « à propos » intéressante : N’ayez pas peur de vous mettre en valeur. Les personnes qui iront sur cette page veulent vous connaître, et seront intéressées de connaître de ce que vous avez de plus.
  • Des rubriques claires : Ne perdez pas votre visiteur en route. Montrez lui clairement ce qu’il va trouver chez vous.
  • Une page spéciale consacrée à votre valeur ajoutée.

Continuons…

Règle n°3 : Intéressez-vous à votre interlocuteur

Lors de la préparation d’un entretien, il est nécessaire d’en apprendre plus sur votre potentiel futur employeur.

C’est un signe d’intérêt, et c’est toujours très apprécié.

Vous devez faire la même chose avec vos visiteurs.

Montrez leurs que votre site est pensé pour eux et leurs besoins.

Quelques idées :

  • Le message que doit donner votre site, doit être adapté à ce que recherchent les visiteurs que vous attendez.
  • Offrez du contenu avec une réelle valeur ajoutée.
  • Proposez des produits et services qui permettent d’apporter une solution ou un véritable plus à vos visiteurs.

Vos visiteurs doivent sentir qu’ils sont chez eux.

Bien entendu, pour être efficace dans cette partie vous devez avoir consacré du temps à l’étude de marché, la segmentation et à l’élaboration de votre stratégie de ciblage.

Règle n°4 : Restez en contact

Généralement à la fin d’un entretien on entend la fameuse la phrase « on vous rappellera ».

La personne qui vous fait passer un entretien a généralement vos coordonnées. Qu’en est-il d’un visiteur ?

Assurez-vous que la personne a bien la possibilité de vous recontacter si elle le souhaite.

Dans la pratique cela peut être :

Approche passive :

Affichez vos coordonnées : E-mail, téléphone, adresse… affichez les clairement sur votre site. Cela inspirera confiance, et permettra surtout de montrer que vous êtes joignable en cas de besoin.

Approche active :

Proposez à la personne de s’abonner à votre newsletter. Cela peut être en affichant un module d’abonnement sur les pages de votre site et en bas de vos articles ou un peu plus brutalement en passant par un pop-up.

Quelque soit la manière, elle doit vous laisser quelque chose en partant.

Conclusion

La voici :

nassim amisse

Ce n’est pas/ plus votre cas ;)

Article invité rédigé par Nassim Amisse du blog E-Methodologie, dans le cadre de l’événément La Valse des Invités 2013.

Nassim vous invite à regarder cette vidéo sur Euklide

juin
12
23

Comment prendre confiance en soi et se lancer… Ou l’art de prendre conscience de votre valeur !

Article Invité rédigé par Sébastien LAUDE du blog Marketing affiliation dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Quel débutant n’a jamais ressenti le trac, la peur de se lancer ?

Vous savez, cet instant un peu particulier où on doute de soi, de sa capacité à transmettre quelque chose d’utile pour finalement en conclure que : « Ce n’est peut-être pas fait pour moi ».

L’arme absolue pour franchir cette barrière peut se résumer en quelques mots : Prendre confiance en soi.

Pourtant, lorsque cette qualité vous fait défaut, ces mots peuvent sembler inaccessibles comme s’il était gardé dans un coffre blindé et que la clé soit hors de votre portée.

En effet, à force de se focaliser sur ce ressenti désagréable qu’est le manque de confiance, des idées négatives apparaissent, créant un sentiment de confusion qui prend place petit à petit. Un peu comme si on s’était installé dans des chaussures trop grandes ou trop petites.

Ce malaise finit souvent par prendre le dessus à tel point qu »il est facile d’abandonner un projet avant même d’avoir commencer.

Un peu comme Vanessa qui anime le blog Blogging Passion. Elle aurait bien aimé participer à la valse des invités organisés par Cédric Vimeux, mais au final elle en est arrivée à ce commentaire :

« Bonjour, super cet évènement, c’est une très bonne idée ne serait ce que pour prendre des vacances, alimenter le blog, l’animer, et faire plaisir à ces lecteurs. Malheureusement, je ne rentre pas dans tous les critères étant une très jeune blogueuse. Ça sera peut être pour la prochaine ! »

Et si le fait de prendre confiance en soi pouvait tout changer. Qu’en pensez-vous ?

Croyez-vous qu’un débutant ne peut rien apporter aux autres ?

Si c’est le cas, j’aimerai partager avec vous une histoire vraie qui démontre le contraire.

(Note de Cédric : Vanessa a pris son courage à deux mains et a participé à la valse. Vous pouvez lire son article ici ;)

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Prendre confiance en soi

Quand l’élève guide le maître : Ce que les débutants peuvent apporter aux experts !

Actuellement, ma femme est en voyage en Islande pour un stage photo.

Comme dans tous les voyages de ce genre, elle est accompagnée d’un guide qui les amènent sur différents sites qu’ils peuvent photographier.

Chaque jour, nous nous envoyons des messages et dernièrement, j’ai appris que c’est elle qui a guidé le groupe et leur accompagnateur, alors qu’elle n’est qu’une élève en matière de photo.

Comment cela c’est-il passé, me direz-vous ?

En fait, le groupe a une moyenne d’âge de 60 ans, et chacun possède un équipement assez lourd. De ce fait, les participants ont tendances à se poser à un endroit et à photographier des sujets fixes.

Ma femme quant à elle est plus jeune (je tairai son âge ici car on m’a toujours dit qu’il y a 2 choses qu’il ne faut jamais demander à une femme : Son âge et son poids :-) ) et elle adore marcher. Ce qui fait qu’elle vadrouille un peu partout et va explorer des endroits au petit bonheur la chance.

Le 3éme jour, elle a découvert par hasard qu’une de ces promenade avait une valeur qu’elle ne soupçonnait pas. Voici le message où elle réalise cette valeur :

« Aujourd’hui, je suis devenue la mascotte du groupe : ce matin, un des gars du groupe me montre un oiseau et me dis : »tu vois cet oiseau, il est très rare ».

Et moi j’lui dis : « Ah bon ? (moi j’le connaissais pas ce piaf), ben hier j’en ai vu des dizaines qui jouaient dans une chute d’eau et j’ai fait plein de photos ».

Là, le gars il reste bloqué avec la mâchoire ouverte.

Je lui propose alors de lui montrer l’endroit en lui disant que je ne suis pas sûre qu’ils y soient encore.

Je guide finalement tout le groupe (y compris le guide) et nous allons donc dans un des méandres de la rivière Laxà que j’avais exploré hier. Et là, ils tombent tous en extase car les garrots arlequins et les garrots d’Islande sont encore là à jouer dans les petites chutes ! »

C’est ainsi qu’une novice de la photo guida un groupe de photographes chevronnés ou comment une débutante apporta de la valeur à un expert et à un groupe plus expérimenté qu’elle.

Prendre confiance en soi : Les clés à retirer de cette histoire ?

Tout d’abord, ce n’est pas parce que vous débutez dans un domaine que vous ne pouvez pas apporter de valeur.

En effet, même si vous n’avez pas les qualités et les connaissances techniques d’un expert, il est possible que votre regard neuf, votre envie de découvrir et votre enthousiasme vous amènent vers des pépites dont vous ignorez encore la valeur.

Certaines de vos expériences qui pour l’instant ne valent rien à vos yeux peuvent avoir un caractère précieux pour d’autres. Comme cet oiseau découvert par hasard qui se trouvait être un sujet rare pour le groupe alors que pour ma femme, c’était seulement un oiseau…

Pour réaliser la valeur de vos connaissances et prendre confiance en soi, il faut alors une deuxième clé…

Entourez-vous de personne qui connaissent la valeur des choses et soyez à l’écoute.

Si ma femme n’avait pas entendu cet homme dire que cet oiseau était rare, elle serait certainement passé à côté de la valeur de ce moment.

C’est l’un des plus gros problème pour le débutant : Identifier ce qui a de la valeur.

Par exemple, lorsque j’ai débuté dans l’affiliation, j’accordais beaucoup de valeur aux conseils que je trouvais à droite et à gauche sur Internet pour amener du trafic vers mes blogs.

Au final, une grande partie de ces conseils ne m’ont rien apporté. En revanche, par le plus grand des hasards, j’ai découvert des techniques (dont personne ne parlait à l’époque) qui m’ont amener de nombreuses visites.

C’est ce qu’on appel : « La chance du débutant ».

Pour éviter de vous dévaloriser et prendre conscience de la valeur de vos découvertes, n’hésitez pas à partager avec des personnes qualifiés et bienveillantes dans votre domaine.

Ces personnes auront le don de vous dire : « Tu vois là, c’est une bonne chose que tu viens de réaliser car ce n’est pas tous le monde qui sait faire cela ».

Ces simples mots prononcés par une personne compétente peuvent permettre de prendre confiance en soi et d’oser se confronter aux regards des autres.

Vous allez ainsi réaliser la valeur de vos découvertes et faire vos premiers pas. Cependant, il reste reste une question importante…

En tant que débutant, qu’est-ce que je vais bien pouvoir partager ?

Et bien, voici des titres d’articles pour vous donner de l’inspiration. Je prend l’exemple d’un affilié qui débute :

  • Le jour ou j’ai découvert comment gagner de l’argent sur Internet à partir de mes passions. (Dans ce type d’article, la valeur est pour ceux qui ne savent pas encore comment faire).
  • Je débute dans l’affiliation : Listes de mes premières lectures et ce que j’en ai retenu. (La valeur réside dans le fait que vous allez commencer à partager du savoir. Comme il s’agit de lecture, le savoir que vous allez partager sera perçu comme celui d’experts et donc avec beaucoup de valeur. De plus, vous pourrez commencer à insérer vos premiers liens d’affiliés)
  • Débuter en affiliation : Calvaire ou plaisirs… (Ici, la valeur réside dans le partage de vos émotions avec d’autres affilés qui peuvent se reconnaître dans votre expérience. Vous pourrez en plus créer des liens avec d’autres affiliés)
  • Test : Les 3 premières techniques que j’ai mise en application pour obtenir du trafic et leurs résultats.
  • Etc…

Vous voyez, même un débutant peut apporter de la valeur. Pour cela, il vous suffit de mettre dans vos bagages : de l’estime en soi, des informations de valeur et de trouver le bon positionnement.

De plus, prendre confiance en soi aura des répercutions positives bien au delà de votre business.

C’est pourquoi, je vous invite à faire preuve d’audace car comme l’a dit Johann Wolgang von Goethe :

« Quoi que tu rêves d’entreprendre, commence-le. L’audace a du génie, du pouvoir, de la magie. »

A votre succès !

Article Invité rédigé par Sébastien LAUDE du blog Marketing affiliation dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Sébastien vous recommande le blog Blogging Passion.

Crédit Photo (c) fotolia.com

juin
11
41

La technique du refus pour mieux persuader votre interlocuteur

Article invité rédigé par Alexandra FLORENCE du blog L’univers de l’attraction, dans le cadre de la Valse des Invités 2013.

La peur d’obtenir un NON lorsque vous demandez un service à quelqu’un semble être un véritable frein pour beaucoup d’individus durant leur évolution personnelle.

Par cette attitude, vous ne pouvez pas imaginer le nombre d’opportunités que ces individus loupent rien qu’à cause de cette simple peur d’obtenir un NON.

Cependant, qui que vous soyez et quoi que vous fassiez, vous devez persuader et convaincre constamment pour pouvoir avancer.

Pour négocier le prix d’un nouveau produit dans le monde des affaires ou convaincre votre belle-mère de garder vos enfants – parfois même pour des broutilles – votre faculté de persuasion a un rôle essentiel dans votre vie.

Et si vous vous serviez de cette peur du refus pour retourner la situation à votre avantage, que diriez-vous ?

Il est indéniable qu’il ne soit pas toujours facile de franchir le gouffre qui existe entre les paroles et les actes. Et pourtant si vous réfléchissez bien, il existe une technique simple en deux étapes qui va jouer sur la psychologie de votre interlocuteur pour pouvoir le persuader plus facilement.

La technique qui va vous être proposée ci-dessous pourrait être assimilée à une forme de culot, de manipulation voire de coup tordu. Or il ne s’agit aucunement de toutes ces démesures, mais de l’art de la persuasion à travers une simple technique de psychologie appliquée.

Voici les 2 étapes de la technique :

technique du refus, alexandra florenceNON !

1. Cherchez volontairement le refus

Autrement dit, cherchez en premier à obtenir un NON.

Pour y parvenir, choisissez une faveur ou un service à demander à votre interlocuteur dont vous êtes pratiquement certain qu’il refusera d’y contribuer.

Je vous entends déjà vous dire : « Mais c’est du n’importe quoi ! ». Pourtant c’est une technique très fine et une manoeuvre très efficace qui fonctionne dans la majorité des cas (il y a toujours des récalcitrants). Vous allez comprendre pourquoi dans les lignes qui suivent.

La spécificité de cette technique réside dans le fait qu’elle peut vous donner une influence sur quelqu’un qui est fermé à toute idée de vous aider, de vous suivre ou de vous acheter le produit que vous lui proposez.

Prenons un exemple :

Vous êtes débordé de travail au bureau et vous demandez à votre collègue s’il ne pourrait pas prendre en charge tous vos dossiers de compta afin de les superviser avant clôture et vérifier s’ils ne contiennent pas d’erreur. Bien évidemment votre collègue refuse car il est lui-même débordé de travail…

Prenons un deuxième exemple :

Votre enfant vous casse les pieds pour avoir un nouveau jouet. En fin psychologue, il va d’abord en choisir un sans réel intérêt qui coûte 50€ afin d’obtenir un NON de votre part. Parce qu’il sait que vous allez le trouver trop cher ou que vous ne lui achèterez pas ce mois-ci, ou pour n’importe quelle autre raison…

Avec ces deux exemples parmi des milliers d’autres, vous avez obtenu votre NON.

Et ensuite ? C’est maintenant que la deuxième étape entre en jeu.

La voici :

2. La puissance de la culpabilisation

Demandez une deuxième faveur plus raisonnable, celle que vous vouliez depuis le début !

Par ce principe de psychologie appliquée, la deuxième faveur pousse votre interlocuteur à vous l’accorder plus facilement après vous avoir refusé la première. Ce phénomène est lié à la puissance de la culpabilisation.

Comment expliquer cela ?

La culpabilité de vous avoir refusé une première faveur est présente à l’esprit de votre interlocuteur au moment où vous lui demandez votre seconde faveur plus raisonnable. Du coup votre interlocuteur sera plus enclin à vous l’accorder.

Reprenons notre premier exemple :

Votre collègue a donc refusé de prendre en charge tous vos dossiers de compta. Demandez-lui maintenant s’il ne pourrait pas jeter un oeil à un seul de vos dossiers, celui qui vous donne du fil à retordre, celui qui vous fait perdre du temps et auquel vous n’êtes pas sûr de vos calculs. Votre collègue vous dira très certainement qu’il va voir ce qu’il peut faire, sur son temps de midi en mangeant.

Et dans le second exemple :

Vous avez refusé à votre enfant le jouet à 50€ qu’il vous a demandé.

Parce qu’il a de la suite dans les idées et pour mieux obtenir ce qu’il veut, votre enfant va faire semblant d’être triste et déçu.

Il va vous dire qu’il comprend que vous ne puissiez pas lui acheter ce jouet parce qu’il est trop cher. Il va alors faire sa deuxième demande pour un jouet à 20€ qu’il souhaite réellement et il est fort probable que vous acceptiez bien volontiers d’ouvrir votre porte-monnaie pour le jouet moins onéreux.

Vous voyez, cette technique de persuasion est toute simple et peut être appliquée dans tous les domaines de votre vie avec un peu de savoir-faire.

Et vous ? Quelles techniques utilisez-vous pour obtenir ce que vous voulez ?

Sinon, à vous de jouer !

Article invité rédigé par Alexandra FLORENCE du blog L’univers de l’attraction, dans le cadre de la Valse des Invités 2013.

Florence vous recommande le blog Eveil Personnel Coaching

photo © Antonioguillem – Fotolia.com

juin
10
55

La technique du LIT ou comment vous constituer un réservoir à IDÉES !

Article invité rédigé par Mathieu Moreno du blog Vivez votre Vie, dans le cadre de la Valse des Invités 2013.

Bon, pendant que Cédric se la coule douce en Grèce avec sa famille, je suppose que pour la majorité d’entre nous, la routine est de garde… « métro-boulot-DODO » (ou pas).

Alors voici mon histoire (vraiment bizarre ! )

On est le 25 avril 2013, il est 2h55 et comme beaucoup de nuits, je ne trouve pas le sommeil à cause d’une chose mystérieuse.

Vous savez le déclencheur de toute action, ce qui pimente votre vie et qui peut du jour au lendemain révolutionner votre existence.

C’est un mystère bien gardé mais pourtant j’ai découvert grâce à la technique du lit un puissant réservoir à…

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…idées !

Bon, je vous vois venir… « Mais qu’est ce qu’il nous dit ? » « Il est frappé celui-là ! »

Rien de tout ça je vous rassure mais en faite dès que je me couche, j’ai une multitude d’idées qui me viennent à l’esprit et qui m’empêche de dormir.

Cela peut être bizarre mais c’est vraiment le cas et je trouve ça formidable, c’est un fabuleux réservoir à idées !

Une idée, deux idées, trois idées et j’en passe… refaire ce passage, créer ce site, écrire un livre, oh tiens une idée de titre… autant d’idées et d’envies qui viennent perturber mon sommeil !

Mais Merci… !

Je pense que c’est le plus grand réservoir à idées au monde.

J’insiste et je me mouille encore une fois, aller au lit est un facteur déterminant pour trouver des idées de façon naturelle et sans efforts !

Il y a des milliers et des milliers de sujets, de projets qui nous viennent à l’esprit au moment où on voudrait dormir plutôt qu’écrire sur un carnet toutes les idées qui nous passent par la tête !

C’est un vecteur puissant de créativité, cette capacité à créer, à imaginer et à innover de nouveaux projets et oui je peux vous l’assurer, la recherche du sommeil en est une et oui cela peut être votre plus grand allié !

C’est un vrai bol d’oxygène, une victoire pour tous ceux qui n’ont pas réellement d’idées car oui on peut développer cette tendance à l’inventivité !

Bon ok j’arrête avec les oui… Mais voyez plutôt depuis quand je ressens cette sensation:

Je ressens cette sensation mystérieuse depuis que j’ai un projet, un objectif dans ma vie et c’est vraiment incroyable la puissance que ce réservoir à idées peut avoir sur notre cerveau.

Un objectif : Trouver sa voie !

Trouver sa voie et tout faire pour se donner les moyens d’y arriver, voilà le vrai objectif de toute une vie et je peux vous assurer qu’ensuite les nouvelles idées arriveront par centaines !

Si vous m’aviez dit un jour que le fait de se coucher est un réservoir à idées inestimables je vous aurais probablement pris pour un fou… et encore ;)

Bref libérez votre créativité, libérez vos idées et libérez vous des contraintes, établissez maintenant un objectif pour les semaines, les mois, les années à venir, bâtissez vous un plan de vie, trouvez votre voie, cherchez, cherchez encore, n’abandonnez pas car je vous assure que la récompense est à la hauteur de tous vos efforts !

Une fois votre objectif fixé, votre cerveau va être stimulé.

Vous allez avoir une grande quantité de nouvelles idées et une abondance de projets à réaliser. Vous allez même avoir l’impression d’être perdu par toutes les opportunités que vous offre votre cerveau…

La technique de grand-mère

Personnellement voici comment je procède et comment je pense que vous devez procéder pour retirer au maximum le bénéfice de ce réservoir à idées:

1. Mettez un carnet et un stylo à côté de votre lit. Tel un lion en cage, vous allez être à l’affût de chaque nouvelle idée qui vous traverse l’esprit avant de vous endormir ;)

2. Dès que vous avez une idée inscrivez la sur votre carnet. Faites le dès que vous avez une nouvelle idée car sinon c’est le meilleur moyen de ne pas trouver le sommeil du tout.Votre cerveau va rester en éveil et vous allez sans cesse penser à cette idée si vous ne l’inscrivez pas quelque part.

En quelque sort en l’inscrivant sur votre carnet vous allez vous débarrasser de celle-ci pour pouvoir la retrouver comme par magie le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil.

3. Chaque matin, prenez 5 minutes pour revoir ce que vous avez noté sur votre carnet. Faites la part des choses, ne gardez que l’essentiel, les idées que vous pouvez réellement utiliser pour vos projets.

4. Une fois cette tâche effectuée prenez encore 5 minutes pour noter les objectifs que vous vous êtes fixés pour la journée. Inscrivez les tâches les plus importantes à faire le matin et les tâches les moins importantes à faire l’après-midi.

Récapitulons:

1. Définissez vos objectifs et trouvez votre voie.

Ceci est vraiment important ! Essayez de vous focaliser sur vos forces et non sur vos faiblesses. Je vous recommande le livre Strengths Finder 2.0 qui permet de connaitre vos points forts après avoir réalisé un Test en ligne.

Par contre le livre et le test sont en anglais donc soit vous utilisez la première version du test qui est en français ou soit vous traduisez le test Online (ce que je recommande) et donc dans ce cas envoyez un email à Gallup pour leur demander d’enlever la limite de temps du test.

2. Allez au lit !

3. Utilisez la technique de grand-mère pour noter toutes vos idées.

4. Passez à l’action et profitez de vos idées pour mettre en place de nouveaux projets.

Alors, que pensez vous de ce réservoir à idées, bizarre non ?

Au fait, je tiens à vous faire partager une série d’articles que j’ai particulièrement apprécié. Cette série s’appelle «Guide pour écrire des articles web qui cartonnent» et elle se trouve sur le blog Travailler à domicile.

Article invité rédigé par Mathieu Moreno du blog Vivez votre Vie.

Mathieu vous recommande de lire cet article

Photo © JZhuk – Fotolia.com

juin
9
39

Le plan d’action en 7 étapes pour OPTIMISER votre site web

Article invité rédigé par Marie-Eve Mouillard, du blog Les Doigts dans le Net dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Saviez-vous que 47% des consommateurs attendent qu’une page web se charge en 2 sec maximum ?

Les acheteurs deviennent distraits lorsqu’ils doivent attendre : 23% iront faire autre chose.

Optimiser un site web n’est pourtant pas insurmontable !

Si votre site web a un but professionnel, améliorer son temps de chargement doit devenir une priorité pour vous. A vrai dire, c’est un sujet qui me tient à cœur puisque mon propre blog souffre de ce mal.

J’ai donc cherché et compilé les bonnes pratiques en la matière pour me constituer une feuille de route, en plusieurs escales. Mes instructions sont particulièrement adaptées à WordPress mais restent valables pour tout type d’environnement : à vous de trouver les outils équivalents dans votre univers.

Le chemin est long et requiert de multiples compétences: j’ai donc décidé de regrouper les tâches selon leur complexité et leur temps de réalisation (comme vous, je n’ai pas une semaine à temps plein à consacrer à ce projet).

Le but de cet article est de vous fournir un plan d’action pour optimiser un site web : je ne rentrerai pas (trop) dans le détails de chaque étape, afin d’éviter d’en faire un article fleuve ! Les ressources citées en fin d’article vous permettront d’approfondir le sujet.

optimiser son site

Analyser objectivement la vitesse de votre site

Inutile de partir dans l’optimisation avant d’avoir testé votre site avec des outils objectifs. D’une part, cette analyse pointera les éléments les plus problématiques, et d’autre part vous aurez un moyen de contrôler le gain amené par vos optimisations.

De nombreux outils existent, voici les 3 que je vous conseille, avec une petite préférence pour le premier.

GTMetrix

Il donne deux notes : « Page speed grade » et « Yslow grade ». Mais son avantage tient surtout à la liste des recommandations fournie ainsi qu’à ses bonnes pratiques « spécial WordPress ».

Web page Test

Étrangement, cet outil ne se lance que sur Chrome ou Internet Explorer. Il établit 5 notes selon 5 critères :

  • temps de chargement à la 1ère visite
  • compressions des ressources externes
  • compressions des images
  • cache statique
  • utilisation d’un Content Delivery Network (cf en fin d’article)

L’outil de Google

Google reste quand même le moteur de recherche n°1 et le critère de la vitesse fait partie prenante de son algorhitme. Quand on sait à quel point il favorise ses outils, négliger ses recommandations seraient un tort évident!
Cet outil vous donne un score sur 100.

1ère couche d’optimisation : la facilité de mise en oeuvre de ces recommandations vous imposent de les réaliser !

Optimiser le serveur n°1 : le cache

Les serveurs ont la possibilité d’utiliser un « cache » : cette fonctionnalité génère et sauvegarde à l’avance les pages du site pour n’avoir qu’à les fournir quand un internaute en demande une.

Sur WordPress, utilisez ces plugins : « WP Super Cache » OU « W3 Total Cache », et « WP DB Reloaded Fix ». Les deux premiers mettent en cache les pages, tandis que le second s’occupe de « cacher » les requêtes vers la base de données.

D’autres actions plus techniques sont possibles…je vous fournis à la fin de cet article les références à l’origine de cette feuille de route. Vous y trouverez de nombreuses informations complémentaires pour optimiser un site web et des exemples pratiques à reproduire.

Optimiser le serveur n°2 : les images

Les images font partie des éléments qui ralentissent le plus votre site…alors qu’il est si simple de s’en prémunir. Outre les compressions manuelles que vous pouvez faire dans votre éditeur d’image (Photoshop ou autre), des outils peuvent aussi le faire pour vous.

Sur WordPress, on ne présente plus le plugin « WP smush-it » qui compressent à la fois les images uploadées, et aussi celles qui sont déjà présentes dans votre bibliothèque de médias. Smush-it propose également un logiciel dédicacé à la compression d’image.

Optimiser le serveur n°3 : configuration de WordPress

Voici la configuration à ajouter à votre fichier wp-config.php

  • Permet aux plugins de cache de fonctionner :
    define('WP_CACHE', true);
  • Diminue le nombre de révisions de chaque article conservées dans votre base de données à 2 :
    define('WP_POST_REVISIONS', 2);
  • Vide la corbeille tous les 3 jours (plutôt que toutes les deux semaines) :
    define('EMPTY_TRASH_DAYS', 3 );

Avec ces 3 premières tâches, l’optimisation de votre site devrait commencer à se ressentir : repassez les tests de vitesse pour vous en convaincre. Le gain n’est pas énorme, mais aux regards de l’effort fourni (installer des plugins, quelques « copié-collé ») c’est plus que satisfaisant.

Vous voulez de l’optimisation du tonnerre ? Vous n’allez pas être déçu!

2ème couche d’optimisation : un travail plus complexe et chronophage…mais quel gain!

Optimiser le thème du site n° 1 : les appels à la base de données

Que vous opériez sur WordPress ou une autre CMS, vous utilisez forcément une couche graphique pour personnaliser votre design. Chez WordPress on appelle ça « un thème » mais qu’importe son petit nom, son rôle est toujours le même : celui d’offrir une apparence spécifique tout en conservant le contenu. Conséquence ?

Votre thème passe son temps à interroger la base de données pour retrouver les informations à afficher : le titre du site, le slogan, le logo, la personnalisation CSS, les liens vers vos réseaux sociaux….et d’une manière générale, tout ce que vous configurez depuis le back-office de votre thème et depuis le menu « Réglages » de WordPress.

Or, une requête à la base de données est gourmande en ressources ! Votre but ?

Vous l’aurez compris: parcourir votre thème pour remplacer les appels par du texte « en dur ». Voici un exemple pour mieux comprendre:

Le code PHP echo bloginfo('url'); affiche l’url de votre site web : vous remplacez cette ligne par votre url, tout simplement!

Attention : une fois l’ensemble des requêtes modifiées, votre thème ne doit plus être mis à jour! Ou vous perdrez vos modifications. De même, n’utilisez plus les interfaces du back-office (par exemple pour changer le slogan), puisqu’elles ne sont plus reliées à votre thème : il va falloir prendre l’habitude de travailler directement dans vos fichiers.

Ces optimisations ne sont pas pour tout le monde, ceci dit, rien ne vous empêche de sous-traiter les parties trop complexes! ;)

Optimiser le thème du site n° 2 : les fichiers CSS et JavaScript

Idéalement, votre site ne doit avoir qu’UN fichier CSS et UN fichier JavaScript. Dans la réalité, c’est assez difficile à faire, voire même impossible avec certains thème premium.

Pour les autres, analysez tous les fichiers CSS d’une part, et JavaScript d’autre part, et regroupez-les. Eliminez les fichiers non-utilisés. Ensuite compressez les deux fichiers grâce à un outil en ligne comme par exemple http://www.refresh-sf.com/yui/.

D’autres optimisations existent mais si vous faîtes déjà ce que je viens de vous expliquer, vous gagnerez énormément sur le temps de chargement.

Optimiser le thème du site n° 2 : les plugins

C’est si simple de faire évoluer son site WordPress en installant un plugin qu’il n’est pas rare de voir des plugins faire le travail d’une seule ligne de code ! En voilà des ressources gâchées inutilement!

Vous avez la plugiboulimie ? Pas d’inquiétude, ça se soigne.

Tous les plugins ne sont pas faciles à remplacer. Voici les fonctionnalités que même le débutant peut installer à la main:

  • Le code de suivi de Google Analytics : la procédure se retrouve un peu partout sur la toile
  • Les statistiques de Google : remplacez-les par celles de Google Analytics
  • Passez les liens des commentateurs en dofollow : une ligne de code et c’est réglé !
  • Les liens vers vos réseaux sociaux : un lien est très facilement réalisable via votre wysiwyg ou à la main.
  • Détourner votre flux RSS par Feedburner : le hack à copier-coller se trouve un peu partout sur le net, ainsi que dans les ressources de cet article
  • Ajouter une police orginale à votre site web : la manipulation de votre CSS demande à peine 5 minutes et les tutos ne manquent pas .

Soyez curieux, renseignez-vous avant de vous jeter sur un plugin pour tout et n’importe quoi !

3ème couche d’optimisation : pour les utilisateurs avertis seulement !

Il nous reste une seule tâche pour propulser notre site à toute vitesse: installer un CDN ou « Content Delivery Network« .

Pour ne pas surcharger cet article déjà bien long, je me contenterai de vous en expliquer le principe. Comptez sur moi pour vous faire un retour plus détaillé ultérieurement…notamment après l’avoir implémenté sur Les Doigts dans le Net.

Prenons un exemple pour mieux comprendre le problème et sa solution : une page X est composée de 20 images, 6 fichiers JavaScript, 4 fichiers CSS et 5 zones de textes. Pour l’afficher, votre navigateur, qui demande chaque ressource indépendamment, doit donc réaliser 35 requêtes !

Or, votre navigateur est limité à 12 (nombre arbitraire) requêtes simultanées pour un même serveur. Comment peut-il alors afficher l’entièreté de la page ?

Il doit attendre que les 12 premières requêtes soient terminées avant de lancer les autres : pendant ce temps, votre internaute s’impatiente. La solution ?

En externalisant le CSS, JS et les images sur un 2ème serveur, vous aurez droit à 24 requêtes simultanées: 12 vers le serveur principal et 12 vers le 2ème serveur. Votre page s’affichera donc 2 fois plus vite! CQFD

Les sources

Cet article est une compilation et une ré-organisation de nombreux conseils trouvés sur SEO MIX, un blog dédié à WordPress et au référencement (même si à mon sens, il est orienté technique). Son auteur Daniel Roch ne cesse de me surprendre par la qualité de ces articles.

Optimiser un site est un travail de longue haleine qui est loin d’être inutile et vous apprendra beaucoup sur son fonctionnement. Allez-y doucement mais sûrement pour mener votre projet à son terme.

A vos claviers! Y’a plus qu’à…

Article invité rédigé par Marie-Eve Mouillard, du blog Les Doigts dans le Net.

Marie-Eve vous recommande SEOMix (cliquez)

juin
8
56

Du simple blog au BIG business, possible ou pas ?

Article invité rédigé par Vanessa du blog Blogging Passion, dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

La question de savoir si un simple blog peut être rentable ou pas fait déjà polémique chez certains !

Et là, je vais plus loin, je pose la problématique de devenir un GROS business en démarrant avec un simple blog. Possible ou pas ?

C’est à cette question que j’essayerais de répondre en tant que blogueuse débutante dans cet article, en espérant que ma démonstration sera convaincante, et éclairera votre opinion.

Nous verrons des histoires de blogs qui sont devenus énormes avec un blog, leurs points communs, et nous verrons que nous pouvons y arriver aussi !

blogging pasion

Des histoires bien réelles de simples blogs devenus de big business

D’après mes lectures et mes connaissances, il existe bien de grosses entreprises sur internet qui sont parties de simples blogs.

Je vais en citer trois, dont deux qui selon moi sont incontournables…

Apprendre la photo de L.Breillat, de petit à bonne référence …et ça continue

J’ai connu l’histoire de Laurent Breillat et de son blog Apprendre la photo avec le lancement de blogueur pro.

Laurent était un débutant en photo qui a su s’imposer dans sa catégorie en démarrant avec son blog.

Aujourd’hui, il comptabilise 150000 visiteurs par mois, un futur livre chez Eyrolles, un grand éditeur (vous connaissez surement), et un dernier lancement à 350000 euros, … et ça continu

Je crois qu’il n’y a rien d’autre à ajouter sur l’importance de son blog par rapport aux résultats obtenus !

Copyblogger : le blog aux plus de 100000 clients

Copyblogger est une entreprise qui vend des logiciels.

D’après une interview d’une des partenaires de copyblogger sur un blog très connu, Brian Clark a commencé ce blog avec l’intention d’augmenter son audience et ensuite comprendre ce qu’il pouvait en tirer en posant des questions et en tenant compte des avis.

Copyblogger aujourd’hui c’est : plus de 100000 clients, une entreprise multi-millionnaire, 20 employés.

Et j’ai bien compris que le contenu publié les aide beaucoup !

C’est une très belle réussite !

37 signals: la référence incontournable en matière de start-up

37 signals est une start-up web lancée en 1999 par D.Heinemeier Hansson et J. fried.

Elle édite le logiciel connu de gestion de projet (Basecamp), un gestionnaire de contacts et de gestion avec la clientèle (Highrise) et d’autres.

Plus de 3 millions de personnes dans le monde utilisent leurs produits. Et au moment où j’ai lu leur livre Rework en 2012, il y avait 16 personnes dans la start-up et ils avaient plus de 3 millions de clients.

À la page 52 de leur livre Rework (= réussir autrement), il y a un chapitre qui s’intitule « Il vous faut moins que vous ne le pensez ». Ils y expliquent comment ils se sont fait connaitre :   »… en racontant leurs expériences en ligne » sur un blog. Sans acheter de publicité.

C’est assez parlant non ?

Pensez-vous que ce soit des cas isolés ? Il y en a d’autres, et je crois qu’il y en aura encore !

Leurs points communs: de l’intérêt, des solutions, de l’innovation, et de la foi

Hormis le fait qu’il faut travailler, avoir un beau design, connaitre son produit, et les autres choses … J’ai noté 4 choses que ces entreprises, parties d’un simple blog ou dont le blog a été un élément majeur de leurs succès ont en commun.

Ce sont :

  • L’intérêt: des gens s’intéressent à ce qu’ils disent, ils arrivent à les captiver, à les intéresser. Ils ont un public (conquit), comme un artiste à ces fans qui apprécient son travail.
  • Des solutions: ils apportent des solutions aux problèmes des gens, ils règlent un problème. Et 37 signals disait que quand ils ont crée basecamp, leur logiciel de gestion de projet (qui était soit dit en passant pour eux même quand ils l’ont conçu), la réaction de leurs clients a été la suivante : « il nous le faut ! » Pouvons nous produire le même effet ?
  • Innover: il me semble que L.Breillat ne l’a pas encore fait. Mais copyblogger et 37 signals l’ont fait en mettant de la nouveauté dans leurs projets. De la nouveauté répondant à un problème bien sûr ! Nous différencions nous de manière assez innovante ?
  • Ils ont foi en leur projet: L .Breillat disait au lancement de blogueur pro : « je suis la preuve vivante que ce ne sont pas ceux qui apprennent à d’autres à gagner de l’argent avec un blog qui réussissent avec un blog. »

Et oui ! Il l’avait fait, il avait réussi, et pourtant à un moment il était comme nous, un blogueur qui débutait.

Croire en son projet, en ce que l’on fait est très important. Ainsi, il faut se projetter dans l’avenir et se demander, « mais à quoi pourra bien me mener ce projet, ce blog, et comment puis-je y arriver ? »

Vous êtes-vous déjà posé la question ? Vous avez donc un travail à faire, et moi à mieux y réfléchir !

Il y a même un cinquième point commun : ce sont des entreprises économes et rentables.

Le blog permet de faire ça, voilà comment. Vu que c’est sur internet, la plupart ont des produits dématérialisés, donc pas de stock ! Formation en vidéo, application en ligne, travail à la maison (pas de location de bureau) grâce à la magie d’internet, automatisation avec l’auto-répondeur, …, économie d’employés, des applications peuvent faire le travail, un blog ne coûte que moins de 30 euros par an et … la détermination de celui qui se lance.

Econome et rentable ! ça vous plait ? Moi oui (quand même) surtout en ces temps de crise.

« Rien » n’est impossible en business quand on a un simple blog

(sous réserve que l’économie ne s’écroule bien sûr)

Je pense que le blog est juste un support pour réussir, différent, inhabituel, mais juste un support quand même. Où est le problème ? Pourquoi ça gène ?

Le problème se trouve dans notre pensée, nos croyances, notre manque d’action.

Dans une formation à l’entreprenariat que j’ai suivi en ligne avec un blogueur, il expliquait que le bourdon à des ailes beaucoup trop petites pour pouvoir voler, et que selon les scientifiques, la proportion des ailes par rapport au poids du corps du bourdon démontre que cela est impossible.

Mais, le bourdon vole !

Quelqu’un a dit « ils ne savaient pas que c’étaient impossible alors ils l’ont fait ! » (Et le bourdon non plus !)

Alors pourquoi pas vous ? Pourquoi pas moi ? Même si on n’a pas autant de succès !

Gardons le simple, stupide, et lançons nous !

Que pensez-vous de cet article ? Avez-vous un autre point de vue et pourquoi ? Dites le moi dans les commentaires ci-dessous !

Article invité rédigé par Vanessa du blog Blogging Passion.

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