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9 étapes pour vendre TOUT SEUL votre bien immobilier en moins de 2 mois grâce au copywriting

Article invité rédigé par Yvon CAVELIER du blog Copywriting Pratique, dans le cadre de l’événement la valse des invités 2013.

Il y a quelques années, j’ai eu à vendre mon appartement.

En tant que copywriter, j’ai décidé de m’occuper de ça moi-même. Parce que les agences immobilières qui m’ont proposé de m’aider voulaient me prendre 6000 euros…

Résultat :

  • 57 visites en 45 jours,
  • 3 propositions d’achat
  • 1 vente ferme à 1000 euros de moins que le prix souhaité
  • 6000 euros de frais d’agence économisés
  • un coût global de 670 euros, tout compris (Adwords + nom de domaine)

Dans cet article, je vous explique pas à pas comment vous aussi, vous pouvez décider de vendre votre bien immobilier tout seul, sans forcément passer par une agence immobilière, et sans que cela vous coûte plus que nécessaire.

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Le principe d’une vente immobilière

Quand on vend un bien immobilier, il faut savoir que de nos jours, vous n’avez plus vraiment besoin de passer par une agence immobilière si vous êtes un peu débrouillard – et au courant de ce qu’il y a à faire pour vendre son bien.

En effet, Internet a révolutionné tout ça, et il est bien plus facile aujourd’hui de passer par un site du style du “bon coin” pour proposer son bien ou pour en chercher un nouveau.

Avant, les agences immobilières avaient l’exclusivité de ces opérations. Ce n’est plus le cas maintenant.

Votre notaire peut tout à fait établir un compromis de vente (sans vous faire payer). Et il est totalement habilité à s’occuper de toutes les démarches et formalités nécessaires à la vente de votre bien.

La cerise sur le gâteau, c’est que vous ne débourserez rien du tout pour ça : toutes ces prestations sont incluses dans les fameux “frais de notaire” obligatoires, qui sont payés par les acheteurs (et donc pas par vous).

Il semble donc totalement inutile aujourd’hui de s’adresser à une agence immobilière pour vendre sa maison ou son appartement, si on connait un rudiment de techniques de ventes et de promotion sur Internet.

Oui parce que l’atout principal d’une agence immobilière, c’est surtout qu’elle a tout un “panel” de clients prêts à sauter sur votre maison à la première occasion. Tout comme elle a des centaines de biens (dont la maison de vos rêves, bien sûr) qui vous attendent les bras ouverts.

En tout cas c’est ce que me disent les agences au téléphone quand elles viennent me demander de mettre mon bien chez elles.

Pas de bol pour elles, aujourd’hui, “le bon coin” fait aussi tout ça.

Et la demande est grandissante, car les vendeurs ont de moins en moins envie de payer 7% de frais d’agence, et les acheteurs savent très bien que les biens vendus par des particuliers sont moins chers que ceux vendus par des agences.

Et si le bon coin ne suffit pas (ça ne suffit pas souvent), alors vous avez aussi à votre disposition la méthode dont je vais vous parler ici.

Les différentes étapes de la méthode

Cette manière de procéder est le résultat d’une stratégie logique.

Elle m’est toute personnelle.

Je ne peux pas vous garantir que cela fonctionnera de la même manière avec vous, mais une chose est sûre, cela ne vous coûtera pas grand chose d’essayer. En tout cas, ça vous coûtera largement 10 fois moins que si vous passez par une agence.

Voici le plan d’action en 9 étapes à mettre en place pour la vente de votre bien immobilier :

  • Prendre des photos de votre bien sous toutes les coutures,
  • Faire un plan détaillé de votre bien (autant que d’étages)
  • Déposer un nom de domaine qui va comporter un truc du genre : achat-appartement-[nom de votre ville].com,
  • Réaliser une page de vente détaillée qui va présenter votre bien, avec un numéro de téléphone où on peut vous appeler,
  • Ouvrir un compte google Adwords, et déterminez un budget de 15 € par jour,
  • Rédiger des annonces qui présentent votre bien et qui vont diriger vers votre site web.
  • Faire apparaître ces annonces sur le réseau Adsense (elles apparaitront sur la grosse majorité des sites qui proposent des biens immobiliers à la vente. bien souvent sur toutes les pages.),
  • Faites visiter votre bien autant que nécessaire,
  • En cas de proposition, contactez votre notaire pour faire signer le compromis de vente. C’est lui qui s’occupe de tout ensuite après cette étape.

Voici pour support et exemple la page de vente que j’avais faite pour la vente de mon appartement.

Les étapes en détails

Voici les 9 étapes :

1. Prendre des photos de votre bien

Il s’agit ici d’en prendre un maximum. Je vous recommande d’en prendre si possible 4 par pièce (une à partir de chaque angle de la pièce si possible).

Préférez bien évidemment des prises de vues faites en pleine journée avec si possible du soleil partout. Le soleil et sa couleur jaune-orangée donne une impression de chaleur et de joie. C’est ce qui donne envie de venir visiter votre bien.

2. Réalisez un plan détaillé de votre bien

Pour cela, vous pouvez utiliser un simple logiciel de retouche du genre de gimp ou photofiltre. Le but est de réaliser un plan de toutes les pièces, avec si possible des dimensions et des surfaces exactes.

Comme ceci par exemple :

mnplanvz[8]

Pensez à la rose des vents pour l’exposition.

3. Déposer un nom de domaine

Votre nom de domaine sera de la forme :

  • achat-appartement-[votre ville].com si vous vendez un appartement
  • achat-maison-[votre ville].com si vous vendez une maison

Vous pouvez aussi déposer la même chose avec “vente” :

  • vente-appartement-[votre ville].com si vous vendez un appartement
  • vente-maison-[votre ville].com si vous vendez une maison

Par exemple, pour mon appartement, qui était à vizille, j’ai déposé 2 noms de domaines.

Le 1er : achat-appartement-vizille.com

Le 2ème : vente-appartement-vizille.com

Vous aurez compris l’intérêt d’une telle démarche :

Vous vous assurez comme cela d’attirer tous les gens qui cherchent un appartement ou une maison dans votre ville et ses environs quand ils taperont ces mots dans google.

Pour que ça fonctionne, il faut bien entendu que votre ville ait au moins 5000 habitants. mais qu’elle ne soit pas non plus trop grosse. Car les noms de domaine des grosses villes à ce sujet sont déjà pris.

4. Faire une page de vente de votre bien

C’est la plus grosse partie à faire.

La page de vente d’un bien immobilier ne se construit pas vraiment comme une page de vente classique. En effet, le but est de présenter votre bien, et de fournir tout un tas d’informations plus ou moins techniques.

Ce que vous devez comprendre, c’est qu’une page de vente de bien immobilier, c’est une sorte de visite virtuelle de votre bien.

Donc, vous devez tout dire.

A ce propos, il y a plusieurs écoles à ce niveau. Il y a celles et ceux qui disent qu’il ne faut pas trop en dire, et que les clients, comme ça, se rendront compte par eux mêmes quand ils viendront visiter.

Et il y a les autres, comme moi, qui disent tout l’inverse : plus on en dit sur la page de vente, et plus les clients qui viendront visiter votre maison ou votre appartement seront vraiment intéressés.

Ainsi, la visite virtuelle réalisée grâce à votre page de vente va permettre de filtrer les curieux et de n’amener chez vous que les clients vraiment intéressés.

Voici ce que devrait contenir votre page de vente :

a) L’accroche

Il s’agit du titre de votre “annonce”. elle devrait reprendre ces 8 éléments :

  • “a vendre :”
  • [un bien] (appartement ou maison)
  • de [nombre de pièces] pièces
  • au [étage ou rez-de-chaussée si c’st un appartement]
  • de [surface] m²,
  • à [votre ville],
  • [son plus gros avantage]
  • à [votre prix] €.

Ce qui donne par exemple :

A vendre : appartement de 4 pièces – 44 m²
à Vizille entièrement refait à neuf
109.000 €

Juste au dessous, vous mettez la meilleure photo que vous avez parmi celles que vous avez prises.

b) Présentation globale du bien

Ici, vous allez mettre les informations globales sur votre bien :

  • Nombre de pièces détaillées,
  • Situation géographique
  • Plan détaillé des pièces
  • Orientation

C’est généralement ce que l’on met dans une annonce sur le bon coin ou sur les sites du même genre.

Arrive juste après un cadre qui donne des infos sur la manière de prendre rendez-vous avec vous :

c) Infos sur la prise de rendez-vous pour la vraie visite (bloc action)

Il s’agit du bouton “action” que l’on trouve dans une page de vente classique.

Idéalement, cette zone devrait être d’une couleur différente du reste de la page (jaune ou orange un peu flash).

Elle devrait comporter :

  • Votre prénom
  • Votre adresse email
  • Votre numéro de téléphone
  • Une disponibilité d’appel
  • Une phrase qui pousse à l’action

Pour ce dernier élément, ce serait une phrase du genre : appelez-moi au… entre x et y heures.

d) Détail de chacune des pièces

A compter de ce point, vous proposez ensuite au lecteur de visiter virtuellement votre bien, en détaillant pour chacune des pièces les éléments suivants :

  • Le nom de la pièce (chambre n°1, cuisine, salon, sanitaire, etc…)
  • Quelques photos
  • Une phrase qui la décrit au mieux avec la surface, les dimensions, les avantages principaux, etc.
  • Une zone “vous aimerez aussi”, qui va détailler un ou deux avantages “palpables” de cette pièce.

Il peut s’agir de sensations, de design, de la manière dont on s’y sent, de ce qu’on y entend, de ce qu’on y fait, sa luminosité, sa sérénité, etc.

Pensez sensations : odeurs, matières, sons, visuel, auditif

Après chaque description, il faut rajouter le bloc action que nous avons vu au 3. ci-dessus.

Rappel : Détaillez tous les éléments de votre bien. même les sanitaires, l’entrée, l’éventuelle terrasse, la cave s’il y en a une, les placards s’ils sont spacieux… tout doit y être.

e) Informations techniques

Ce bloc est très important. Il correspond à ce que les personnes demandent en général. Autant tout leur dire tout de suite, vous gagnerez du temps.

Nommez-le de manière explicite. Par exemple :

D’un point de vue pratique :

Là, vous allez détailler ces différents points (vous pouvez en occulter certains bien sûr) :

  • Charges annuelles diverses de fonctionnement (syndic, eau, électricité, assurances, taxes habitation et foncières, etc…)
  • Type de chauffage
  • Etat des différents diagnostics (électricité, plomb, termites, énergie, amiante, etc.)
  • Accès Internet
  • Accès aux lieux pratiques depuis la maison ou l’appartement (hypermarchés, écoles, parcs, stations de ski, mer, boulangerie, commerces divers, restaurants, poste, banques, etc.)
  • Les transports pour arriver chez vous (bus, train, route, autoroute, etc.)
  • Un plan d’accès

Les gens apprécient bien ce genre de détails (beaucoup me l’ont fait remarquer).

f) Plus de photos à télécharger

Les gens aiment bien les photos. Ca les aide à se projeter à l’intérieur de votre maison ou de votre appartement.

Donc vous pouvez, tout à la fin de votre page de vente, proposer aux gens de recevoir de nouvelles photos par mail. Il vous suffit de leur demander leur adresse mail avec un simple formulaire.

Ce qui, vous l’aurez compris, vous permettra de les recontacter ultérieurement pour prendre des nouvelles de leur recherche.

Personnellement, je ne fais pas ça, et j’offre la possibilité de télécharger directement le zip des photos directement sur la page, mais sachez que c’est possible.

Voilà…

Votre page de vente est réalisée, vous n’avez plus qu’à la mettre sur votre nouveau nom de domaine.

5. Ouvrir un compte Adwords

C’est ce qui va vous permettre, dans un premier temps, de vous faire connaître un peu partout sur la toile.

Pour cela, il faut bien entendu que vous ayez un compte google.

Si c’est déjà le cas, rendez-vous ici : https://Adwords.google.com

Créez un nouveau compte. Transférez des fonds sur votre compte (commencez avec 200 euros)

Puis créez une nouvelle campagne que vous allez appeler “appart” ou “maison” ou comme vous le voulez. Prévoyez environ 15 € de dépenses par jour.

Et prévoyez également un filtre géographique afin de faire apparaître votre annonce uniquement dans votre région (Rhône-Alpes pour moi à l’époque).

J’avais commencé par faire apparaître l’annonce directement sur le moteur de recherche (pour apparaître dans le premier bloc tout au dessus des résultats de recherche), mais c’est un gouffre financier, aussi ai-je arrêté de le faire très vite (après que mes 15 euros aient été engloutis en environ 30 minutes).

Je vous recommande donc de :

6. Faire apparaître vos annonces sur le réseau Adsense

Ce sont les blocs d’annonces qui apparaissent sur beaucoup de sites web et de blogs qui traitent d’immobilier.

C’est notamment le cas du bon coin, où vous êtes obligé de payer chaque semaine pour rester en première page des recherches si vous avez votre annonce chez eux.

Quand vous êtes sur Adsense, vous apparaissez partout, sur une majorité de sites et en meilleure place.

Il faudra donc que votre annonce soit assez attirante pour que les gens cliquent dessus.

Et à ce propos…

7. Rédiger vos annonces

Le but est bien évidemment de tester un certain nombre d’annonces pour voir lesquelles font le plus cliquer.

En ce qui me concerne, j’avais créé 7 types d’annonces, et j’avais donc créé en tout 42 annonces qui ont obtenu de 0 à 179 clics (comme quoi les moindres variations de texte de vos annonces peuvent changer la donne du tout au tout).

Voici les 4 annonces qui m’ont rapporté le plus de clics :

Adsense-recap_thumb[3]

Et celles qui ont obtenu un ctr le plus élevé (pour Adsense) :

Adsense-recap-02_thumb[4]

Vous pouvez en tirer les conclusions que vous voulez pour réaliser les vôtres, en vous basant sur ces 7 annonces.

J’avais aussi essayé de mettre un numéro de téléphone directement sur l’annonce, mais le souci, c’est que vous avez une somme incroyable de coups de fil de personnes qui veulent juste des renseignements de base, qu’ils auraient retrouvés sur la page de vente.

Donc je l’ai enlevé, et mes journées sont redevenues bien calmes.

Au total, voici ce que cette campagne a produit grâce à Adsense :

Adsense-recap-03_thumb[2]

1075 personnes ont cliqué sur mes annonces (42 en tout), et 57 personnes sont venues visiter mon appartement (soit un taux de conversion final de 5,3 %).

Cela m’a donc coûté 648,29 euros + 15 euros de dépôt de nom de domaine.

J’ai eu au final 3 propositions d’achat consécutivement à ces visites, dont l’acheteur qui m’a proposé une vente ferme à 108.000 euros.

Le travail de copywriter s’arrête ici.

Les deux dernières étapes de cette méthode sont donc les deux étapes logiques qui suivent tout votre travail en amont.

8. Faites visiter votre appartement ou votre maison

Les gens ont cliqué sur vos annonces, certains vous ont appelé, et parmi ceux-là, 95 % ont voulu venir visiter votre bien (oui, si tous ceux qui cliquent sur votre annonce n’ont pas forcément envie de venir visiter, plus de 9 personnes qui vous appellent sur 10 veulent venir vous voir).

Avec tout ce que vous avez déjà dit sur votre page de vente, les questions que vous recevez des visiteurs sont toujours liées à du fonctionnement “habituel”. Le bruit, les voisins, l’ambiance générale du quartier, de la ville, la facilité à se garer, etc…

Certaines choses ne peuvent pas être retranscrites sur une page de vente, tout comme avec la parole. Il s’ensuit d’une règle toute simple quand vous faites visiter votre bien :

Taisez-vous !

Ne répondez qu’aux questions qu’on vous pose, en étant le plus direct et le plus concis possible.

Préférez toujours être placé derriere vos visiteurs, afin que ce soit eux qui décident où ils veulent aller.

Indiquez-leurs les différentes pièces, mais restez si possible derrière eux.

Si vos photos ont été assez explicites et assez nombreuses, ils vont reconnaître eux-même toutes les pièces. certains en feront un jeu de mémoire.

9. En cas de proposition, contactez votre notaire

Peu de gens vous feront une proposition tout de suite après la visite. En général, ils rappellent, et vous demande de négocier le prix.

Une fois que vous vous êtes entendu avec vos futurs acheteurs, il est temps d’appeler votre notaire et de prendre rendez-vous avec lui pour la signature du compromis de vente.

Il vous expliquera tout ce que vous aurez à faire à compter de maintenant. Donc, pas de souci ni de crainte à propos du fait d‘oublier certaines choses capitales, le notaire vous rappelle tout. Et il s’occupe de tout.

D’autres moyens de vendre

Il existe d’autres manières “personnelles” de vendre votre bien immobilier tout seul.

Le bon coin

Vous pouvez déposer une annonce sur le bon coin. Et la détailler aussi bien que sur la page de vente.

Je vous recommande de payer les 2 euros supplémentaires pour mettre 10 photos en tout. Ou alors dans la description, indiquez que vous fournissez plus de photos par mail.

Vous ne pourrez pas mettre de lien direct vers la page de vente que vous avez faites (j’ai essayé, j’ai été refoulé).

Indiquez donc votre email et donnez ce lien aux gens qui vous contacteront.

Une pancarte sur la fenêtre de votre appart ou de votre maison

Hé oui !

Si votre pancarte contient la même chose que l’accroche que nous avons vu ci-dessus, avec un numéro de téléphone assez gros, alors vous aurez des appels.

Idem pour la technique d’après :

Une affiche à votre boulot

Il y a toujours un tableau d’affichage présent pour ça dans les grosses boites. Utilisez-le !

Sur votre affiche (format a4 si possible) indiquez :

  • L’accroche vue ci-dessus,
  • 2 photos maxi,
  • La présentation globale de votre bien
  • Un lien vers la page de vente (du genre : plus de photos sur ……)
  • Votre numéro de téléphone sur des bandes de papier détachables et prédécoupées

Pensez impérativement à rendre ces bandes détachables facilement sinon, le premier qui sera intéressé arrachera votre affiche.

Des flyers ou des affiches dans les commerces près de chez vous

Pour ce format, soyez plus concis. et faites donc comme pour la pancarte vue ci-dessus. Rajoutez bien évidemment le nom du site web qui héberge votre page de vente.

Si vous comptez mettre des mini affiches, alors mettez la même chose, avec là ausi des bandes détachables prédécoupées.

Allez voir vos voisins directs

Ca, c’est un truc que je vous donne qui a été inspiré par ce qui se pratique dans les agences immobilières des stations de ski.

Quand elles ont un appartement à vendre, elles appellent toujours les voisins directs qui touchent l’appartement (à droite, à gauche, dessus et dessous).

Pourquoi ?

Parce que certains propriétaires peuvent décider d’acheter un bien juste à côté du leur pour agrandir celui qu’ils ont déjà. Ou créer un duplex en rajoutant un escalier entre les deux. Ou creuser une porte entre deux appartements voisins.

Donc le mieux c’est de les contacter directement si vous le pouvez, et le mieux est d’aller les rencontrer en face à face pour leur expliquer. Ca arrive plus souvent qu’on le croit.

Profitez-en également donc pour mettre une affiche dans votre immeuble, au cas où certains locataires auraient envie d’acheter là où ils vivent déjà, ou au cas où certains propriétaires voudraient se rapprocher du rdc par exemple.

Bref, pensez à vos voisins.

Pour conclure et aller plus loin

Oui, cet article s’allonge, et il serait temps de conclure.

Comme vous le voyez, les manières de vendre votre bien immobilier tout seul sont légion. On a l’impression que c’est une montagne de formalités ou de trucs à faire pour ça, et pourtant, quand on analyse le tout, c’est bien moins compliqué qu’il n’y parait.

Alors forcément, cela vous prendra du temps. Pas mal de temps même, si vous faites les choses comme il faut.

Mais rappelez-vous que cela vous coutera aussi largement 10 fois moins cher que de faire appel à une agence immobilière.

C’est donc une question de choix.

Et si vous souhaitez aller plus loin, je vous propose de télécharger un fichier zip que j’ai créé pour l’occasion, dans lequel vous trouverez :

  • Une copie de cet article au format pdf
  • Le détail des 42 annonces que j’ai créées et testées ainsi que leur résultat sur Adsense
  • Un modèle de page de vente vierge à utiliser pour la vente de votre bien immobilier, basé sur celle que j’utilise pour vendre les miens.

Pour le télécharger, indiquez le mot “virtuose” dans la case de formulaire qui se trouve au bout de ce lien, et cliquez ici.

Et bien entendu, si vous avez des questions, je reste à votre disposition dans les commentaires ci-dessous.

Article invité rédigé par Yvon CAVELIER, du blog Copywriting Pratique, sur lequel il s’efforce chaque jour – ou presque – de vous apprendre la manière d’écrire facilement des textes qui font agir. Pour vos blogs, vos sites, vos annonces, vos pages de vente… pour tout…

Yvon vous recommande le blog Univoix.fr

juin
18
12

Petite leçon de copywriting vocal à l’usage des marketeurs futés

AuthorCédric Vimeux    CategoryCopywriting     Tags,

Article invité rédigé par Claire L. du blog Univoix, dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Dans le cadre de la vente, il existe diverses manières de communiquer : en face à face, par téléphone, par écrit, en vidéo…

On utilise d’ailleurs de plus en plus la vidéo sur le net car cela permet de créer une certaine proximité avec son prospect et c’est un bon compromis au face à face (qui réclame un investissement temps et une énergie considérable).

Encore faut-il maitriser les techniques de ce genre de communication qui ne pardonne pas et peut totalement vous décrédibiliser si vous n’êtes pas à l’aise à l’oral.

Alors pourquoi et comment utiliser votre voix pour vendre ?

L’art de la parole, et à fortiori de la parole pour vendre, est un art qui s’apprend, se travaille et se développe.

Parce que si vous n’êtes pas un minimum crédible à l’oral, mieux vaut vous concentrer sur l’écrit.

Pourquoi utiliser votre voix pour vendre ?

Voici les trois principales raisons :

1. Tout d’abord, elle vous permet d’être plus clair, plus compréhensible et plus direct dans votre message.

En effet, votre voix transmet non seulement vos mots, mais aussi une intention derrière vos mots.

Prenons un exemple : les mots « oui c’est bon » peuvent véhiculer un message totalement différent selon qu’ils sont prononcés avec joie (= ok ça me va), plaisir (= continue ) ou agacement (= ça va, laisse moi tranquille )…

C’est donc votre intonation et vos expressions qui vont permettre de faire sens.

Et c’est un avantage considérable sur l’écrit, car pour transmettre un message sans ambiguité à l’écrit, il est nécessaire d’ajouter du contenu, de faire parfois de longues explications afin d’être sûr d’être bien compris. Tandis que ce long discours peut bien souvent être remplacé par une simple intonation à l’oral.

Utiliser votre voix vous permet donc aussi d’être plus concis.

Aujourd’hui, les internautes sont énormément sollicités, et croulent sous des quantités de pubs et d’infos en tout genre… Conséquence de cette prolifération de contenu : ils zappent facilement.

Aller à l’essentiel tout de suite est donc un atout considérable dans la vente.

2. Ensuite, elle augmente votre « capital sympathie ».

En effet votre voix peut vous rendre beaucoup plus charismatique et vous permettre ainsi de mieux promouvoir vos produits. Et cela, parce qu’elle apporte une dimension plus large à votre communication.

Car au delà de l’intention qu’elle transmet à travers vos mots, elle révèle aussi qui vous êtes et votre état : calme, agité, autoritaire, souple, sympathique etc…

En ce sens, elle vous rend palpable, humain, vivant. Et elle crée ainsi plus de proximité avec votre client.

De plus, elle influence aussi l’état de ce dernier. Il y a des voix qui envoutent, des voix qui touchent, des voix qui agacent, qui endorment…

Votre voix transmet donc non seulement un message, mais aussi un état et une émotion.

Or l’émotion est aujourd’hui au coeur même de l’acte d’achat. On voit de plus en plus se développer de nouvelles stratégies de marketing émotionnel. Car même si un choix semble rationnel, il est avant tout motivé par une émotion ressentie.

En résumé : on achète d’abord avec le coeur puis on trouve ensuite des raisons logiques pour justifier son achat.

Et par votre voix, vous avez donc le pouvoir de créer tout un univers émotionnel autour de vos arguments, propice à la vente.

3. Enfin, elle rassure et témoigne de votre »engagement ».

Utiliser votre voix pour vendre peut inspirer davantage confiance parce qu’elle montre que votre présence est bien réelle. Ce n’est pas juste un nom en bas d’une page de vente. Non, c’est vous, une vraie personne qui peut entendre, comprendre, répondre aux doutes ou aux questions.

Utiliser votre voix, c’est donc montrer que vous êtes existant, concret et par conséquent, présent.

Vous pouvez témoigner ainsi directement de votre engagement.

Et c’est extrêmement rassurant car le prospect a affaire à un être humain bien réel, tangible. Et sur Internet par exemple, tout ce qui peut montrer que vous n’êtes pas « fake » ou une arnaque de plus est un atout.

Alors faites entendre qu’il y a un coeur qui bat dans cet univers virtuel. ;)

La vidéo en ce sens est un outil extraordinaire pour vendre.

Alors comment utiliser votre voix pour vendre ?

Cela peut se résumer en 3 mots : Soignez votre S C I

En effet, lorsqu’on veut faire une présentation pour vendre, il est important, dans votre communication, de soigner ces trois aspects :

  • S pour Sympathie : C’est à dire votre capacité à vous faire apprécier par l’autre et à véhiculer une image positive et avenante.
  • C pour Crédibilité : Vous ne vendrez pas si vous n’inspirez pas confiance, ou si vous n’avez pas l’air de savoir de quoi vous parlez.
  • I pour Influence

C’est votre capacité à convaincre et à engager votre client à agir. Car à un moment donné de votre échange, il va falloir vendre.

Voici donc quelques astuces pour grandement améliorer ces trois points afin d’emporter la vente.

Développer votre capital sympathie

Tout d’abord souriez, ponctuellement et sincèrement. Cela donnera un timbre plus chaud et plus avenant à votre voix, et votre visage sera beaucoup plus engageant.

Cela peut sembler évident, mais beaucoup, dans le feu de l’action, et parce qu’ils sont concentrés sur leur contenu, oublient de sourire, ou à l’inverse, en font trop. Le sourire béat, systématique et exagéré, sonne faux, d’une part, et de l’autre, peut vous faire passer pour un débile léger.

N’en faites pas des tonnes mais soyez naturels.

Rappelez-vous aussi que ce qui peut vous rendre sympa n’est pas forcément d’être en tout point parfait, mais de sembler humain et proche de vos clients.

Il vaut mieux placer quelques « heu » mais parler avec naturel comme si on s’adressait à un ami, plutôt que de lire des phrases bien construites de manière froide et impersonnelle. Lire un prompteur de manière mécanique et figée n’a jamais fait vibrer les foules, encore moins le prospect.

Aussi contentez-vous d’avoir un plan et juste quelques lignes pour démarrer si vous n’êtes pas très à l’aise avec un prompteur. Le prompteur est idéal si on ne se rend pas compte que vous lisez, mais très peu de personnes peuvent donner le change.

Enfin, n’oubliez pas que votre voix donne une image de vous. Ainsi une voix avec un faible volume peut donner l’impression d’une personne timide, tout comme une voix trop forte peut agresser ou renvoyer une image autoritaire. (Si vous le souhaitez, vous trouverez plus d’infos par ici sur ce que votre voix communique.)

Donc demandez-vous : quelle image souhaitez-vous transmettre ?

Car votre manière de parler va aussi, par extension, servir ou desservir l’identité même de votre produit.

Un produit destiné à une clientèle jeune par exemple, sera davantage servi par une voix et un langage dynamiques par exemple. Donc, ciblez vos prospects et adaptez votre ton et votre vocabulaire à votre public.

Être sympa, c’est aussi avoir le comportement social adapté à un public donné : ce qui est sympa pour un type de personnes et une génération ne l’est pas nécessairement pour d’autres.

Asseoir votre crédibilité

Être crédible c’est être congruent. C’est à dire que votre voix et votre attitude doivent aller dans le même sens, le sens de ce que vous êtes en train de dire et de ce que vous souhaitez transmettre.

Une voix haut perchée en situation d’autorité n’est pas des plus crédible, de même qu’une personne qui semble s’étouffer à chaque mot prononcé donne l’impression de ne pas vraiment croire à ce qu’elle raconte.

Pour être crédible, il faut donc que votre voix soit affirmée. Ce qui sous-entend, posée et bien placée.

Sur un plan plus technique cela se traduit par une bonne respiration, c’est à dire une respiration basse et abdominale, mais aussi un bon alignement. Votre dos doit être droit, vos épaules basses et détendues.

En effet, votre voix ne se limite pas seulement à votre gorge mais dépend de votre corps tout entier. (C’est pas moins de 300 muscles qui interviennent dans la phonation.)

Ensuite, il est important de projeter votre voix devant vous (donc ne serrez pas les dents ou la mâchoire) et veillez à soutenir votre voix jusqu’à la fin de votre phrase. Il n’y a rien de pire qu’une voix qui s’affaisse, voire devient incompréhensible par moment.

Pensez donc à bien gérer vos respirations pour ne pas vous retrouver sans air en fin de phrase.

Enfin soyez clair, dans vos propos comme dans votre diction. On doit pouvoir vous comprendre facilement et sans efforts. Si votre articulation n’est pas parfaite, n’hésitez pas à faire quelques exercices de diction, il en existe de nombreux.

Ce travail technique de respiration, de positionnement, de soutien ou encore de diction doit être réalisé en amont de votre présentation.

Le jour J, concentrez-vous sur votre contenu et soyez convaincu, et si possible habité par ce que vous dites. (Oui bon pas facile quand on vend des brosses à dents, mais être un bon vendeur c’est aussi pouvoir vendre du cassoulet à un végétarien, un tutu à Zidane, ou des tongs aux esquimaux… Bref croyez en votre produit.)

Augmenter votre pouvoir d’influence

Enfin, par votre voix, vous agissez sur l’état de votre interlocuteur. Que vous le vouliez ou non, vous avez une influence. Vous transmettez des émotions, des réactions… Encore faut-il en avoir conscience et utiliser cela à votre avantage.

En effet, à travers votre voix vous ne vous adressez pas seulement à l’intellect de votre interlocuteur mais vous agissez aussi sur l’affectif et sur le corps, par un mécanisme bien connu en PNL : la synchronisation.

Essayez. Commencez à chuchoter dans une conversation et vous constaterez que la personne en face de vous baissera instantanément le volume. De la même manière, parler lentement a tendance à faire ralentir les battements cardiaques de ceux qui vous écoutent… vous pouvez donc les calmer, voire les endormir.

Aussi avant de parler pour vendre, demandez-vous ce que vous souhaitez vraiment obtenir : Énergiser votre client pour le pousser à agir ? L’apaiser et le mettre en confiance ?

Le tempo de votre débit ne sera pas le même dans les deux cas. À vous de l’adapter.

Savoir maitriser votre voix et l’utiliser pour influencer est donc un pouvoir immense, que vous pouvez tout à fait utiliser.

Comment ? Tout simplement en appliquant les techniques du copywriting à la voix.

Vous pouvez ainsi tout à fait suivre le plan habituel d’une lettre de vente par exemple, mais en adaptant votre voix (diction, intonations, volume, placement etc…) à chacune des parties, selon l’état dans lequel vous voulez plonger votre prospect et selon le but que vous poursuivez.

Prenons en exemple la formule des 4 P de Henry Hoke :

Peindre – Promettre – Prouver – Pousser

Dans la partie Peindre par exemple, vous pourrez ralentir votre débit, marquer des temps d’arrêt pour créer du mystère, utiliser les astuces des conteurs et faire varier votre voix afin de la rendre plus chantante.

Dans la partie Promettre, vous pouvez augmenter légèrement le volume, et faire varier la rythmique de votre débit afin de manifester votre enthousiasme. Soyez habité.

Ensuite, dans la partie Prouver vous pourrez être plus neutre, avoir une voix affirmée et posée, éviter trop de relief vocal et avoir presque un ton journalistique propre à l’information.

Tandis que dans la partie Pousser, il faudra être beaucoup plus dynamique et accélérer le tempo, afin de créer chez votre prospect un état plus actif propre à le faire acheter.

Ainsi pour chacune de ces parties, il suffit d’adapter votre vitesse d’élocution, votre volume sonore, vos intonations en fonction du but poursuivi.

En conclusion

Votre voix est donc un atout considérable dans la vente. Mais elle peut aussi vous décrédibiliser et vous desservir. Alors avant de vous lancer dans la vidéo ou dans tout autre support du même genre parce que c’est « à la mode« , pensez à ce que votre voix véhicule, comment vous pouvez l’améliorer et comment vous pouvez en faire un véritable atout.

À vous de jouer.

Article invité rédigé par Claire L. du blog Univoix.fr, un blog pour améliorer votre voix et votre communication afin d’être plus et mieux écouté.

Claire vous recommande CopyPratik

juin
17
30

Si vous ne savez pas le faire… COPIEZ! Comme disent les chinois

Article invité rédigé par Marjorie MOULINEUF du blog Aller Bien, dans le cadre de La Valse des Invités 2013.

C’est un talent de copier dès l’instant qu’on y met de l’attention et de l’intention.

On peut copier comme à l’école, en répétant bêtement les mêmes fautes, et c’est le zéro assuré ou bien ne rien comprendre de ce que l’on écrit.

On peut juste jeter un œil pour s’inspirer et s’acharner à faire le cheminement tout seul avec son expérience et sa mémoire. On galère, on se coupe d’un héritage mais c’est faisable.

Ou bien, on peut copier, prendre le meilleur de l’autre, en ajoutant sa propre plus-value.

D’un seul coup, la copie devient beaucoup plus élégante, car on la nomme…

modélisation, programmation neurolinguistique, marjorie moulineuf

MODELISATION !

La Modélisation

Tout le monde le fait spontanément dans la vie et c’est la source de nos apprentissages et de l’empathie. On imite (autre façon élégante de parler de copie) grâce à nos neurones miroirs.

Fabuleux petits neurones qui nous permettent d’exécuter les mêmes actions, d’appréhender nos relations sociales pour savoir comment se comporter.

C’est naturel d’imiter et c’est un processus d’évolution. Sinon il faudrait tout reprendre à zéro à chaque fois et faire une croix sur l’héritage longuement et chèrement acquis de l’humanité.

On ne réinvente pas chaque pensée, chaque acte, chaque comportement, chaque intention… On copie !

Savez-vous que notre cerveau héberge des mèmes ?

C’est quoi des mèmes ?

Ce sont des petites unités d’infos, des réplicateurs qui n’ont de cesse de se répliquer. À l’instar des gènes.

Ces mèmes favorisent la circulation et la rationalisation du savoir faire et de l’information. Les gènes sont à la Vie ce que les mèmes sont à la Conscience. Un facteur d’évolution.

Si vous souhaitez vous ouvrir à une vision intégrale du monde et à cette nouvelle discipline la mémétique, je vous suggère l’excellent blog : Le Journal Intégral d’Olivier Breteau.

Vu sous un angle évolutionniste, la copie devient un facteur de progrès.

Je vous donne un exemple :

Je viens juste d’exporter mon blog de la plateforme Blogger à WordPress.

Je n’y connais absolument rien et pour tout dire, je n’aime pas du tout la partie technique.Il fallait que je trouve un template parmi des milliers de disponibles, des plugins adéquats, sans y passer trop de temps.

Je n’avais pas envie de me torturer l’esprit et de réinventer l’eau chaude, alors j’ai fait ce qui marche.

Regardez mon blog et celui de Cédric, l’expression « effet miroir » prend tout son sens !

Merci au site What wordpress theme is that qui m’a bien facilité la tâche.

Vous voyez ?

J’ai modélisé Cédric

En modélisant Cédric, je me suis épargné des dizaines d’heures de recherches et de tutoriels, des migraines, des heures de doutes et de tergiversation. J’ai gagné en confiance et en productivité.

D’après vous, est-ce un progrès pour moi, une évolution de mes connaissances ?

Sans aucun doute : oui !

Maintenant, je suis capable de changer pour n’importe quel template et installer n’importe quel plugin sans me prendre la tête.

En modélisant, j’ai appris comment faire en toute simplicité.

Désormais, je suis capable de le répliquer avec des améliorations. À l’infini.

La modélisation en PNL, c’est l’art de reproduire ce qui marche, l’excellence ( c’est rare que l’on perde son temps à imiter des trucs pourris), mais on ne copie pas bêtement.

Comment réussir sa modélisation

Il faut déterminer les condition du succès :

  • Pourquoi et comment cela marche pour l’autre ?
  • Qu’est ce qui fait la différence ?
  • Quelles sont les valeurs à modéliser ?
  • Quels comportements à adopter pour obtenir le même résultat ?
  • Quelles sont les qualités requises ?
  • Quelle est l’intention ?

Je me suis posé toutes ces questions avant de choisir le blog de Cédric. Des blogs de développement personnel, il y en a un paquet et pourtant, aucun ne faisait écho dans mon cerveau.

La modélisation, c’est l’apport de connaissances, de comportements, de convictions plus ou moins en adéquation avec les siennes afin d’obtenir un résultat supérieur à ce chacun aurait pu obtenir individuellement.

Vous voyez, nous sommes loin des intentions de la vulgaire copie ou de la contre-façon.

L’intention de la modélisation

L’intention de la modélisation, c’est d’ajouter. D’apporter de la plus-value technique, émotionnelle et comportementale. D’ajouter mais toujours dans la coopération, c’est à dire toujours en faveur et jamais au détriment.

Contrairement à la copie pure et simple, il n’y pas de concurrence dans la modélisation.

Le but n’est pas de gagner, mais de profiter d’un savoir faire et de le rationaliser. Comme le font les gènes en se mêlant les uns aux autres. Comme le font les mèmes en générant des cultures et des systèmes de pensées.

En quelques mots : faire avancer le « schmilblick »

En résumé

La modélisation sert à améliorer nos acquis et notre sensibilité en se servant des acquis et de la sensibilité des autres, sans passer par l’expérience personnelle, mais par l’imitation, l’analyse et l’étude des réussites.

Une fois les compétences acquises, elles deviennent votre expérience personnelle qui sera répliquer à son tour, toujours en ajoutant de la plus-value. Il y a un supplément d’âme dans la modélisation qui n’existe pas dans la copie pure.

Les gens qui modélisent sont souvent très intelligents ou PNListes (car c’est l’essence de la PNL) ou très judicieusement fainéants.

Alors la prochaine fois que vous serez tentés de copier ou plutôt de modéliser parce que vous ne savez pas le faire, dites-vous que vous êtes évolutionnistes et évolutionnaires.

Vous avez la capacité de synthétiser, de condenser et reproduire l’expérience, la créativité et la sensibilité des autres en apportant votre propre histoire.

Et si vous êtes copiés, estimez-vous heureux ! C’est la rançon du succès et de la reconnaissance.

Si vous êtes modélisés, c’est que vous proposez un facteur d’évolution.

Article invité rédigé par Marjorie MOULINEUF du blog Aller Bien, dans le cadre de La Valse des Invités 2013.

Marjorie vous recommande Le Journal Intégral

juin
16
30

Pourquoi je n’apprécie pas Cédric Vimeux et son blog Virtuose Marketing

AuthorCédric Vimeux    CategoryBlog     Tags, , ,

Article invité rédigé par Yann LEGROS du blog Crée ton Site, dans le cadre de la Valse des Invités 2013.

Cela fait déjà un moment que je suis Cédric sur internet. Plusieurs années déjà.

J’ai commencé avec son site Autonomie-Financiere.com, sur lequel il nous distribuait des informations de bonne qualité.

C’était un genre nouveau pour moi. Comment gagner de l’argent sur internet… Comment être autonome financièrement… Etc.

Passionné par l’informatique, je me suis dit qu’il y avait une place pour moi dans ce domaine. Alors j’ai commencé à suivre les conseils de Cédric.

Commencé à vouloir en savoir plus. A être en demande d’informations.

Et puis, il y a eu le choc Webmarketing Junkie, avec Jean Rivière. Un style nouveau. Et surtout son fameux modèle d’un article par jour.

C’est là que Cédric a commencé à laisser germer une idée. L’idée qu’Yvon Cavelier avait plantée quelque temps plus tôt. Inspiré par Jean, il a décidé de créer Virtuose Marketing. Sur la base d’un article par jour!

Alors, c’est plutôt flatteur pour son ego, mais qu’en pensent vraiment ses lecteurs?

yann legros, cédric vimeux, fan

Nul !

Virtuose Marketing est né et ma vision des choses à changé

Pour ma part, ça a été un deuxième choc pour moi. Le premier étant venu de Jean également.

Et puis maintenant Cédric qui s’y met. Puis Yvon, et bien d’autres… Mais qu’est ce qu’ils ont tous à vouloir publier quotidiennement ? OK leur trafic va augmenter. OK leur e-réputation n’en sera que meilleure. OK ils vont pouvoir partager des idées. OK ils vont aider les gens. OK ils vont gagner de l’argent…

Et les articles ont commencé à être publiés quotidiennement sur le thème du marketing. D’une qualité exceptionnelle. Un virtuose n’aurait pas su mieux faire. Seul problème, il y a de la lecture quotidienne. Mais mieux (ou pire) que de la lecture. Il y a aussi de la mise en pratique.

Ce dont Cédric ne se rend pas compte c‘est que son article nous prend 10 minutes à le lire. Mais il nous prend parfois plusieurs heures à appliquer. Et à tester aussi.

Alors à chaque fois qu’une idée me semble intéressante, je file vérifier ça sur un blog. Je change radicalement dans certains cas. Ou je mets en place des tests. Et au final qu’est ce qui se passe?

Il se trouve que les idées de Cédric ont toujours été bonnes à appliquer. J’ai appris beaucoup de choses grâce à Cédric. Et aujourd’hui, je continue d’en apprendre et de m’améliorer.

Tiens, et si je m’y mettais aussi

Je me suis rendu compte que les raisons évoquées plus haut sont de bonnes raisons. Moi aussi, je voudrais plus de trafic et partager mes idées et connaissances…

Et la je suis tombé dans le piège. Je me suis dit: « Et si je m’y m’étais aussi. Ce serait un sacré challenge. »

Après avoir pesé les multiples POUR et l’unique CONTRE (1 article par jour, c’est énorme), je me suis enfin décidé.

Il fallait choisir un domaine, où je pouvais aider par mon expérience… J’ai créé www.creetonsite.com. Avec un article par jour (de la semaine).

Selon moi, pour une meilleure mise en pratique, la vidéo est essentielle. Je crée donc aussi une vidéo qui accompagne chaque article.

Le problème, c’est que Cédric et Jean ont placé la barre bien haute. Et il faut savoir suivre le rythme. Toujours avoir de nouvelles idées et inspirations.

Ma vie avant, sans Cédric? Je travaillais 1 à 2 heures par jour.

Maintenant? Mon temps de travail à plus que doublé. Merci qui?

Bien entendu, je suis plus que satisfait d’avoir adopté ce nouveau rythme. Il m’a apporté beaucoup. Je n’aurai jamais pensé que ça aurait été une expérience si plaisante et positive. Merci Cédric.

Cédric veut placer la barre encore plus haute ?

Et puis Cédric s’est mis à parler de vouloir publier 2 articles par jour… Non mais il se fiche de qui là ?

Il y en a qui peinent à essayer de faire UN article quotidien. Et lui, comme si je rien n’était se dit: « ah je me demande si je vais passer à 2 articles par jour, j’ai beaucoup trop d’idées… ».

Pense à nous Cédric. Tu veux sincèrement qu’on passe 4 heures par jour à appliquer tous tes conseils? Et que grâce à toi, nos blogs soient encore meilleurs? Oh tiens, en voici une bonne idée. :)

Tu attends quoi pour te lancer ?

Finalement je n’apprécie pas Cédric et son blog

Apprécier n’est pas le mot qui convient. Je suis carrément fan et amoureux de son blog.

Grâce à lui, j’ai pu améliorer mon marketing de différentes manières. Et il a su me mettre le pied à l’étrier. Pour, moi aussi, publier un article quotidien. Pour partager ma passion et aider mes lecteurs.

Aujourd’hui, Cédric fait partie des 2 seules personnes que je suis au quotidien. Jean est la seconde. Et je voulais vraiment le remercier pour tout.

Merci à tous ses conseils et astuces. Merci au défi qu’il m’a lancé sans le vouloir. Merci de m’avoir permis d’en être là aujourd’hui. Merci.

Et à vous ? Qu’est-ce que Cédric vous a apporté ? Avez-vous envie de lui dire Merci ?

Article invité rédigé par Yann LEGROS du blog Crée ton Site, dans le cadre de la Valse des Invités 2013.

Yann vous recommande Webmarketing Junkie 

Photo © Trezvuy – Fotolia.com

juin
15
27

Briser les règles (ou l’obligation du plaisir)

Article invité rédigé par Florence CLERFEUILLE du blog À Mots Déliés, dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Pour cette nouvelle valse, Cédric a demandé à ses invités d’écrire sur des sujets qu’il ne traite pas.

Le sujet principal de son blog étant le marketing (web ou pas web), je m’en vais plutôt vous parler de plaisir et d’intimité.

Entendons-nous bien : cet article n’est pas pour autant interdit aux moins de 18 ans :-)

De même, vous verrez qu’il y a quand même un lien avec le blogging. Vous allez comprendre pourquoi…

Parce que, finalement, tout est lié…

Je vous explique :

florence clerfeuille

Lâche tes comm’ !

Remontons un peu dans le temps…

À la préhistoire du blog (soit il y a une dizaine d’années) le moins que l’on puisse dire est que la chose n’était pas vraiment prise au sérieux… et bien loin d’intéresser les marketeurs !

Skyblog, l’une des premières plateformes françaises d’hébergement, fourmillait alors de journaux intimes d’adolescents (plus ou moins attardés) qui s’exposaient à outrance.

C’était l’époque des concours du plus grand nombre de commentaires, tous plus affligeants ou vides de sens les uns que les autres. Il y en a eu des millions.

Quel intérêt, me direz-vous ?

Celui de se faire plaisir. Et celui de parler de soi.

Moi, mon héros…

Tout le monde aime parler de soi.

Plus ou moins souvent, plus ou moins en profondeur, de façon plus ou moins exhibitionniste, mais tout le monde aime ça.

Pour s’en convaincre, il suffit d’écouter n’importe quelle conversation de la vie courante. Quel que soit le sujet, comment rebondit-on ? En faisant appel à ses souvenirs, ses expériences, ses connaissances. Bref, en se centrant sur soi.

« Ça me rappelle un truc qui m’est arrivé… Moi, ce que je pense… C’est comme moi quand… » : incroyable, le nombre de fois que ces débuts de phrase sont prononcés !

Quand on écrit, si on se laisse aller, c’est un peu la même chose : il est tellement plus facile (et agréable) de parler de ce qu’on connaît le mieux

Mais quand on s’intéresse au marketing, c’est qu’on veut vendre. Et pour vendre, il ne faut pas faire n’importe quoi.

Forcer sa nature ?

Il y a des règles à suivre. Des trucs qu’il « faut » faire parce que ça marche (c’est prouvé) et d’autres qu’il ne « faut surtout pas » faire parce que ça ne marche pas (c’est prouvé aussi)…

Parmi ces trucs, il y en a des tas qui concernent l’écriture (vous le savez, Cédric en parle souvent) alors vous vous concentrez dessus. Pour avoir des résultats. Pour être efficace.

Mais est-ce que ça l’est toujours, efficace ?

Pas sûr, car à trop se concentrer sur ces fameuses règles, à vouloir les suivre scrupuleusement, on en oublie d’être soi. On en oublie de se faire plaisir.

Et ça, le lecteur le sent. Il sent que votre texte est fabriqué.

Vous l’avez écrit vous-même ? Vous avez sué sang et eau pour obtenir un résultat professionnel ? Peut-être, mais si cela a été laborieux, si vous n’avez pas pris un minimum de plaisir à l’écrire, c’est une succession de mots sans émotions que vous mettez en ligne.

Une machine pourrait tout aussi bien faire la même chose.

Qui a envie de s’intéresser à ce que raconte une machine ? Par définition (en tout cas, pour l’instant) elle ne pense pas et n’a pas d’opinion.

Rester soi-même

Et si on était plus efficace quand on ne suit pas ces règles ? Après tout, les règles sont faites pour être transgressées, non ? :-)

Sans compter que pour être remarqué, pour attirer l’attention des gens, les interpeller comme on dit quand on veut se donner l’air intelligent, il faut sortir du lot.

Comment être original si on fait comme tout le monde ? Ce n’est pas possible.

Par contre, en tant qu’être humain, vous êtes forcément original, unique. Alors, c’est cette carte-là qu’il faut jouer.

En renouant (un peu) avec la préhistoire du blog.

Ce qui nous fait réagir en tant que lecteur, ce sont les émotions. La surprise, la colère, le nœud dans les tripes… C’est ça qui fait qu’on se souvient d’un texte (et par extension d’un auteur) parce que ça nous touche dans notre humanité.

Le hic, c’est qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise recette, de truc qui marche tout le temps ou qui ne marche jamais. Nous sommes tous différents, vos lecteurs aussi. Ce qui va toucher les uns au plus profond d’eux-mêmes va royalement emmerder les autres. Question de vécu.

Alors quitte à ne pas plaire à tout le monde, autant se faire plaisir. Et rester soi-même.

C’est ce que j’ai fait dans cet article. C’est aussi ce que fait Cédric. Et ça a plutôt l’air de bien marcher pour lui, non ?

Article invité rédigé par Florence CLERFEUILLE du blog À Mots Déliés, dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Florence vous recommande de lire cet article du blog Le Journal Personnel

Photo © NinaMalyna – Fotolia.com

juin
14
29

Ce que 98% ne font pas… et pourquoi ils ont TORT !

Article invité rédigé par Nicolas Sterlest du blog Les Entrepreneurs du Web, dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Si aujourd’hui publier un article de présentation de produits ou de vos services est à la porté de tout le monde, susciter l’intérêt des médias est devenu bien plus difficile devant le flot toujours grandissant de nouvelles informations diffusées quotidiennement sur internet.

Le communiqué de presse vous permet de démarquer votre information de la masse en la mettant directement sous les yeux des médias et des journalistes concernés.

98% des blogueurs ne le font pas. Moi non plus ! Et nous avons tort…

Nous avons tort car j’ai fait des recherches et me suis bien renseigné sur le sujet… Le communiqué de presse est à ce jour une carte importante à jouer.

Imaginez retenir l’attention d’un seul journaliste qui publierait un article à propos de votre entreprise dans la presse locale ou nationale. Celui-ci assurera votre exposition et engendrera une vague de trafic ciblé démesurée vers votre blog.

Je pense que vous avez pris conscience de la puissance d’un communiqué de presse alors découvrons sans plus tarder comment utiliser cet outil.

Communiqué de presse

Qu’est-ce qu’un communiqué de presse ?

Le communiqué de presse est un moyen très efficace et surtout très puissant pour atteindre un public ciblé et générer un buzz autour de vos produits, vos offres ou vos lancements à venir.

Le communiqué de presse est également peu coûteux (souvent gratuit) et extrêmement facile à distribuer.

C’est également une arme redoutable pour augmenter la crédibilité de votre entreprise en construisant une communication sur le long terme.

Les réseaux sociaux transmettant les flashs infos bien avant tous les médias, l’information circule bien plus rapidement qu’avant.

Conséquence, les journalistes n’ont plus le monopole de l’exclusivité. Il est donc tout à fait normal que les médias prêtent une véritable attention à tout ce qu’il se passe sur le Web.

Les agences de relation de presse et les plateformes de diffusion de communiqués de presse se sont naturellement multipliées afin de tenter de centraliser tout cet échange d’information.

Le communiqué de presse ressemble à un court article, mais avec une énorme différence, l’obligation de réellement susciter un intérêt et ne pas se contenter de diffuser une simple information.

Son rôle est avant tout de séduire les médias et les journalistes.

Sachez tout de même que la publication de votre communiqué de presse peut ne pas porter ses fruits immédiatement. Les journalistes ne travaillant peut-être pas à ce moment-là sur le sujet dans lequel vous œuvrez.

Il ne faut cependant pas perdre espoir et ne pas hésiter pas à réitérer la publication de votre communiqué au moins une fois par mois afin de relancer le sujet. Tâchez seulement à le modifier, voir même à l’optimiser pour le rendre différent et il permettre de susciter à nouveau de l’intérêt.

Il existe de nombreuses plateformes de diffusion gratuites ou payantes et vous devrez donc faire un choix en fonction de la visibilité et de l’impact que vous souhaitez obtenir.

N’en perdrez pas pour autant l’objectif de votre communiqué de presse qui doit finalement retenir l’attention des journalistes et des éventuels clients.

Comment rédiger votre communiqué de presse ?

Créer et optimiser votre communiqué n’est pas très compliqué en soit. Qui mieux que vous connait votre produit ?

Comme tout outil de promotion, il devra avoir un impact maximal. Nous allons donc voir les points importants que doit contenir votre communiqué de presse.

Date de publication et origine : Il est important d’indiquer si vous souhaitez une « diffusion immédiate » ou, le cas échéant, d’indiquer quand votre communiqué pourra être rendu public en précisant une date de diffusion. Vous devrez également ajoutez le logo de votre société afin de facilement pouvoir être identifié.

Titre : le titre de votre communiqué de presse a pour objectif d’attirer l’attention des clients potentiels et des journalistes en quelques secondes ou vous les faire perdre à jamais. Il doit, en une phrase percutante, résumer l’ensemble de votre communiqué.

L’accroche : celle-ci est le complément de votre titre. Composée de deux ou trois lignes, elle donne aux lecteurs un peu plus d’informations sur le contenu de votre communiqué de presse.

Introduction : elle regroupe sur un seul paragraphe les éléments de base que vous aimeriez trouver au début d’un article : où, qui, que, quoi, quand, pourquoi et comment.

Corps : c’est ici que vous allez développer tout ce que vous venez de présenter. L’idéal est de développer une idée par paragraphe tout en ayant un fil conducteur et en exposant les éléments les plus importants en premier.

Démarrez chaque paragraphe avec un titre contenant l’idée principale à retenir. Rédigez dans un langage simple et compréhensible par tous en faisant bien entendu attention à l’orthographe et la grammaire.

Soyez le plus impersonnel possible et n’utilisez pas de propos trop commerciaux. Le témoignage d’une personne extérieur à votre entreprise serez également apprécié pour appuyer vos propos.

Liens : n’en abusez pas ! Certaines plates-formes répugnent le fait de pouvoir cliquer sur des liens. Votre but étant d’annoncer un évènement ou de présenter un produit, un seul lien devrait amplement suffire. N’oubliez pas, pour obtenir l’impact souhaité, il faut cibler vos communiqués de presse.

Images et logos : vous pouvez insérer quelques images dans votre communiqué pour le rendre plus attrayant mais n’en abusez pas et vérifiez bien que vous disposez des droits nécessaires. Des images en haute résolution (300 dpi) sont conseillées si votre communiqué doit être publié pour la presse.

Fin du communiqué : ajoutez ici toutes les informations pratiques, un bref rappel de votre entreprise, ainsi que vos coordonnées, adresse du site Web et toute autre information de contact qui faciliteront les demandes d’informations complémentaires. Proposez un appel à l’action : « pour plus d’informations, visitez … ou appelez le… ».

Quelques astuces

Créer votre fichier de contacts

Vous voudrez surement contacter certains médias directement. Pour les magazines et sites internet, il vous suffit de trouver les coordonnées des membres de l’équipe de rédaction. Mettez-les dans un document pour pouvoir les contacter directement le moment venu.

Le numéro de téléphone général d’une enseigne de presse peut également vous servir à obtenir les coordonnées des rédacteurs. Attention tout de même à ne pas les contactez sans avoir un contenu pertinent et unique à leur proposer. Leurs portes à peine entrouvertes peuvent  très vite se refermer de manière définitive.

Fréquence de publication

N’hésitez pas à publier vos communiqués une fois par mois, car les journalistes travaillent en permanence sur de nouveaux sujets. Ensuite, certains médias travaillent leurs thèmes plusieurs semaines ou plusieurs mois à l’avance, il est donc possible que votre communiqué soit vu, mais que personne ne vous contacte. Soyez patient, tout peut arriver !

Ça me fait d’ailleurs penser à un article que j’ai lu durant mes recherches. L’idée de cet article est la suivante : ce n’est pas parce que vous envoyez un communiqué qui n’est pas repris, que c’est un communiqué inutile. Vous pouvez lire cet article sur le blog « Séduire la Presse » de Jérémy : Stratégie presse : comment un communiqué de presse inutile va faire parler de vous dans les médias

Conclusion

Maintenant que vous savez tout sur les communiqués de presse, il ne vous reste plus qu’à expérimenter cet outil (moi aussi par la même occasion :roll: ). Il nous servira certainement dans le développement de notre entreprise, mais aussi dans son positionnement sur le marché.

Préparez soigneusement vos communiqués et soyez toujours prêts à répondre à une éventuelle interview (oui oui, j’ai vu que parfois les communiqués peuvent déboucher là-dessus). Finalement le but recherché est bien de passer sur le devant de la scène alors pourquoi pas une interview ?

Avouez qu’il serait quand même dommage d’avoir créé un communiqué de presse efficace, qui retient l’attention d’un journaliste, et de tout faire capoter sur une interview manquée.

Rappelez-vous, qui d’autre que vous connait mieux votre produit ?

Le tout réside dans la préparation des arguments principaux et de leur présentation qui devra être suffisamment pertinente et attirante.

Article invité rédigé par Nicolas Sterlest du blog Les Entrepreneurs du Web, dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Nicolas vous recommande cet article sur Séduire la Presse

juin
13
32

Votre site web passe chaque jour des entretiens d’embauche ! Est-il prêt ?

AuthorCédric Vimeux    CategoryBlog     Tags,

Article invité rédigé par Nassim Amisse du blog E-Methodologie, dans le cadre de l’événément La Valse des Invités 2013.

Nous avons probablement tous eu à passer des entretiens d’embauche, et nous savons qu’un entretien ça se prépare. Nous savons également qu’il y a certaines règles à respecter pour que cela se passe bien.

Il en va exactement de même pour un site web !

Certaines règles sont à respecter pour que votre site ne rate pas son entretien … avec ses visiteurs.

C’est ce que nous allons voir aujourd’hui…

nassim amisse

Règle n°1 : Soignez votre apparence

Vous pourrez avoir le meilleur CV au monde et 150 de QI, si vous arrivez en retard, mal rasé ou mal maquillée (ou les deux !), cela n’aura aucune importance.

Pourquoi ?

Tout simplement parce que la première image que vous donnerez à la personne en face de vous sera celle d’une personne négligée et qui ne prend pas les choses au sérieux.

« On ne peut pas avoir la chance deux fois de faire une bonne première impression ».

Il ne faut pas se faire d’illusions : l’impression que vous ferez sera grandement conditionnée par l’apparence que vous donnerez.

Ca serait même un manque de respect pour celui qui vous fait passer un entretien, et ça serait de la même manière un manque de respect pour celui qui vient visiter votre site, si vous ne soignez pas la forme.

Votre site web ou Blog ne devra pas donner l’impression d’être incomplet, inachevé, amateur dans sa conception et plein de fautes d’orthographes.

Vous devez absolument éviter de :

  • Afficher des pages vides, incomplètes ou inachevées
  • Utiliser un design amateur
  • Mettre des couleurs agressives
  • Ne pas mettre à jour votre site régulièrement

La liste peut être encore rallongée.

Plus vous passerez de temps à soigner les détails, plus vous aurez des chances de plaire, dés la première poignée de main.
Et n’oubliez pas : demandez l’avis de votre entourage sur votre « apparence » avant l’entretien.

Règle n°2 : Montrez votre « plus »

Dans un entretien, vous devez montrer vos compétences, mais vous devez montrer ce que vous avez de plus que les autres.

Vous êtes après tout plusieurs à postuler. Pourquoi est ce que l’on devrait vous retenir ?

Il en va de même pour votre site web

Aujourd’hui on remarque qu’il y a de plus en plus de sites qui traitent des mêmes sujets, mêmes thématiques et qui proposent des produits similaires.

Posez vous la question suivante : pourquoi vous et pas les autres ?

Cela doit clairement ressortir sur votre site :

Voici quelques idées pour pouvoir faire la différence :

  • Un message clair dés le départ sur votre site. Il faut que dés le premier coup d’œil on puisse savoir ce que votre site apporte de plus.
  • Une page « à propos » intéressante : N’ayez pas peur de vous mettre en valeur. Les personnes qui iront sur cette page veulent vous connaître, et seront intéressées de connaître de ce que vous avez de plus.
  • Des rubriques claires : Ne perdez pas votre visiteur en route. Montrez lui clairement ce qu’il va trouver chez vous.
  • Une page spéciale consacrée à votre valeur ajoutée.

Continuons…

Règle n°3 : Intéressez-vous à votre interlocuteur

Lors de la préparation d’un entretien, il est nécessaire d’en apprendre plus sur votre potentiel futur employeur.

C’est un signe d’intérêt, et c’est toujours très apprécié.

Vous devez faire la même chose avec vos visiteurs.

Montrez leurs que votre site est pensé pour eux et leurs besoins.

Quelques idées :

  • Le message que doit donner votre site, doit être adapté à ce que recherchent les visiteurs que vous attendez.
  • Offrez du contenu avec une réelle valeur ajoutée.
  • Proposez des produits et services qui permettent d’apporter une solution ou un véritable plus à vos visiteurs.

Vos visiteurs doivent sentir qu’ils sont chez eux.

Bien entendu, pour être efficace dans cette partie vous devez avoir consacré du temps à l’étude de marché, la segmentation et à l’élaboration de votre stratégie de ciblage.

Règle n°4 : Restez en contact

Généralement à la fin d’un entretien on entend la fameuse la phrase « on vous rappellera ».

La personne qui vous fait passer un entretien a généralement vos coordonnées. Qu’en est-il d’un visiteur ?

Assurez-vous que la personne a bien la possibilité de vous recontacter si elle le souhaite.

Dans la pratique cela peut être :

Approche passive :

Affichez vos coordonnées : E-mail, téléphone, adresse… affichez les clairement sur votre site. Cela inspirera confiance, et permettra surtout de montrer que vous êtes joignable en cas de besoin.

Approche active :

Proposez à la personne de s’abonner à votre newsletter. Cela peut être en affichant un module d’abonnement sur les pages de votre site et en bas de vos articles ou un peu plus brutalement en passant par un pop-up.

Quelque soit la manière, elle doit vous laisser quelque chose en partant.

Conclusion

La voici :

nassim amisse

Ce n’est pas/ plus votre cas ;)

Article invité rédigé par Nassim Amisse du blog E-Methodologie, dans le cadre de l’événément La Valse des Invités 2013.

Nassim vous invite à regarder cette vidéo sur Euklide

juin
12
23

Comment prendre confiance en soi et se lancer… Ou l’art de prendre conscience de votre valeur !

Article Invité rédigé par Sébastien LAUDE du blog Marketing affiliation dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Quel débutant n’a jamais ressenti le trac, la peur de se lancer ?

Vous savez, cet instant un peu particulier où on doute de soi, de sa capacité à transmettre quelque chose d’utile pour finalement en conclure que : « Ce n’est peut-être pas fait pour moi ».

L’arme absolue pour franchir cette barrière peut se résumer en quelques mots : Prendre confiance en soi.

Pourtant, lorsque cette qualité vous fait défaut, ces mots peuvent sembler inaccessibles comme s’il était gardé dans un coffre blindé et que la clé soit hors de votre portée.

En effet, à force de se focaliser sur ce ressenti désagréable qu’est le manque de confiance, des idées négatives apparaissent, créant un sentiment de confusion qui prend place petit à petit. Un peu comme si on s’était installé dans des chaussures trop grandes ou trop petites.

Ce malaise finit souvent par prendre le dessus à tel point qu »il est facile d’abandonner un projet avant même d’avoir commencer.

Un peu comme Vanessa qui anime le blog Blogging Passion. Elle aurait bien aimé participer à la valse des invités organisés par Cédric Vimeux, mais au final elle en est arrivée à ce commentaire :

« Bonjour, super cet évènement, c’est une très bonne idée ne serait ce que pour prendre des vacances, alimenter le blog, l’animer, et faire plaisir à ces lecteurs. Malheureusement, je ne rentre pas dans tous les critères étant une très jeune blogueuse. Ça sera peut être pour la prochaine ! »

Et si le fait de prendre confiance en soi pouvait tout changer. Qu’en pensez-vous ?

Croyez-vous qu’un débutant ne peut rien apporter aux autres ?

Si c’est le cas, j’aimerai partager avec vous une histoire vraie qui démontre le contraire.

(Note de Cédric : Vanessa a pris son courage à deux mains et a participé à la valse. Vous pouvez lire son article ici ;)

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Prendre confiance en soi

Quand l’élève guide le maître : Ce que les débutants peuvent apporter aux experts !

Actuellement, ma femme est en voyage en Islande pour un stage photo.

Comme dans tous les voyages de ce genre, elle est accompagnée d’un guide qui les amènent sur différents sites qu’ils peuvent photographier.

Chaque jour, nous nous envoyons des messages et dernièrement, j’ai appris que c’est elle qui a guidé le groupe et leur accompagnateur, alors qu’elle n’est qu’une élève en matière de photo.

Comment cela c’est-il passé, me direz-vous ?

En fait, le groupe a une moyenne d’âge de 60 ans, et chacun possède un équipement assez lourd. De ce fait, les participants ont tendances à se poser à un endroit et à photographier des sujets fixes.

Ma femme quant à elle est plus jeune (je tairai son âge ici car on m’a toujours dit qu’il y a 2 choses qu’il ne faut jamais demander à une femme : Son âge et son poids :-) ) et elle adore marcher. Ce qui fait qu’elle vadrouille un peu partout et va explorer des endroits au petit bonheur la chance.

Le 3éme jour, elle a découvert par hasard qu’une de ces promenade avait une valeur qu’elle ne soupçonnait pas. Voici le message où elle réalise cette valeur :

« Aujourd’hui, je suis devenue la mascotte du groupe : ce matin, un des gars du groupe me montre un oiseau et me dis : »tu vois cet oiseau, il est très rare ».

Et moi j’lui dis : « Ah bon ? (moi j’le connaissais pas ce piaf), ben hier j’en ai vu des dizaines qui jouaient dans une chute d’eau et j’ai fait plein de photos ».

Là, le gars il reste bloqué avec la mâchoire ouverte.

Je lui propose alors de lui montrer l’endroit en lui disant que je ne suis pas sûre qu’ils y soient encore.

Je guide finalement tout le groupe (y compris le guide) et nous allons donc dans un des méandres de la rivière Laxà que j’avais exploré hier. Et là, ils tombent tous en extase car les garrots arlequins et les garrots d’Islande sont encore là à jouer dans les petites chutes ! »

C’est ainsi qu’une novice de la photo guida un groupe de photographes chevronnés ou comment une débutante apporta de la valeur à un expert et à un groupe plus expérimenté qu’elle.

Prendre confiance en soi : Les clés à retirer de cette histoire ?

Tout d’abord, ce n’est pas parce que vous débutez dans un domaine que vous ne pouvez pas apporter de valeur.

En effet, même si vous n’avez pas les qualités et les connaissances techniques d’un expert, il est possible que votre regard neuf, votre envie de découvrir et votre enthousiasme vous amènent vers des pépites dont vous ignorez encore la valeur.

Certaines de vos expériences qui pour l’instant ne valent rien à vos yeux peuvent avoir un caractère précieux pour d’autres. Comme cet oiseau découvert par hasard qui se trouvait être un sujet rare pour le groupe alors que pour ma femme, c’était seulement un oiseau…

Pour réaliser la valeur de vos connaissances et prendre confiance en soi, il faut alors une deuxième clé…

Entourez-vous de personne qui connaissent la valeur des choses et soyez à l’écoute.

Si ma femme n’avait pas entendu cet homme dire que cet oiseau était rare, elle serait certainement passé à côté de la valeur de ce moment.

C’est l’un des plus gros problème pour le débutant : Identifier ce qui a de la valeur.

Par exemple, lorsque j’ai débuté dans l’affiliation, j’accordais beaucoup de valeur aux conseils que je trouvais à droite et à gauche sur Internet pour amener du trafic vers mes blogs.

Au final, une grande partie de ces conseils ne m’ont rien apporté. En revanche, par le plus grand des hasards, j’ai découvert des techniques (dont personne ne parlait à l’époque) qui m’ont amener de nombreuses visites.

C’est ce qu’on appel : « La chance du débutant ».

Pour éviter de vous dévaloriser et prendre conscience de la valeur de vos découvertes, n’hésitez pas à partager avec des personnes qualifiés et bienveillantes dans votre domaine.

Ces personnes auront le don de vous dire : « Tu vois là, c’est une bonne chose que tu viens de réaliser car ce n’est pas tous le monde qui sait faire cela ».

Ces simples mots prononcés par une personne compétente peuvent permettre de prendre confiance en soi et d’oser se confronter aux regards des autres.

Vous allez ainsi réaliser la valeur de vos découvertes et faire vos premiers pas. Cependant, il reste reste une question importante…

En tant que débutant, qu’est-ce que je vais bien pouvoir partager ?

Et bien, voici des titres d’articles pour vous donner de l’inspiration. Je prend l’exemple d’un affilié qui débute :

  • Le jour ou j’ai découvert comment gagner de l’argent sur Internet à partir de mes passions. (Dans ce type d’article, la valeur est pour ceux qui ne savent pas encore comment faire).
  • Je débute dans l’affiliation : Listes de mes premières lectures et ce que j’en ai retenu. (La valeur réside dans le fait que vous allez commencer à partager du savoir. Comme il s’agit de lecture, le savoir que vous allez partager sera perçu comme celui d’experts et donc avec beaucoup de valeur. De plus, vous pourrez commencer à insérer vos premiers liens d’affiliés)
  • Débuter en affiliation : Calvaire ou plaisirs… (Ici, la valeur réside dans le partage de vos émotions avec d’autres affilés qui peuvent se reconnaître dans votre expérience. Vous pourrez en plus créer des liens avec d’autres affiliés)
  • Test : Les 3 premières techniques que j’ai mise en application pour obtenir du trafic et leurs résultats.
  • Etc…

Vous voyez, même un débutant peut apporter de la valeur. Pour cela, il vous suffit de mettre dans vos bagages : de l’estime en soi, des informations de valeur et de trouver le bon positionnement.

De plus, prendre confiance en soi aura des répercutions positives bien au delà de votre business.

C’est pourquoi, je vous invite à faire preuve d’audace car comme l’a dit Johann Wolgang von Goethe :

« Quoi que tu rêves d’entreprendre, commence-le. L’audace a du génie, du pouvoir, de la magie. »

A votre succès !

Article Invité rédigé par Sébastien LAUDE du blog Marketing affiliation dans le cadre de l’événement La Valse des Invités 2013.

Sébastien vous recommande le blog Blogging Passion.

Crédit Photo (c) fotolia.com

juin
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La technique du refus pour mieux persuader votre interlocuteur

Article invité rédigé par Alexandra FLORENCE du blog L’univers de l’attraction, dans le cadre de la Valse des Invités 2013.

La peur d’obtenir un NON lorsque vous demandez un service à quelqu’un semble être un véritable frein pour beaucoup d’individus durant leur évolution personnelle.

Par cette attitude, vous ne pouvez pas imaginer le nombre d’opportunités que ces individus loupent rien qu’à cause de cette simple peur d’obtenir un NON.

Cependant, qui que vous soyez et quoi que vous fassiez, vous devez persuader et convaincre constamment pour pouvoir avancer.

Pour négocier le prix d’un nouveau produit dans le monde des affaires ou convaincre votre belle-mère de garder vos enfants – parfois même pour des broutilles – votre faculté de persuasion a un rôle essentiel dans votre vie.

Et si vous vous serviez de cette peur du refus pour retourner la situation à votre avantage, que diriez-vous ?

Il est indéniable qu’il ne soit pas toujours facile de franchir le gouffre qui existe entre les paroles et les actes. Et pourtant si vous réfléchissez bien, il existe une technique simple en deux étapes qui va jouer sur la psychologie de votre interlocuteur pour pouvoir le persuader plus facilement.

La technique qui va vous être proposée ci-dessous pourrait être assimilée à une forme de culot, de manipulation voire de coup tordu. Or il ne s’agit aucunement de toutes ces démesures, mais de l’art de la persuasion à travers une simple technique de psychologie appliquée.

Voici les 2 étapes de la technique :

technique du refus, alexandra florenceNON !

1. Cherchez volontairement le refus

Autrement dit, cherchez en premier à obtenir un NON.

Pour y parvenir, choisissez une faveur ou un service à demander à votre interlocuteur dont vous êtes pratiquement certain qu’il refusera d’y contribuer.

Je vous entends déjà vous dire : « Mais c’est du n’importe quoi ! ». Pourtant c’est une technique très fine et une manoeuvre très efficace qui fonctionne dans la majorité des cas (il y a toujours des récalcitrants). Vous allez comprendre pourquoi dans les lignes qui suivent.

La spécificité de cette technique réside dans le fait qu’elle peut vous donner une influence sur quelqu’un qui est fermé à toute idée de vous aider, de vous suivre ou de vous acheter le produit que vous lui proposez.

Prenons un exemple :

Vous êtes débordé de travail au bureau et vous demandez à votre collègue s’il ne pourrait pas prendre en charge tous vos dossiers de compta afin de les superviser avant clôture et vérifier s’ils ne contiennent pas d’erreur. Bien évidemment votre collègue refuse car il est lui-même débordé de travail…

Prenons un deuxième exemple :

Votre enfant vous casse les pieds pour avoir un nouveau jouet. En fin psychologue, il va d’abord en choisir un sans réel intérêt qui coûte 50€ afin d’obtenir un NON de votre part. Parce qu’il sait que vous allez le trouver trop cher ou que vous ne lui achèterez pas ce mois-ci, ou pour n’importe quelle autre raison…

Avec ces deux exemples parmi des milliers d’autres, vous avez obtenu votre NON.

Et ensuite ? C’est maintenant que la deuxième étape entre en jeu.

La voici :

2. La puissance de la culpabilisation

Demandez une deuxième faveur plus raisonnable, celle que vous vouliez depuis le début !

Par ce principe de psychologie appliquée, la deuxième faveur pousse votre interlocuteur à vous l’accorder plus facilement après vous avoir refusé la première. Ce phénomène est lié à la puissance de la culpabilisation.

Comment expliquer cela ?

La culpabilité de vous avoir refusé une première faveur est présente à l’esprit de votre interlocuteur au moment où vous lui demandez votre seconde faveur plus raisonnable. Du coup votre interlocuteur sera plus enclin à vous l’accorder.

Reprenons notre premier exemple :

Votre collègue a donc refusé de prendre en charge tous vos dossiers de compta. Demandez-lui maintenant s’il ne pourrait pas jeter un oeil à un seul de vos dossiers, celui qui vous donne du fil à retordre, celui qui vous fait perdre du temps et auquel vous n’êtes pas sûr de vos calculs. Votre collègue vous dira très certainement qu’il va voir ce qu’il peut faire, sur son temps de midi en mangeant.

Et dans le second exemple :

Vous avez refusé à votre enfant le jouet à 50€ qu’il vous a demandé.

Parce qu’il a de la suite dans les idées et pour mieux obtenir ce qu’il veut, votre enfant va faire semblant d’être triste et déçu.

Il va vous dire qu’il comprend que vous ne puissiez pas lui acheter ce jouet parce qu’il est trop cher. Il va alors faire sa deuxième demande pour un jouet à 20€ qu’il souhaite réellement et il est fort probable que vous acceptiez bien volontiers d’ouvrir votre porte-monnaie pour le jouet moins onéreux.

Vous voyez, cette technique de persuasion est toute simple et peut être appliquée dans tous les domaines de votre vie avec un peu de savoir-faire.

Et vous ? Quelles techniques utilisez-vous pour obtenir ce que vous voulez ?

Sinon, à vous de jouer !

Article invité rédigé par Alexandra FLORENCE du blog L’univers de l’attraction, dans le cadre de la Valse des Invités 2013.

Florence vous recommande le blog Eveil Personnel Coaching

photo © Antonioguillem – Fotolia.com

juin
10
57

La technique du LIT ou comment vous constituer un réservoir à IDÉES !

Article invité rédigé par Mathieu Moreno du blog Vivez votre Vie, dans le cadre de la Valse des Invités 2013.

Bon, pendant que Cédric se la coule douce en Grèce avec sa famille, je suppose que pour la majorité d’entre nous, la routine est de garde… « métro-boulot-DODO » (ou pas).

Alors voici mon histoire (vraiment bizarre ! )

On est le 25 avril 2013, il est 2h55 et comme beaucoup de nuits, je ne trouve pas le sommeil à cause d’une chose mystérieuse.

Vous savez le déclencheur de toute action, ce qui pimente votre vie et qui peut du jour au lendemain révolutionner votre existence.

C’est un mystère bien gardé mais pourtant j’ai découvert grâce à la technique du lit un puissant réservoir à…

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…idées !

Bon, je vous vois venir… « Mais qu’est ce qu’il nous dit ? » « Il est frappé celui-là ! »

Rien de tout ça je vous rassure mais en faite dès que je me couche, j’ai une multitude d’idées qui me viennent à l’esprit et qui m’empêche de dormir.

Cela peut être bizarre mais c’est vraiment le cas et je trouve ça formidable, c’est un fabuleux réservoir à idées !

Une idée, deux idées, trois idées et j’en passe… refaire ce passage, créer ce site, écrire un livre, oh tiens une idée de titre… autant d’idées et d’envies qui viennent perturber mon sommeil !

Mais Merci… !

Je pense que c’est le plus grand réservoir à idées au monde.

J’insiste et je me mouille encore une fois, aller au lit est un facteur déterminant pour trouver des idées de façon naturelle et sans efforts !

Il y a des milliers et des milliers de sujets, de projets qui nous viennent à l’esprit au moment où on voudrait dormir plutôt qu’écrire sur un carnet toutes les idées qui nous passent par la tête !

C’est un vecteur puissant de créativité, cette capacité à créer, à imaginer et à innover de nouveaux projets et oui je peux vous l’assurer, la recherche du sommeil en est une et oui cela peut être votre plus grand allié !

C’est un vrai bol d’oxygène, une victoire pour tous ceux qui n’ont pas réellement d’idées car oui on peut développer cette tendance à l’inventivité !

Bon ok j’arrête avec les oui… Mais voyez plutôt depuis quand je ressens cette sensation:

Je ressens cette sensation mystérieuse depuis que j’ai un projet, un objectif dans ma vie et c’est vraiment incroyable la puissance que ce réservoir à idées peut avoir sur notre cerveau.

Un objectif : Trouver sa voie !

Trouver sa voie et tout faire pour se donner les moyens d’y arriver, voilà le vrai objectif de toute une vie et je peux vous assurer qu’ensuite les nouvelles idées arriveront par centaines !

Si vous m’aviez dit un jour que le fait de se coucher est un réservoir à idées inestimables je vous aurais probablement pris pour un fou… et encore ;)

Bref libérez votre créativité, libérez vos idées et libérez vous des contraintes, établissez maintenant un objectif pour les semaines, les mois, les années à venir, bâtissez vous un plan de vie, trouvez votre voie, cherchez, cherchez encore, n’abandonnez pas car je vous assure que la récompense est à la hauteur de tous vos efforts !

Une fois votre objectif fixé, votre cerveau va être stimulé.

Vous allez avoir une grande quantité de nouvelles idées et une abondance de projets à réaliser. Vous allez même avoir l’impression d’être perdu par toutes les opportunités que vous offre votre cerveau…

La technique de grand-mère

Personnellement voici comment je procède et comment je pense que vous devez procéder pour retirer au maximum le bénéfice de ce réservoir à idées:

1. Mettez un carnet et un stylo à côté de votre lit. Tel un lion en cage, vous allez être à l’affût de chaque nouvelle idée qui vous traverse l’esprit avant de vous endormir ;)

2. Dès que vous avez une idée inscrivez la sur votre carnet. Faites le dès que vous avez une nouvelle idée car sinon c’est le meilleur moyen de ne pas trouver le sommeil du tout.Votre cerveau va rester en éveil et vous allez sans cesse penser à cette idée si vous ne l’inscrivez pas quelque part.

En quelque sort en l’inscrivant sur votre carnet vous allez vous débarrasser de celle-ci pour pouvoir la retrouver comme par magie le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil.

3. Chaque matin, prenez 5 minutes pour revoir ce que vous avez noté sur votre carnet. Faites la part des choses, ne gardez que l’essentiel, les idées que vous pouvez réellement utiliser pour vos projets.

4. Une fois cette tâche effectuée prenez encore 5 minutes pour noter les objectifs que vous vous êtes fixés pour la journée. Inscrivez les tâches les plus importantes à faire le matin et les tâches les moins importantes à faire l’après-midi.

Récapitulons:

1. Définissez vos objectifs et trouvez votre voie.

Ceci est vraiment important ! Essayez de vous focaliser sur vos forces et non sur vos faiblesses. Je vous recommande le livre Strengths Finder 2.0 qui permet de connaitre vos points forts après avoir réalisé un Test en ligne.

Par contre le livre et le test sont en anglais donc soit vous utilisez la première version du test qui est en français ou soit vous traduisez le test Online (ce que je recommande) et donc dans ce cas envoyez un email à Gallup pour leur demander d’enlever la limite de temps du test.

2. Allez au lit !

3. Utilisez la technique de grand-mère pour noter toutes vos idées.

4. Passez à l’action et profitez de vos idées pour mettre en place de nouveaux projets.

Alors, que pensez vous de ce réservoir à idées, bizarre non ?

Au fait, je tiens à vous faire partager une série d’articles que j’ai particulièrement apprécié. Cette série s’appelle «Guide pour écrire des articles web qui cartonnent» et elle se trouve sur le blog Travailler à domicile.

Article invité rédigé par Mathieu Moreno du blog Vivez votre Vie.

Mathieu vous recommande de lire cet article

Photo © JZhuk – Fotolia.com



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